Marketing-mobile.ca
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Archive pour mars 2010

mars 31

Samedi, les premiers propriétaires américains d’iPad devraient sortir des Apple Store avec un sourire aux lèvres. Plus de 150 000 iPad ont été précommandé en 3 jours et 90% d’entre eux ont choisi un retrait en magasin. D’ailleurs c’est aussi notre cas (voir news précédente).

Le succès de l’appareil passera aussi par l’adoption de l’iPad par les écoles et universités américaines. L’Université de Seton Hill a bien compris le potentiel de l’appareil et vient d’annoncer qu’elle fournira un iPad à tous ses étudiants à partir de cet automne. Les étudiants pourront, avant le début de chaque semestre, acheter leurs livres de classe et les télécharger sur l’iPad.

C’est une approche novatrice qui n’est pas une première pour cette université. En effet, Seton Hill fournissait déjà des MacBook à ses étudiants…

setonhill-ipad

Source: mobifrance

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mars 30

Twitepad fera partie des applications disponibles pour le iPad dont le lancement est prévu pour samedi prochain.

Voilà qui ne surprendra guère personne, les applications destinées à Twitter faisant partie des plus populaires téléchargées chez Apple.

Le Twitepad étant conçu pour être utilisé sur un écran de grande dimension, l’application s’en trouve magnifiée. Comment alors utiliser à bon escient tout l’espace disponible?

Les concepteurs de Twitepad ont ainsi décidé d’incorporer un navigateur à l’intérieur de l’application Twitter, ce qui permet d’accéder rapidement au contenu proposé par les autres utilisateurs. (voir la présentation vidéo ci-bas).

La taille de l’écran permet également un nombre élevé de colonnes, permettant à l’usager d’afficher plusieurs comptes à la fois. Twitepad accepte d’ailleurs un nombre illimité de comptes.

La fonction «Database backend» permet de sauvegarder localement et d’accéder rapidement à tous les tweets et données des contacts.

Source: Branchez-vous

mars 30

6a00d8341c7e0553ef0133ec543faf970b-250wi1 LinkedIn,
 le
 plus
 vaste
 réseau
 professionnel
 au
 monde
 avec
 plus
 de
 60
 millions
 de
 membres repartis
 dans
 200 
pays étoffe son offre mobile : 
Cette 
application
 vient
 compléter 
l’offre
 mobile
 LinkedIn
 pour
 iPhone
 et
 Palm
 Pre.


 L’application
 LinkedIn
 est
 parfaitement
 compatible
 avec
 les
 programmes
 d’e‐mail,
 d’agenda
 et
 de
 contacts
 installés
 d’origine
sur
 BlackBerry.

http://www.linkedin.com/blackberry

Ses 
fonctionnalités 
incluent
:

- Profils,
 pour
 préparer
 une 
réunion
 en 
accédant 
rapidement 
aux
 profils
 des
 participants
 sur
 LinkedIn

- Messages,
pour
 gérer
 ses 
mails 
sur 
LinkedIn,
même
 en
 déplacement

- Mises 
à 
jour,
 pour
suivre
 les
 conversations 
de
 vos 
contacts 
professionnels

- Relations,
 pour
 développer
 son 
réseau
 de 
contacts 
sans 
avoir
 accès
 à
 son
 ordinateur

- Invitations,
pour
 construire
 son 
réseau 
professionnel
 même 
en
 mobilité

- Reprendre 
contact,
 pour 
recevoir
 en
 proactif
 des
 suggestions
 de 
contacts
 professionnels
 qu’il
 pourrait 
être
 intéressant
 d’ajouter 
à
 votre 
réseau.

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mars 29

Le groupe NPD vient de publier un nouveau rapport d’étude de marché sur l’intérêt des consommateurs pour l’iPad.

Sans surprise, les propriétaires actuels d’Apple sont les plus enthousiastes au sujet du produit – 24% des propriétaires d’Apple a déclaré qu’ils étaient intéressés ou très intéressés par l’achat d’un iPad, comparativement à 18% de tous les consommateurs.

Voici le profil des personnes qui démontrent le plus d’intérêt face à ce produit.

