Marketing-mobile.ca
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Archive pour décembre 2009

décembre 31

2006 l’année zéro, le recommencement après l’échec du wap. De nouvelles générations d’agences arrivent, avec la vision que l’ecco-système mobile est enfin prêt et qu’il est enfin possible de mener des opérations mobiles de qualité. Il en résulte de belles campagnes SMS MMS et des sites événementiels de promotion de marque ou de produits de qualité. Avec 2007 arrive la conviction généralisée qu’il est possible de changer de vitesse. C’est le début des sites de M-commerce. Dorénavant le mobile devient un canal de vente directe à coté des autres canaux de vente des annonceurs. C’est enfin le décollage annoncé.

2008 l’arrivée de l’iPhone bouscule tout, l’ergonomie et le design passent au centre des préoccupations. L’objet et les services qu’il peut rendre intéressent autant les directions marketing, communication que les directions informatiques. On passe d’opérations mobiles à de véritables stratégies mobiles. Enfin 2009, l’année de la consolidation, les agences font « du beau ». Des services interconnectés avec des systèmes d’informations complexes (vente, bancaire …), sans compromis ni sur les fonctionnalités, ni sur le design, ni sur la qualité de service.

Pendant ses 4 années les Agences ont évoluées. Elles se sont adaptées et souvent transformées. Beaucoup se sont adossées à de grands groupes pour être plus solides. Elles sont passées de l’age de start-up de quelques personnes à de véritables PME de plusieurs dizaines de personnes sans pour autant qu’un modèle ne s’impose. Certaines se sont spécialisées par technologies (iPhone), d’autres sur le marketing mobile annonceurs, d’autres enfin se sont focalisées sur le conseil, la régie ou encore la technique.

2010 Année décisive

Face à un marché de plus en plus important, les attentes des clients (très souvent des grands comptes) sont fortes, tiraillés entre réduction des coûts et exigence de qualité. Les projets sont maintenant à la fois dans les mains des directions opérationnelles mais aussi des directions des achats et très souvent visibles de la direction générale. L’attente la plus forte est pourtant celle du consommateur final qui accepte de moins en moins la médiocrité des services mobiles et sanctionnent les services mobiles qui ne sont pas « à la hauteur ». Le tout en en demandant toujours plus.

L’Agence de 2010 doit naviguer dans l’océan de ces nouvelles attentes et contraintes sans pour autant perdre son agilité, son expertise et son excellence opérationnelle. Elle sera devenue une agence transverse intégrant en son sein les compétences essentielles aux services mobiles d’aujourd’hui (conseil, création, design, ergonomie, réalisation) tout en s’appuyant sur des horizontales métiers dédiées pour l’intégration de modules ou composants spécifiques (reconnaissance d’image, réalité augmenté, solutions de paiement…)

Les agences Mobile ne se contenteront plus de surfer de manière opportuniste sur l’engouement du Mobile car ce serait oublier que cette industrie a déjà subie des revers forts dans les années 2000. Les Agences mobile de nouvelle génération surfent et continueront à surfer sur les innovations mais aussi et surtout mettront en place les moyens de les industrialiser. L’innovation pure ne séduit plus et fait place à l’innovation « bac à sable » qui doit à la demande des clients rejoindre rapidement les fermes des projets industrialisés, maitrisés tant en terme de QOS que de coûts. C’est à ce prix uniquement que le client final continuera d’être au rendez-vous. Car finalement que veut-il ? Si on lui demandait il dirait probablement : utile, intéressant, accessible, abordable et de qualité.

2010 Année de la concurrence

Pas tant la concurrence fratricide à laquelle sont habituées les « Mobile Agency », mais la concurrence des autres acteurs attirés par les nouveaux budgets mobiles des grands comptes. Les grandes ou moyennes SSII, comme les grandes Agences Web, essayeront de prendre leur part du « gâteau ». Certaines y arriveront, d’autres pas, car ce qui est important pour les clients des Mobiles Agency c’est avant tout une Expertise, une Vision de l’avenir permettant de proposer des plans mobiles long terme intégrant les innovations actuelles et celles à venir, mais aussi est surtout une dimension conseil, design et ergonomique… Tout cela ne s’improvise pas d’autant que les problématiques vont passer du multi-device au multi-écran, multi-canal, le tout avec une approche rationnelle d’optimisation des coûts, de la réutilisabilité entre les canaux et au sein même de chaque canal. Quelle sera la place des Mobile Agency dans ces nouveaux dispositifs ? Celle qu’elles oseront prendre par leur audace, et leur capacité comme elles l’ont fait sur le mobile à créer des interfaces innovantes, des interfaces qui ne sont pas le copier/coller du web ou du mobile mais bien le révélateur d’une nouvelle expérience, celle du multi-écran.

