Marketing-mobile.ca
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Archive pour avril 2010

avril 18

Voici une présentation Powerpoint très intéressante qui vous expliquera pourquoi investir dans le mobile.. MAINTENANT!

10 reasons why now is the perfect time to get serious about the mobile web

avril 18

ipad-compatible

Apple recense désormais sur son site Américain les sites adapté à l’iPad . Pour le moment 20 sites (US) sont présents sur la pages mais vous pouvez déjà proposer votre site à Apple. Et si votre site n’est pas encore compatible iPad pas de soucis, une aide est déjà dispo ici mais en anglais uniquement.

avril 17

Le bottin des iphone.jpg organismes associés à Centraide Québec et Chaudière-Appalaches sera très bientôt disponible sur iPhone, iPod Touch et iPad! En effet, Mirego (partenaire stratégie de Piranha), une compagnie de Québec spéc ialisée en stratégie et en conception de solutions innovatrices, a généreusement offert à l’organisation de mettre sur plateforme mobile le contenu de son répertoire des organismes communautaires.

Cela permettra aux utilisateurs de ces appareils d’accéder rapidement à la liste des quelque 180 ressources des régions de Québec et de Chaudière-Appalaches soutenues par Centraide et de connaître leur position géographique. Grace à cette nouvelle application, les détenteurs de iPhone, iPod Touch et iPad pourront rechercher un organisme communautaire par ordre alphabétique, par secteur d’intervention ou, encore, par secteur territorial. Ils y retrouveront une brève description de chacun ainsi que son emplacement sur une carte.

Cette approche s’inscrit dans la volonté de Centraide Québec et Chaudière-Appalaches d’utiliser de nouveaux moyens de communication, plus « branchés », pour rejoindre sa clientèle et surtout les jeunes, une génération plongée dans l’univers du Web 2.0 et technophile jusqu’au bout des doigts.

Précisons que l’application sera disponible dans les prochains jours sur le App Store où il sera possible de la télécharger gratuitement.

Je félicite personnellement l’équipe de Mirego et de Centraide pour cette initiative.

avril 16

Les Québécois passeraient maintenant autant de temps à surfer sur le web qu’à se nourrir.

Le Centre francophone d’informatisation des organisations (CEFRIO) en est arrivé à cette conclusion grâce aux données d’un sondage effectué depuis 2009 auprès de 162 000 Québécois.

Actuellement, la province compterait près de 4.5 millions d’internautes, ce qui correspond à 73% de la population adulte. Le CEFRIO évalue le temps moyen de navigation sur Internet par semaine à 14 heures, soit l’équivalent du temps moyen consacré à l’alimentation.

Les aînés l’assaut de la toile

«Le passage des Québécois à la mobilité « intelligente » a marqué l’année 2009. Alors que le nombre de détenteurs d’un téléphone cellulaire (55 %) est demeuré stable, la proportion d’adultes qui possèdent un assistant numérique personnel (BlackBerry ou Palm) ou un téléphone intelligent (iPhone) s’est accrue de 65 %, passant de 8 % en 2008 à 13 % en 2009 », a dévoilé Kooli, directrice de projet au CEFRIO.

Les sites de réseautage, comme Facebook, gagnent également en popularité alors qu’ils comptent deux millions d’adeptes et que Twitter a été l’un des termes les plus recherchés sur les moteurs de recherche en 2009. Les achats en ligne (38%), les opérations bancaires (44%) et la planification des vacances (43%) comptent avec le courriel parmi les activités les plus pratiquées sur la toile.

Aussi, Internet n’est plus l’apanage des jeunes. Plus de 36% des aînés et 63% des 55-64 ans sont maintenant branchés sur le web.