  • Revenus: Plus de 100,000 $ / an
  • Age: 18-34 (27% des personnes dans cette tranche d’âge a exprimé un intérêt dans l’achat de l’iPad – là encore, c’est par rapport à 18% globalement)
  • Moment de l’achat: Au cours des six prochains mois (9% de l’ensemble des consommateurs interrogés ont indiqué qu’il était probable qu’ils feraient l’achat d’un iPad dans les six prochains mois. Bien que ce chiffre peu sembler modeste, à considérer que ce pourrait être facilement plus de 20 millions utilisateurs, si seulement appliqué aux consommateurs américains âgés de plus de 18 ans.)
  • Comment ils vont l’exploiter: Pour écouter de la musique ou accéder à l’Internet.

Parmi les férus de technologie, les 18-34 ans, 57% citent le prix comme seul motif qui fait qu’ils ne sont pas prêts à acheter.

Avec plus de 130’000 unités iPad pensé pour être pré-commandés au premier jour de disponibilité, il sera intéressant de voir comment cette étude permet d’aligner des chiffres de vente. Il sera aussi de voir comment l’iPad bouleversera notre manière de consommer les médias dans l’avenir..

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mars 29

Apple sur les traces de Google ? Selon le site Mediapost.com, la firme de Cupertino aurait l’intention de dévoiler le 7 avril prochain sa première plateforme publicitaire, qu’il était impossible de ne pas immédiatement surnommer « iAd ». Issue du rachat de la régie mobile Quattro Wireless, en janvier dernier, elle serait l’occasion pour Apple de faire ses premiers pas sur le terrain de la publicité mobile. Steve Jobs lui-même aurait qualifié l’offre de « révolutionnaire ».

Quelle pourra bien être la proposition de valeur d’Apple sur le terrain de la publicité mobile ? Dans un premier temps, difficile de ne pas penser à la monétisation des applications proposées par l’intermédiaire de son App Store en tirant parti, sans doute, des possibilités de géolocalisation induites par la présence d’un GPS dans l’iPhone.

« Si vous mettez au point une application comprenant des fonctionnalités basées sur la localisation de l’utilisateur, assurez vous que ces fonctionnalités fournissent une information bénéfique. Si votre application utilise en premier lieu ces informations pour permettre aux annonceurs mobiles de délivrer des publicités ciblées en fonction de la position de l’utilisateur, votre application vous sera retournée par l’équipe en charge de la validation App Store afin que vous la modifiiez », indique depuis février une notice publiée sur le site d’Apple, laissant ainsi penser que le fabricant pourrait bien, à l’avenir, se réserver cette possibilité.

De nombreuses applications de l’App Store sont aujourd’hui financées par le biais de publicités mobiles. Bien souvent, ces dernières sont fournies par la régie américaine AdMob, dont Google s’est porté acquéreur en décembre dernier pour un montant d’environ 750 millions de dollars. Avec iAd, Apple serait en mesure de proposer aux développeurs de logiciels mobiles une solution alternative s’intégrant au cycle de soumission d’une application sur l’App Store. Avant, peut-être, de proposer ses services aux éditeurs de sites Web mobiles ?

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mars 25

Impossible de lâcher son terminal préféré ? Une étude démontre à nouveau les liens très étroits qui unissent un travailleur à son mobile…

Chronophages les téléphones intelligents? A peine ! Une récente étude de CareerBuilders (un site d’emploi en ligne) menée en novembre dernier auprès de 5200 salariés nomades américains montre à quel point ces terminaux envahissent nos vies. Quel que soit le lieu ou l’heure.

Un salarié sur deux utilise son smartphone au lit

Ainsi, cette étude révèle que 62% des personnes interrogées gardent un oeil sur leur mobile en mangeant. C’est vrai, manger c’est ennuyeux. En vacances, 60% des sondés continuent à utiliser leur terminal. La plage c’est bien joli mais ça ne vaut pas une petite session Facebook Mobile.

18% ‘chekent’ leur mobile durant un rendez-vous (ah les joies de parler dans le vide) et 11% à l’église…

Pire, 50% des salariés nomades ne lâchent pas leur joujou au lit (attention aux crises de couples) et 52% l’emportent dans la salle de bain. On ne sait jamais.