Pour cela, seules les agences ayant été capables de se structurer, de fonctionner non plus en réactif mais en proactif par rapport aux très nombreuses demandes de leurs clients actuels et à venir, passeront ce cap. C’est à dire celles ayant mis en place de véritables politiques d’innovation et de rationalisation. Celles qui seront passées dans l’aire industrielle et qui seront en ordre de marche passeront cette nouvelle année et les suivantes sans encombre.

La maturité en 2010 ?

Finalement tout cela est terriblement classique et représente le cycle de maturité de tout secteur d’activité émergeant ! Mais pourquoi serait-ce différent ? Ce qui est finalement et fondamentalement différent, c’est que Agence Mobile conjugue l’avenir avec le présent. Ce qui est différent c’est que dans chaque cas client se fusionne les possibles d’aujourd’hui tout en laissant apercevoir ses déclinaisons de demain sur la télévision, sur le GSP de la voiture, sur la Table Surface® ou encore sa tablette Apple®. Ce qui est différent c’est que nous ne savons pas aujourd’hui sur quel écran nous travaillerons dans cinq ans. Ce qui est en définitif passionnant c’est cette absolue nécessité de challenger à la fois la technologie et les développements de services afin d’aller de l’avant pour faire du monde mobile de demain un espace de services utiles, intéressant, de qualité et accessible de tous les écrans, partout.

Alors rejoindre une Agence Mobile en 2010 ou Démarrer une véritable stratégie mobile avec l’une d’entre elles ? Quoi d’autre ?!

Source: servicesmobiles.fr

décembre 31

Orange profite du réveillon de fin d’année pour lancer en partenariat avec l’assureur MMA une campagne sur mobile destinée à « sensibiliser plus de 2 millions de mobinautes sur les dangers de l’alcool au volant ».

La campagne repose sur un site internet mobile qui permet notamment de désigner entre amis un capitaine de soirée, par tirage au sort. Après avoir renseigné le numéro de téléphone de chaque prétendant, l’un d’eux reçoit un SMS : « Ce soir, vous êtes le capitaine de soirée. Et rappelez-vous (tous en cœur, ndlr) : Celui qui conduit, c’est celui qui ne boit pas. »

Le site internet propose également un « éthylotest », à l’approche bien différente de celui de Google, qui se contente en fait de calculer une estimation du taux d’alcoolémie en fonction de la corpulence du mobinaute, de sa consommation à jeun ou non et du nombre de verres qu’il a bu. Ainsi, si un mobinaute de 75 kg a bu une demi douzaine de breuvages alcoolisés savamment dosés à jeun, le test lui rappelle qu’il est bien au dessus de la limite légale de 0,49 gramme d’alcool par litre de sang et que le risque d’accident mortel est multiplié pour lui par 10. Une application iPhone offrant les mêmes fonctionnalités est également proposée sur l’App Store.

Les cases à cocher et les listes sont malheureusement de petite taille. L’ergonomie n’a donc pas été pensée pour ceux qui ont bu une bonne douzaine de verres et qui se demanderaient encore s’ils peuvent prendre ou non le volant. Quoi qu’il en soit, le site internet est accessible à cette adresse , quelque soit votre opérateur.

Source: mobinaute.com

décembre 29

La plateforme de ventes aux enchères Ebay annonce avoir enregistré une forte activité sur son portail Internet en cette période de fin d’année et particulièrement de la part des mobinautes. En effet, la fréquentation de ces derniers aurait triplé en comparaison à Noël 2008.