Les régions réclament la haute vitesse

Si le web n’est plus la chasse gardée des jeunes, il l’est toutefois des personnes plus aisées et des villes. Selon le CEFRIO, plus de 92% des internautes ont un revenu annuel supérieur à 80 000$ et sont à 90% des diplômés universitaires, ce que déplore l’organisme qui souhaite ardemment la démocratisation de cet outil « essentiel ».

Par ailleurs, l’inégalité entre les villes et les régions continue quant à l’accès à la connexion haute vitesse. La Fédération Québécoise des Municipalités (FQM) a d’ailleurs interpellé à ce sujet le gouvernement fédéral, jeudi, réclamant que ce dernier débloque le financement promis pour accélérer le branchement des communautés locales à Internet haute vitesse.

Fait intéressant, environ 472 000 Québécois sont maintenant des « mobinautes », c’est-à-dire qu’ils surfent à partir d’un appareil mobile intelligent. Qui plus est, 38% de ces derniers sont de véritables accros à la technologie et se connectent plusieurs fois par jour au web sans fil.

Source: 24hmontreal.canoe.ca

avril 14

C’est avec plaisir que je vous annonce que j’agirais à titre de conférencier lors du RDV Web, organisé par Infopresse, le 21 avril prochain. Je suis content de pouvoir présenter les perspectives d’utilisation du mobile dans le cadre d’une stratégie web car je crois absolument que le mobile et le web sont complémentaires dans une stratégie interactive.

Dernièrement, Impact Recherche affirme que l’Internet mobile avait une croissance de 500% en 2009 au Québec. Ce matin, un article de 24heures affirmait qu’il y avait 470 000 mobinautes au Québec. Pourtant, très peu d’entreprises et d’agences ont commencer à intégrer le mobile dans leur stratégie marketing. Cet atelier en sera donc que plus pertinent!

Voici les informations sur l’atelier auquel je collabore:

Atelier 2 (salon Mont-Royal 1)
Nouvelles technologies : quel impact pour les stratégies web

Réalité augmentée, code 2D constituent des nouvelles technologies qui vont révolutionner la manière de faire du marketing sur le web.

Cet atelier permettra de :

> Découvrir les nouvelles technologies à venir
> Comprendre comment les intégrer à vos stratégies web
> Quelle est la différence entre une publication et une plateforme?
> Quelles sont les implications d’un changement de modèle?
> Quelles sont les conséquences pour les agences de passer de “média” à “data”?

Cet atelier est scindé en deux blocs.

Avec :

Sylvain Carle
Vice-président technologie et co-fondateur
Praized Media

> Quelle est la différence entre une publication et une plateforme?
> Quelles sont les implications d’un changement de modèle?
> Quelles sont les conséquences pour les agences de passer de “média” à “data”?

Dominic Gagnon
Président
Piranha Agence Tactique

> Comment exploiter la complémentarité du mobile dans une stratégie web ?
> Quelles sont les nouvelles technologies en termes de marketing mobile ?
> Quels sont les exemples d’utilisation du mobile dans le cadre d’une opération viral sur le web?

Au plaisir de vous y rencontrer!

avril 13

avril 12

C’est au tour de l’assureur Axa de lancer son application pour iPhone. Baptisée AXA Service Mobile Auto , cette application de :

• de pré-déclarer son sinistre auto / moto
• de photographier son véhicule accidenté et son constat amiable
• de recueillir les coordonnées des témoins éventuels
• de localiser les réparateurs partenaires les plus proches
• d’être mis en relation avec des services d’assistance ou d’urgence

Une fois la pré-déclaration envoyée, le client est contacté afin d’organiser la réparation de son véhicule par un garage partenaire ou bénéficier, si son véhicule est roulant, du « service auto à domicile ». Ce service gratuit, comprend la prise en charge du véhicule accidenté, à l’endroit souhaité (domicile, lieu de travail…) et en échange le prêt d’une voiture pendant la durée des réparations. Une fois réparé, le véhicule est également restitué sur le lieu de son choix.