Enfin, l’étude souligne que 50% des personnes interrogées (le taux monte à 66% chez les commerciaux!) surfent ou téléphonent au volant, une attitude parfaitement irresponsable et dangereuse.

Rappelons à ceux qui pensent avoir trouvé la technique pour conduire et téléphoner en même temps qu’ils ont tort.

Finalement, moins de 5% des marques sont présentes sur le mobile.. ;-)

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mars 25

C’est une première dans l’histoire de la téléphonie mobile. Selon l’équipementier suédois Ericsson, le trafic des données sur les réseaux mobiles dans le monde a dépassé celui de la voix au cours du mois de décembre 2009. Boosté par les smartphones et l’Internet mobile souvent proposé en « illimité », le trafic données a presque quadruplé au cours de deux dernières années. L’inversion des courbes de trafic voix et données s’est produit autour du seuil des 140 000 Teraoctet par mois (ou 140 millions de Gigaoctet par mois). Au cours de cette même période, le trafic des réseaux 3G a dépassé celui des réseaux 2G.

A l’origine du phénomène, l’usage de plus en plus croissant des smartphones connectés à l’Internet mobile, et des connexions mobiles disponibles sur les ordinateurs portables sous la forme de clés 3G. La navigation sur les sites de réseaux sociaux et le trafic généré par les PC à connexion mobile représenteraient, selon une étude présentée par l’équipementier au salon CTIA Wireless de Las Vegas, les plus gros consommateurs de bande passante. Le trafic données a progressé de 280% au cours des deux dernières années. Et les prévisions indiquent qu’il devrait doubler chaque année dans les cinq années à venir.

Anticiper un risque de dégradation des débits

« Ces observations constituent un événement marquant », a commenté Hans Vestberg, PDG d’Ericsson. « Les 400 millions d’abonnements mobiles haut débit génèrent à eux seuls plus de trafic données que de trafic voix sur un total de 4,6 milliards d’abonnements mobiles dans le monde ».

Face à la multiplication des appareils connectés et au risque d’une dégradation des débits, les opérateurs devraient être contraints de réviser les capacités de leurs réseaux mobiles. Certains pourraient même instaurer des paliers de consommation afin de limiter le surf mobile des clients les plus gourmands. En Espagne, Vodafone propose depuis quelques mois un accès premium qui garanti aux clients entreprises la 3G sans perte de débit, en échange d’un surcoût mensuel. Selon une étude publiée cette semaine par le cabinet Park Associates, le nombre d’utilisateurs de smartphones dans le monde devrait quadrupler pour dépasser, en 2014, la barre du milliard.

Source: lemondeinformatique.com

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mars 25

Le film plein d’auto-dérision réalisé par l’agence Saatchi & Saatchi Canada qui démontre à grands coups de clichés l’ultra conservatisme de certaines agences traditionnelles se refusant encore à l’évolution du marché de la communication “en se cramponnant aux bonnes vieilles choses qu’elles connaissaient” est un véritable buzz sur le Web.

Forcement, ce type d’initiative nous fait beaucoup rire étant donné que nous vivons chaque jour ce même genre de situation. Souvent, des clients qui veulent jouer le jeux et tenter une aventure mobile et, parfois, je dis bien parfois, certaines agences traditionnelles qui bloquent face à un sujet qu’ils me maitrisent pas et préfèrent s’accrocher à leurs succès classiques et efficaces, TV, affichage, radio, web.

Ce mini débat me rappelle en tous points ma première expérience professionnelle. Il y a maintenant une dizaine d’années, nous avions travaillé avec l’agence BDDP Téquila Interactive sur le projet Mobistyle, le premier site web pour Orange destiné à sa cible 15/ 20 ans.

Lors de la dernière présentation client, celui-ci avait eu cette petite phrase qui m’avait dévasté “ C’est sympa votre truc mais franchement, pour moi Internet c’est juste une question de mode”. A l’époque, je l’avoue je l’avais assez mal digéré. Mais avec l’expérience et le recul, je pense avoir compris le sens de sa remarque.