00fa000002701246 Rien qu’aux Etats-unis, Ebay enregistrerait environ 750 000 visiteurs uniques par jour et notamment aux Texas. La société explique par ailleurs que la nature des transactions effectuées depuis les terminaux mobiles a également évoluée. En effet, jusqu’à présent les internautes ne se risquaient pas à acquérir, via leur téléphones, des objets de grande valeur. Pourtant, parmi les ventes effectuées fin 2009 nous retrouvons un bateau de 7 mètres acheté pour plus de 19 000 dollars ou encore un grand piano pour 10 000 dollars.

Il semblerait donc que les applications mobiles d’Ebay soient véritablement arrivées à maturité en offrant une ergonomie suffisamment rassurante pour encourager les internautes à les adopter de façon régulière. Aujourd’hui 6 millions d’utilisateurs auraient déjà installé l’application Ebay sur leur iPhone et 1,5 million d’articles ont été vendus sur la période de Noël.

Lorrie Norrington, président de la société, explique ainsi : « le mobile a changé la manière de faire ses courses sur cette période de Noël. Cette année, les vendeurs et acheteurs d’Ebay ont rapidement adopté les applications mobiles ».

Source: neteco.com

décembre 28

Afin de promouvoir la nouvelle collection de maquillage Lancôme pour la saison Automne/Hiver 2009, la marque de cosmétiques utilise le marketing mobile et plus particulièrement la solution Iphone et ses qualités ludiques.

En utilisant les possibilités tactiles de l’appareil, l’application permet au propriétaire de l’Iphone de tester sur un mannequin différents styles et looks via une palette virtuelle.

Une belle application de “Mobile snacking” utilisable à tous moments qui permet à l’utilisatrice de vivre une expérience très personnelle et de s’impliquer grâce à la marque Lancôme dans un système de création lié au luxe.

Les résultats obtenus sont ensuite sauvegardés dans la mémoire de l’iphone et peuvent être envoyés par courriel à ses contacts, une belle façon ludique d’imposer la marque dans le menu du mobile.

Simple et dans l’air du temps cette application -dans son approche très ciblée- ressemble à l’une de nos futures campagnes en développement. A suivre …

Mathieu Sirot, Directeur de Création

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décembre 24
  • Maxime Bergeron de La Presse

(Montréal) L’année 2010 sera la plus «excitante» de la jeune histoire de l’industrie du sans-fil, prédisent les experts. Avec l’arrivée de plusieurs nouveaux fournisseurs et la multiplication des téléphones «intelligents», les Canadiens auront du choix comme jamais. Et de meilleurs prix. Tour d’horizon de l’année qui s’amorce.

«Ne vous enfermez pas dans un contrat que vous regretterez: la concurrence s’en vient!»

Ce message, placardé par DAVE Wireless dans une dizaine d’abribus d’Ottawa et de Toronto, vise évidemment à attirer les clients chez ce nouveau fournisseur sans fil. Mais au-delà des slogans promotionnels, les experts sont formels: 2010 sera une année charnière dans l’industrie canadienne de la téléphonie mobile. L’année de la concurrence.

«On pense que ce sera l’année la plus excitante dans le sans-fil depuis l’avènement du cellulaire dans les années 80», affirme Iain Grant, président du SeaBoard Group, boîte montréalaise d’analyse de télécoms.

Après une fin 2009 marquée par la guerre juridique entre Bell, Rogers et Telus – qui se chicanent pour déterminer qui a le meilleur réseau – et le lancement du service de Globalive à Toronto, le début de 2010 sera chargé d’annonces de la part des nouveaux fournisseurs. Public Mobile, Vidéotron et DAVE Wireless devraient tous entrer en activité au cours des prochains mois, tandis qu’Eastlink et Shaw songent aussi à entrer dans la course.

Les Canadiens seront bombardés d’offres de ces nouveaux venus, auxquelles s’ajouteront les promotions des trois acteurs établis. Les prix, déjà en baisse depuis plusieurs trimestres, poursuivront leur recul.

«On verra Rogers et Bell et Telus changer leurs offres et leurs tarifs pour affronter ceux de Vidéotron, fait valoir Iain Grant. En somme, 2010 sera une bonne année pour être un client sans fil.»