En cas de bris de glace, grâce au système de géolocalisation, l’application permet de trouver le réparateur le plus proche et de suivre l’itinéraire indiqué. Le client dispose également de tous les numéros utiles dans ce type de situation : urgences médicales, police, AXA Assistance, son Agent Général ou le centre de service d’AXA. Enfin, l’application contient une rubrique « Conseils » regroupant les informations utiles en cas de sinistre auto.

Malheureusement, AXA Canada n’a pas encore d’application. Avec les banques qui commencent à ce lancer sur l’iPhone, nous pouvons croire que les compagnies d’assurances emboîteront bientôt le pas.

avril 12

Cet article est écrit par Paul-Louis Belletante, du blog Bemobee [1]

Certes, après un titre comme celui-ci, il va falloir assurer. Et bien soit !

Je vous propose une petite mise en situation.

Ne vous méprenez pas (on ne sait jamais) mais considérons pendant les prochaines minutes que vous êtes PDG d’une grande marque. Vous concevez bien qu’Internet, le Web dit « 2.0″, les réseaux sociaux, le web temps réel etc peuvent avoir aujourd’hui un impact incroyable sur la perception qu’ont vos clients de votre marque.

usatoday iphone1 [rédacteur invité] Les marques et la révolution  mobile

Las ! Depuis quelques mois, les choses se compliquent : à peine le web « correctement » traité chez vous, voici qu’un petit nouveau vient dynamiter votre bel ensemble : le mobile.
Je vous le confirme. Je me lève même (faudra me croire sur parole) et le proclame haut et fort : le mobile va être à l’origine d’une révolution des usages sans précédent .

Cette révolution a déjà été entamée par le web, et les différents réseaux sociaux : bienvenue dans l’ère de la vie à la carte, de l’indépendance numérique suprême où vos clients ont le choix. Choix de leurs amis, choix de qui les suit sur Twitter , choix de ce que les autres doivent savoir d’eux, mais également choix de leur sources d’information: l’info est partout, et paradoxe ultime, nous ne l’avons jamais autant filtrée pour n’en garder que ce qui nous intéresse. Vous pouvez être en temps réel en Iran ou en Haiti, mais vous préférez souvent savoir que quelqu’un que vous avez croisé une fois est en train de manger des sushis à San Francisco.

Ironique ? Non, Logique, et le problème est bien là. (enfin pour votre marque)

Maintenant vos client savent, et décident eux-même. Ils décident qui, quoi, peut rentrer dans leur nouvelle vie, leur environnement 2.0, ce lieu où ils peuvent potentiellement être partout, tout le temps.
Ils construisent, et gèrent, jour après jour, leur « univers social ». Et y acceptent les gens qu’ils désirent, les infos/points de vue qui les intéressent. Mais également les marques.

Nous passons de l’ère du subi à l’ère du choisi.

Bien, me direz vous, très bien, rien de bien neuf sous le soleil : ce que je vous ai présenté ressemble furieusement au web d’aujourd’hui. Et vous (votre marque) est parée à ce changement de mentalité : pour permettre à vos clients de vous intégrer dans leurs nouveaux univers, vous avez une belle page Facebook, peut-être même un compte Twitter et vous commencez à réfléchir à contrôler l’enregistrement de vos points de vente sur FourSquare.

Oui, mais voilà. Le futur du web sera mobile. L’avez vous anticipé ?

Et ne croyez pas que ce « futur » est loin de nous : d’après les analystes de Morgan Stanley, il y aura d’ici 2015 plus de connexions au Web via les mobiles que via les ordinateurs .
Mais regardons même plus proche de nous : 30 % des connexions à Facebook se font d’ores et déjà via le mobile.

Quel impact pour vous ?

Reprenons l’exemple de votre toute nouvelle page Facebook : vos publications sont régulières, et votre nombre de fans augmente ? Bravo ! Mais voilà le hic : dès lors que vous allez renvoyer vos fans sur votre site, plus de 30 % d’entre eux vont être déçus. Car ils ne pourront pas regarder votre site sur leur bel iPhone/ Blackberry.