Oui, effectivement, c’était sympa et techno mais ce n’était surtout pas axé vers l’utilisateur final. Des vidéos de 3 minutes à regarder via une connexion 56K, c’est pas simple et pas la meilleure solution pour faire passer un message. Oui Internet, à l’époque, était un phénomène de mode dont on parlait tous les jours dans les médias et oui le nombre de connexions était limité. Mais Orange fût le premier opérateur à prendre le risque de monter un site web ciblé. Encore aujourd’hui l’opérateur présente cette étude de cas dans ses coups d’éclats médias comme étant un early adopter capable de prendre des risques …

Aujourd’hui, ici, au Québec, nous nous trouvons dans un situation similaire et nos clients qui prennent le “risque” d’intégrer le mobile dans leur stratégie de communication et ils s’imposent sur un marché encore vierge. L’exemple japonais ou européen et les études de cas à succès le prouvent. Ils ont raisons d’être présent sur le mobile.

Le consommateur n’est plus passif et encore moins la nouvelle génération qui s’en vient. C’est une première dans l’histoire de la téléphonie mobile, selon l’équipementier suédois Ericsson, le trafic des données web sur les réseaux mobiles dans le monde a dépassé celui de la voix au cours du mois de décembre 2009.

Voulez-vous, voulons nous faire partie de la dernière agence de pub sur Terre ? J’espère bien que non!

Mathieu Sirot, directeur de création, Piranha.

mars 24

Cette semaine le chiffre de la semaine d’Infopresse concerne la télévision et les téléphones portables.

Ainsi, 29% des Québécois se disent intéressés par la possibilité de regarder des émissions ou des extraits d’émissions de télé sur leur téléphone portable. À noter que ce pourcentage est axé sur la proportion des gens qui possèdent un téléphone dit intelligent, soit 11%.

Ce sondage exclusif d’ Ad hoc recherche a été réalisé auprès de 508 Québécois du 10 au 23 février 2010 (marge d’erreur de ± 4,4%, 19 fois sur 20).

Source: Infopresse.com

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mars 22

Moins de quelques semaines après son annonce fortement médiatisée, se dégage l’impression que finalement tout est déjà dit sur l’iPad. Avec 3 axes très classiques : les « ultra pour », « les contres », et les « attentistes » qui comme d’habitude décideront plus tard. Chacun ayant de bons arguments, souvent tous très justes, il est possible de débattre longtemps sur l’absence de l’appareil photo, ou sur la possibilité de téléphoner ou pas… d’autant qu’il paraît évident que ces fonctions dites « manquantes » seront toutes ajoutées au fil des versions. C’était là même chose pour le iPhone non?

N’est il donc pas finalement beaucoup plus intéressant de s’interroger sur la place que va prendre ce nouvel objet dans nos vies, dans nos foyers ? Car au-delà de l’iPad, c’est de l’avènement des objets communiquants dont il s’agit et de leurs places à nos cotés. Car en effet un iPad est un objet communiquant, c’est à dire un objet qui ne sert pas nécessairement à téléphoner, qui est connecté aux réseaux sans fils, 3G ou Wifi et qui permet de communiquer dans le cadre de relations interpersonnelles, dans le cadre de réseaux sociaux ou encore de consulter de l’information et consommer des services via des applications ou le navigateur embarqué.

Il est alors intéressant de se demander « Comment » sera utilisé cet objet ? Sur la base de quelle stratégie « multi-canal » des annonceurs ? Et surtout à quel besoin, existant ou à créer, répondra-t-il pour les consommateurs ? Car en effet à ce jour bien malin celui qui peut répondre à ces questions avec certitude. Alors à défaut de certitude, retournons nous vers nos convictions et analysons la situation :

Il parait aujourd’hui clair et évident qu’un ordinateur (même portable) isole et qu’il n’est pas l’outil adapté pour une consultation d’informations et de services dans le salon en famille, dans les transports … L’ordinateur portable ne sert finalement qu’à transporter son bureau et ses moyens de communications. A l’autre bout de la chaine, le téléphone portable (à travers le Smartphone) a « corrigé le tir » à l’extrême, avec un confort de lecture et de saisie malmené par les limitations de tailles imposées par l’objet et par son réceptacle : la poche.