Le revenu mensuel moyen par abonné – une mesure-clé dans l’industrie – a déjà diminué de 3,9% au troisième trimestre de 2009, selon les chiffres compilés par Merrill Lynch et obtenus par La Presse Affaires. La facture des abonnés canadiens atteint en moyenne 54,85$ chaque mois, ce qui la place au troisième rang des plus salées de toute la planète. Les prix demeureront élevés l’an prochain selon les normes internationales… mais ils seront tout de même plus digestes pour les consommateurs.

Révolution techno

L’année qui s’amorce ne sera pas seulement marquée par la concurrence accrue. L’industrie du sans-fil assistera aussi à une transformation accélérée de sa structure de revenus.

La portion du chiffre d’affaires tirée du transfert de données – textos, navigation sur l’internet, télé mobile – prendra une part de plus en plus importante pour les fournisseurs. En 2009, cette part a atteint environ 20%; elle devrait s’établir à 24% à la fin de l’an prochain, prévoit le Convergence Consulting Group (CCG) de Toronto, spécialisé en télécoms.

«Il n’y aura aucune croissance de revenus dans la voix: toute la croissance proviendra du transfert de données», avance Brahm Eiley, président du CCG.

Bien des adolescents sont déjà accros des fonctions évoluées de leurs appareils. Ils naviguent sur YouTube, Facebook et s’envoient des messages vidéo. «Au moins la moitié de mes amis ont des téléphones intelligents, c’est vraiment la norme», raconte Elisabeth Bayard Arthur, 15 ans… qui s’est fait saisir son iPhone par son père à cause de sa surutilisation.

Or, les iPhone et autres Blackberry ne seront bientôt plus l’apanage des ados, gens d’affaires et technophiles. Si l’on se fie aux prévisions du CCG, ces appareils high tech feront une percée majeure en 2010. Le tiers des Canadiens en possédera un à la fin de l’année, comparativement à 24% aujourd’hui, selon le groupe d’analyse.

Comme il y a environ 22 millions d’abonnés sans fil au pays, cela veut dire que près de 2 millions de nouveaux téléphones intelligents seront vendus au cours de la prochaine année. Une manne pour les fabricants.

Le lancement d’un nouveau réseau conjoint HSPA » par Telus et Bell en novembre dernier, beaucoup plus puissant que leur autre réseau CDMA, devrait aussi favoriser la pénétration accrue des appareils intelligents au pays. Les deux fournisseurs ont maintenant accès à des téléphones plus sophistiqués, dont le iPhone d’Apple, qui était jusqu’à présent l’apanage de Rogers.

L’analyste Iain Grant, du SeaBoard Group, souligne toutefois qu’il existera toujours un marché pour les gens à la recherche d’un téléphone simple et abordable, destiné seulement à parler et à envoyer des textos. Public Mobile, qui lancera son service à Montréal d’ici quelques mois, visera exactement ce créneau.

QUI SONT LES NOUVEAUX VENUS?

1. Vidéotron

Après quelques reports, la filiale de Quebecor devrait lancer son service «l’été prochain» sur un tout nouveau réseau 3,75G évolué, a confirmé hier Vidéotron. L’entreprise a allongé 555 millions pour mettre la main sur des licences sans fil auprès d’Industrie Canada, et elle investit à peu près autant pour bâtir ses infrastructures. Vidéotron offrira des appareils intelligents comme le BlackBerry et espère répéter le succès rencontré avec sa téléphonie résidentielle numérique, qui a raflé 1 million de clients à Bell en cinq ans. Les prix seront plus bas pour les abonnés qui souscrivent déjà à d’autres services du câblodistributeur, comme l’internet, promet Vidéotron.

2. Public Mobile

Ce nouveau venu promet un service sans flafla, à prix fixe. Pour 40$ par mois, Public Mobile offrira un forfait voix et texto illimités. Les appareils seront simples et économiques, à mille lieues du populaire iPhone. L’entreprise a investi seulement 52 millions dans l’enchère de licences sans fil organisée par Industrie Canada au printemps 2008, achetant des fréquences peu désirables du «bloc G», jamais utilisées jusqu’à aujourd’hui pour la téléphonie cellulaire. Or, grâce à un nouveau logiciel, Public Mobile affirme avoir rendu des appareils existants compatibles avec cette fréquence. Des doutes subsistent quant à la fiabilité, mais l’entreprise se montre rassurante. Lancement prévu à Montréal et à Toronto dans les premiers mois de 2010.