Je vous entend penser : mais si, mon site est lisible sur un iPhone ! Lisible, certes, peut être, avec (beaucoup) de volonté. Lu, non. Car vos clients ont maintenant, grâce aux applications, l’habitude d’un contenu adapté à une lecture en mobilité.
Et ils ne vous pardonneront pas l’arrivée sur une page trop grande, trop complexe, non adaptée à leur situation.

Une marque qui ne sera pas mobile se coupera ainsi, automatiquement, d’une partie de plus en plus importante de ses clients. Car le mobile sera LA télécommande que vos clients utiliseront demain pour interagir avec les différentes composantes de leur univers social.

Ne vous y trompez pas : vos clients sont déjà plus « mobile ready » que vous. Et vous risquez de les perdre si vous ne devenez pas, vous aussi, pleinement mobile. Par quel moyen ?

Par une application, ou un site mobile enrichi, et dédié aux smartphones (une « web application ») ? Les deux, mon capitaine ! Créez une Application iPhone pour faire le buzz , et communiquez dessus de manière intelligente, afin que ce buzz prenne et que votre marque bénéficie de cette image cool et innovante véhiculée par le terminal d’Apple. Puis mettez en place une Web Application, pour faire le Biz – et préparer l’avenir. Où… laissez passer le train. Vous aussi vous avez le choix, finalement !

Comme vous aviez le choix, il y a 10 ans, de ne pas faire de site Internet, et de garder votre service Minitel qui fonctionnait très bien. A ceci près que le mobile est déjà libéré des contraintes qu’avait le Web à ses débuts.

Nous allons assister durant les prochaines années à une révolution sans précédent, qui va autant révolutionner notre rapport aux marques et à l’information que le web l’a fait durant ces 10 dernières années. A ceci prêt que cette révolution mobile devrait se dérouler dans un temps deux, voire trois fois plus rapide . Puisque les technos, les tarifs et – le plus important – les usages sont là.

Vos clients sont prêts à surfer sur l’internet mobile, mais (quasiment) aucune marque ne leur propose un vrai site mobile. L’internet mobile est aujourd’hui un vaste espace vierge où toutes les places restent à prendre.

La mise en situation est terminée. Bienvenue dans le monde réel … à vous de jouer.

Source: Presse Citron

avril 08

Voici un article très intéressant repris sur Servicesmobiles.fr et écrit par Thomas Husson. Celui-ci résume très bien ma vision autour du lancement de cette nouvelle plateforme.

Non, non, je n’ai pas oublié le P malgré le déchaînement d’articles sur l’iPad depuis une semaine*. Suite au rachat de Quattro Wireless, iAd est bien le nom donné par Apple à sa nouvelle plateforme publicitaire mobile, annoncée officiellement hier lors de la conférence de presse sur le lancement de l’iPhone OS 4.

Après le rachat (toujours pas validé par la FCC) d’AdMob par Google, il fallait qu’Apple réagisse pour continuer à seduire les développeurs du monde entier. En Angleterre par exemple, jusqu’à 60% de l’inventaire d’AdMob était de l’inventaire iPhone lors de l’annonce de l’acquisition. La majorité des applications étant gratuites, il faut bien s’assurer que les développeurs et les marques peuvent monétiser leur audiences. Jusqu’à aujourd’hui et contrairement à une idée répandue, le taux de clic au sein des applications iPhone est bien plus bas que sur le WAP ou le WEB mobile: une des raisons est notamment l’excès de l’offre sur la demande avec un inventaire pléthorique. La prime pour les pub iPhone ne peut que baisser dans un modèle de type « blind network » à la AdMob, basé sur de la bannière avec un effet place de marché pour les petits annonceurs. Cela devrait changer maintenant.