Pourtant l’ordinateur portable et le téléphone portable ont en commun la confidentialité des informations, le respect de la vie privée, un rapport personnel avec son propriétaire. Le rapport de possession est fort. Ordinateur ou téléphone portable : c’est le mien, je ne le prête pas !

Pourtant la tablette iPad se prête, elle, à un usage familial dans le salon et c’est cela qui est nouveau en terme d’usage et de comportement. Mais dans ce cas, qui configurera son mail derrière le bouton mail ? Qui déclarera son compte facebook ? Qui choisira les préférences et les favoris, le subset d’applications installées ? Car ce qu’il manque sur l’iPad, comme sur la majorité des objets communiquants, c’est tout simplement la gestion des utilisateurs. Une gestion simple et efficace qui se transposerait de mon ordinateur à ma voiture en passant par mon téléphone et mon iPad. Comment parler sinon de continuité d’usage et de convergence si le passage d’un objet à l’autre correspond à un passage du privé, de l’intime au public.

Il faut également se pencher sur les nouvelles opportunités liées aux nombreux pixels ajoutés. L’écran de l’iPhone imposait encore de faire des choix et de rester sur des applications très verticales. Une application ne devait, faute de place, faire qu’une seule chose mais la faire bien, et cela de manière pratique, optimisée pour la mobilité. Or la Tablette sera manifestement plus utilisée de manière sédentaire, avec plus de confort autour de soi et de temps pour l’utiliser. Nous allons donc voir arriver des applications qui vont s’horizontaliser et fédérer des contenus différents en affichant par exemple sur un même écran la météo, les mails non lus, le fil de news de mon quotidien préféré mais pourquoi pas également mon mur facebook. Le retour des portails sous forme d’applications ? Et pourquoi pas !

Quoi qu’il en soit nous sommes avec l’iPad, dans le challenge (l’avènement ?) du multi-écran. Celui-ci imposant d’être reconnu et connu par l’ensemble des systèmes informatiques que j’utilise mais aussi et surtout que ceux-ci s’adaptent en fonction de mes préférences globales (communes) et particulières (spécifiques). La synchronisation des données et des préférences se fait en temps réel. Apple avec Mobile-Me l’a bien compris : une brique encore silencieuse mais finalement pilier essentiel d’un dispositif multi-écran : la synchronisation.

L’objet est là, les attentes sont fortes, les usages à créer, les services à développer. Apple a fait la première partie du challenge, aux Agences de faire le reste, en mettant les bons services dans l’écrin.

Depuis quelques semaines nous recevons plusieurs appels des annonceurs soucieux de ne pas rater le lancement et une si belle occasion de mettre leurs marques en avant, même si il est certain que l’iPad représente un coût supplémentaire dans leur stratégie digitale. Un développement, un service, une application iPad n’est pas un site mobile, ni un développement iPhone ou Android. Il faut REfaire, REpenser, REdévelopper, REpayer … et pourtant cela en vaut la peine.

L’iPad est le moyen de comprendre ce que fait le consommateur dans son salon, dernier endroit où il n’a pu être ciblé mieux que par une télévision « broadcast » ne permettant aucun retour, aucune interactivité et aucune continuité de service avec les autres canaux, mais il est aussi et surtout le moyen de savoir ce que fait toute la famille dans son ensemble.

Combien de téléspectateurs « buzzeront » demain de chez eux sur leur tablette pendant l’émission « Question pour un champion » en confrontation directe avec les joueurs sur le plateau. Combien d’ados feront via facebook des commentaires et partages d’émotions en direct sur le film en cours. Combien de séniors pourront enfin participer en temps réel au jeu des chiffres et des lettres depuis leur fauteuil. Les informations contextuelles récoltées sont potentiellement énormes, à la croisée des chemins entre l’usage, la localisation, l’écran, l’individu et sa famille.

La page est finalement presque Blanche, un véritable appel à créativité. Un espace de rupture où il est possible de réinventer, de sortir des codes des canaux traditionnels tels que le web et la télévision. Et en repartant du mobile s’émerveiller à nouveau devant l’étendue de l’océan bleu qui se présente devant les agences mobiles, les annonceurs et au final les consommateurs.

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