3. Wind Mobile

Après des semaines de tergiversation, Globalive a finalement lancé son service à Toronto la semaine dernière, sous la bannière Wind Mobile. L’entreprise dirigée par Anthony Lacavera était sur le point de pénétrer le marché quand le CRTC l’a empêchée en novembre dernier. Le problème? Globalive est contrôlée majoritairement par un groupe étranger l’égyptien Orascom Telecom Holding , ce qui contrevient aux lois canadiennes, selon l’interprétation du CRTC. Or, Industrie Canada avait déjà accepté la soumission de Globalive lorsqu’elle a encaissé son chèque de 442 millions pour l’achat de fréquences sans fil, au printemps 2008. Le ministre fédéral de l’Industrie, Tony Clement, a donc renversé la décision du CRTC, permettant à Wind Mobile de lancer ses activités. L’entreprise compte offrir son service partout au pays, à l’exception du Québec.

4. DAVE Wireless

Ce nouveau venu ontarien visera avant tout les grandes villes du pays, sauf celles situées au Québec. L’entreprise bâtit présentement un réseau 3G à Toronto, Vancouver, Calgary, Edmonton et Ottawa, et projette de lancer son service au cours des six premiers mois de l’année. Des appareils intelligents seront offerts, avec une gamme de services évolués, mais la société ne divulgue aucun détail pour l’instant. DAVE Wireless, financée par deux groupes privés, a allongé 243 millions pour mettre la main sur des licences sans fil. Le groupe affirme qu’il aurait aimé être présent au Québec, «mais que Vidéotron a raflé la majorité des licences disponibles».

5. Shaw et Eastlink

Ces deux câblodistributeurs, l’un situé dans l’ouest du pays et l’autre dans les Maritimes, ont investi respectivement 190 et 26 millions dans l’achat de licences sans fil auprès d’Industrie Canada en 2008. Cependant, aucune n’a encore énoncé de plans précis pour le lancement prochain d’un nouveau service.

——–

Le sans-fil au Canada

22 millions d’abonnés

68%: Taux de pénétration à la fin de 2009

72%: Taux de pénétration prévu à la fin de 2010

15,9 milliards de dollars de revenus en 2008

92 millions de textos envoyés chaque jour

-3,4%: Baisse moyenne des prix en 2009

Sources : Association canadienne des télécommunications sans fil, Convergence Consulting Group, Bank of America/Merrill Lynch

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décembre 22

L’arrivée dans le XXIe siècle a été accueillie avec un soupir de soulagement: les ordinateurs ont bel et bien accepté l’existence des années 2000 et le fameux bogue portant le nom du nouveau millénaire ne s’est jamais matérialisé.

Dans les 10 années qui ont suivi, la face du monde a été transformée par une myriade de nouvelles avancées technologiques. Les années 2000 nous ont donné les MP3 et le iPod, la photographie numérique abordable, les Blackberry et des moyens de télécommunications qui ont permis aux citoyens de monde de se rapprocher.

Mais l’un des progrès les plus importants pour les gens a été l’accès internet haute vitesse, qui a mené à une migration de masse en ligne et à des changements technologiques infinis qui ont transformé notre façon de vivre.

Qui se souvient de l’époque des billets d’avion en papier et des craintes initiales devant l’idée de faire du commerce en ligne? De la paranoïa entourant les services bancaires sur Internet? Les craintes sur le vol d’identité et la fraude ne se sont pas envolées, mais l’Internet a modifié ces industries, tout comme il a forcé les entreprises produisant des encyclopédies, des télécopieurs, des cartes, des annuaires téléphoniques et des journaux à s’adapter ou à disparaître.

En 2000, la plupart des internautes utilisaient leur ligne téléphonique pour accéder à l’Internet, une expérience qui exigeait une certaine patience.