L’objectif pour Apple est avant tout de fidéliser les développeurs et pas de générer de nouveux revenus significatifs (la preuve 60% des revenus seront reversés aux développeurs et il faudra bien payer les commerciaux de Quattro…), au moins avant plusieurs années. J’ai lu ici ou là que Google partageait ses revenus pub avec les opérateurs ce qui permettrait de financer le déploiement des réseaux. Aberrant quand on sait ce que rapporte en valeur absolue la pub mobile et ce que coûte une BTS. De toutes façons l’écosystème des applications est là avant tout pour fidéliser le consommateur à la marque et générer de la marge sur le hardware (cf les marges plus que limitées sur iTunes par rapport à celles des iPods…).

Il s’agit aussi de contrôler l’expérience utilisateur à travers le contrôle de la pub : jusqu’à maintenant, il fallait dans la très grande majorité des cas sortir de l’application pour atterrir sur une pub de plus ou moins bonne qualité. La récente annonce sur la restriction de la pub géo-localisée allait aussi dans ce sens, même si iAd va le proposer dès que possible, mais dans son environnement propriétaire. Les démos Nike ou Toy Story ont montré la qualité de l’expérience utilisateur et la possibilité d’engager une relation directe dans un environnement rich media. Comme le dit le communiqué de presse, il s’agit de combiner l’émotion de la pub TV avec l’interactivité des pubs Internet .

Les marques traditionnelles, celles qui ont des budgets significatifs, vont commencer à s’intéresser sérieusement à une plate-forme qui offre des possibilités inédites (interaction + rich media + location) et qui draîne une audience de plus de 85,000,000 de possesseurs d’iPhone et d’iPod touch, qui sont plus enclins à utiliser le mobile comme outil de transaction et comme télécommande de leur vie quotidienne .

Ce qui manque toujours (en tous cas aucune précision n’a été donné à ce sujet), ce sont les outils de reporting et d’analyse . Le nombre d’applications téléchargées reste l’alpha et l’omega de l’App Store. Ce qui compte, c’est le profil des utilisateurs (et il est en train de changer!), la qualification de l’audience, la certification de l’usage (combien utilisent réellement) et la mesure de la performance des campagnes pour mesurer le ROI mobile…

Les opérateurs apparaissent encore plus isolés dans cette bataille – comment peuvent-ils réagir? réponse dans un prochain post lundi.

* au passage 300,000 ventes le premier jour c’est très encourageant au regard des 270,000 ventes de la 1ère version de l’iPhone mais on oublie un peu vite de dire que les ventes d’iPhone n’ont réellement décollé qu’avec les subventions opérateurs et l’internationalisation de la distribution.

Source: Thomas Husson pour servicesmobiles.fr

avril 08

L’année 2009 aura été marquée par la transition des Québécois d’un statut d’internautes à celui de «mobinautes». Le principal constat remarqué par le CEFRIO dans le rapport NETendances 2009 est le passage des Québécois vers une mobilité dite «intelligente».

En effet, le rapport NETendances 2009 établit que la proportion d’adultes possédant un assistant numérique personnel (Palm ou Blackberry) ou un téléphone intelligent (iPhone, par exemple) s’est accrue de 65 % au Québec en moins d’un an.

Bien qu’ils soient encore minoritaires, le taux de ces «mobinautes» s’est élevé à 13 % en 2009, alors qu’ils ne représentaient que 8 % des Québécois en 2008, indique Najoua Kooli, directrice de projet au CEFRIO.

Les Québécois sont encore peu nombreux à accéder à Internet par le biais de leur téléphone (7,6 %). Néanmoins, parmi les 472 000 «mobinautes» répertoriés au Québec par le sondage Léger Marketing pour le compte du CEFRIO, 38 % d’entre eux seraient de véritables «accros» du Web mobile, car ils s’y connectent plusieurs fois par jour.

Source: Branchez-vous