À l’époque de Napster, il était possible de télécharger quelques chansons en une heure. Aujourd’hui, télécharger une pièce ne prend que quelques secondes. A l’époque, on ne songeait même pas à télécharger des vidéos; de nos jours, les internautes canadiens passent en moyenne 15 heures par mois à regarder des vidéos en ligne, selon comScore Canada, qui analyse les tendances en ligne.

Les experts croient que les années 2010 seront encore une fois dominées par les avancées technologiques liées à l’Internet, mais dans la prochaine décennie, les télécommunications mobiles seront en vedette.

Bryan Segal, de comScore Canada, croit que les gens passeront plus de temps sur leur téléphone cellulaire à faire autre chose qu’à parler.

Les internautes déjà obsédés par le réseautage social sur leur ordinateur transporteront cette interface avec eux, partout où ils iront, ce qui contribuera aux changements qui seront apportés dans le domaine des communications, selon Bob Berner, de Rogers Communications.

Le téléphone mobile pourra aussi éventuellement sauver des vies, en permettant l’accès au dossier médical complet de son utilisateur.

Source: La Presse Canadienne (Toronto)

décembre 22

Chez Cossette Média, on livre les bannières web à l’aide d’Adcentric, le serveur publicitaire appartenant à l’agence.

AdCentric est un outil de ciblage, un facilitateur d’innovation et de créativité, qui permet aussi d’être imputable aux yeux de l’annonceur.

Les données produites par cet outil peuvent être très utiles pour nous chercheurs. Nous avons demandé de détecter le % de l’inventaire publicitaire qui est livré sur des fureteurs de téléphones mobiles comparativement aux fureteurs d’ordinateurs. En assumant que les millions d’impressions d’une campagne sont représentatives de l’activité web en général, nous pourrions projeter le % de l’activité web qui se fait sur les téléphones mobiles

Nous avons donc fait l’analyse de 2 campagnes nationales similaires qui ont eu lieu à l’automne 2008 et 2009. Nous avons segmenté entre les sites francophones et anglophones pour comparer l’importance et la croissance du mobile au Québec et dans le reste du pays.

Nous concluons qu’à l’échelle nationale, le % de l’activité web sur le mobile a cru de 500% au cours des douze derniers mois. Et bien qu’à l’automne 2008 le web mobile semblait plus développé au Québec, en 2009 il représente toujours moins de 1% (0.4%) de toute l’activité internet dans les deux régions que nous avons mesurées.

Perpectives d’avenir

Nous croyons que la croissance de l’internet mobile s’accentuera puisque la navigation sur le mobile est de plus en plus accessible à cause :
 du développement du wi-fi et du 3G;
 de l’augmentation des ventes de téléphones intelligents,
 de l’arrivée de nouveaux concurrents et;
 de la baisse des prix des forfaits data que celle-ci occasionnera.

Source: horizonsrecherche.wordpress.com

décembre 22

En cette période festive de fin d’année, on va à nouveau voir la prolifération de l’usage des téléphones mobiles pour les différents souhaits. On a constaté encore l’année passée, que des records avaient été battus en terme d’envoi de SMS. Aujourd’hui, de nouveaux modèles de mobiles ont fait leur apparition, de nouvelles applications, de nouveaux usages et dans tout ça le SMS reste toujours très utilisé. Explication !

Pourquoi le SMS reste t’il toujours la panacée des échanges entre mobiles ? Et ce, malgré l’explosion des ventes des smartphones, avec l’implémentation de l’email, la simplification des envois de MMS, l’usage grandissant de l’Internet mobile, la naissance des applications avec notamment le succès considérable de l’iPhone, l’utilisation du SMS continue sur sa lancée. Avec peu de doutes, on va surement vers de nouveaux records d’échanges de SMS en cette fin d’année. On a vraiment l’impression que le SMS est un moyen à part entière sans comparaison avec l’email ou les autres applications, il vit sa propre vie indépendamment des autres types d’échanges.

L’une des raisons à avancer c’est que le simple et rapide plait et que l’envoi d’un SMS est à la portée de tout le monde que ce soit avec le plus ancien des téléphone mobiles ou le dernier des smartphones. Aujourd’hui toutes les tranches d’âges s’y mettent, de 7 à 77 ans, voire plus. Rien de plus simple et de plus rapide pour une communication entre mobiles, excepté la voix peut être. Tous les mobiles permettent de communiquer par SMS, il reste le tronc commun aux échanges simples et rapides. Les autres canaux de communication connaissent aussi leur succès et se démocratisent de plus en plus mais le SMS reste indépendant et ne subit pas les nouvelles solutions de communication.

Que ce soit dans une communication grand public ou une communication plus professionnelle, le SMS tient son succès dans sa très large portée : pas de problèmes de compatibilité du mobile, pas de soucis à se faire si le destinataire possède l’option qu’il faut à son téléphone pour recevoir le message, pas de questions à se poser sur la forme que va prendre son message sur le mobile du destinataire. Le SMS, universelle est un vrai passe partout et peut permettre une communication à très grande échelle.

Le SMS devient alors le complément sans faille et nécessaire à toute campagne de communication mobile que ce soit pour des informations de base, des alertes ou des offres promotionnelles. Le tout est de savoir bien l’implémenter aux autres canaux de communication pour que l’impact et l’efficacité soit au rendez-vous.

Il s’agit ici d’un article de Projicom.

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décembre 21

Au Canada nous avons le Groupe Pages Jaunes qui est un groupe puissant qui travaille sur le mobile et ils devraient nous surprendre! Ils ont une base de contenu incroyable est à jour ! Google à besoin de contenu du monde réel et ils ont besoins d’informations d’entreprises locales afin de fournir de précieux services, avoir toujours plus d’information à fournir de qualité qu’il pourra vendre aux entreprises mais donner gratuitement aux utilisateurs.

Depuis quelques temps Google avec Android commence à fournir des informations sur Google Maps pour les mobiles. L’entreprise a aussi libéré 100 000 codes-barres pour les entreprises les plus populaires qui peuvent afficher le code barre sur leur vitrine pour permettre un accès plus rapide via le mobile, demain les liens pourraient aller vers Yelp.

Le possible achat de Yelp et l’achat d’ Admob montre que Google souhaite avancer maintenant à une cadence beaucoup plus rapide car les 5 prochaines années  sur mobile seront décisif pour les acteurs.

Une vidéo très intéressante:

Source: Servicesmobiles.fr

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décembre 21

Après le Bluetooth 3.0, qui fait appel au WiFi pour assurer le transfert de fichiers volumineux, la prochaine évolution de cette norme radio destinée à des échanges à courte portée misera sur l’économie d’énergie, a annoncé en fin de semaine dernière le Bluetooth Special Interest Group. Le Bluetooth 4.0, dont les premières spécifications viennent d’être approuvées, intègrera un mode baptisé Bluetooth Loew Energy , à la consommation réduite, qui devrait ouvrir au Bluetooth la voie vers de nouveaux usages et de nouvelles gammes d’appareil.

Au sein de ce mode, deux profils seront proposés. Le premier, de type dual mode , fonctionnera comme le Bluetooth que l’on connait aujourd’hui, avec des échanges bidirectionnels entre un téléphone par exemple et une oreillette. Le second sera de type single mode , employé pour des communications à sens unique, entre un capteur et un ordinateur par exemple. Il pourrait donc être employé pour assurer la liaison entre un podomètre et un baladeur, ou entre les roues et l’ordinateur de bord d’une voiture.

Dans sa version low energy , le Bluetooth 4.0 devrait permettre d’assurer des transferts de l’ordre de 1 Mbps, avec des paquets d’une taille comprise entre 8 et 27 octets. Toujours axé sur la bande des 2,4 GHz, il reposera sur le principe de l’étalement de spectre par saut de fréquence et garantira, selon le Bluetooth SIG, une latence de l’ordre de 3 millisecondes. Au sein du réseau personnel, les adresses seront encodées sur 32 bits, de façon à autoriser la connexion simultanée d’un grand nombre d’appareils.

Cette nouvelle spécification, qui tire notamment parti des travaux de Nokia autour de sa technologie Wibree, devrait pouvoir être implémentée au sein des circuits Bluetooth actuels, laisse entendre le consortium en charge de son développement. Les premiers produits compatibles devraient voir le jour aux alentours de l’été 2010.

Source: mobinaute.com

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