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Archive pour novembre 2012

novembre 29
Quand le cocktail se sirote en QR code

Chez l’Oncle Sam, le QR code séduit le consommateur et les publicitaires, mais beaucoup moins le business de la restauration. Pourtant, les initiatives séduisantes ne manquent pas, comme la nouvelle application Coaster…

A restauration rapide, réponse rapide ? La timide appropriation du Q(uick) R(esponse) code par les chantres du fast food outre-Atlantique tend à prouver que non. Pourtant, si cette industrie très lucrative capitalise mal sur l’attraction du consommateur pour le QR code, la démocratisation de l’outil digital dans les bars et les restaurants se développe doucement… mais sûrement.

A l’image de la nouvelle application nord-américaine Coaster , les startups qui craquent pour le code utilisent ses atouts avec ingéniosité et pragmatisme. Disponible sur Apple Store et Google Play , Coaster ne fonctionne pour l’instant qu’à San Francisco. Elle devrait vite s’étendre à tous les Etats-Unis . Quel consommateur n’aimerait pas connaître le bar près de chez lui proposant les meilleurs cocktails, visualiser son choix sur l’écran de son smartphone, lire le menu et commander sa préférence en ligne avant d’aller la siroter sur place ?

Dans le même esprit que la pionnière Paperlinks , réservée aux repas à emporter, et que son expansion naturelle You Smart Butler - qui permet de lire le menu et passer commande dans tous les restaurants via sa plateforme – l’application développée par la startup californienne est encore plus attractive sur le papier.

Un « win-win » incontestable

Pourquoi ? Primo parce qu’ elle utilise la géolocalisation dans la même veine que Yelp , et propose une liste de possibilités à l’utilisateur. Secundo, car le consommateur peut lui même concevoir son cocktail personnalisé, être alerté sur son mobile quand il est prêt, et régler la note via ses codes bancaires pré-enregistrés au téléchargement de l’app. Une fois dans le bar, il suffit simplement de présenter le code à trois chiffres reçu à la commande pour la confirmer et aller s’asseoir déguster le sésame.

Si pour le consommateur l’intérêt de Coaster dépasse largement le caprice du feignant hyper-connecté, pour les bars qui choisissent de l’utiliser elle permet d’éviter la gestion parfois compliquée des files d’attente au comptoir. Un « win-win » sur lequel repose le produit d’appel du QR code auprès de l’industrie de la restauration, mais aussi de l’hôtellerie. Dans une étude de février 2011 réalisée par l’agence MGH , on apprend qu’aux Etats-Unis, les QR codes servent encore principalement à profiter de bons de réduction ou de coupons promotionnels (53%), et à avoir accès à des informations supplémentaires sur le produit ou service (52%). Dans moins de 10% des cas, ils sont utilisés dans des restaurants ou des bars.

Source: Influencia

novembre 29
Une appli jetée, un don fait

Faites le ménage dans vos applications et générez un don à Salvation Army. Une initiative généreuse et créative imaginée par de jeunes étudiants de la Miami Ad School.

Et si le virtuel laissait place au réel ? parfois un peu rude… Westley Taylor, Philip Hovensjö, Max Pilwat et Andy Schwitter ont imaginé le concept de la « Donation Box » pendant leurs études. Le principe est simple : pour toute application apple jetée dans sa poubelle virtuelle, un don est automatiquement fait à The Salvation Army, l’équivalent de l’Armée du Salut aux Etats-Unis. Se débarrasser d’Angry Bird, ces oiseaux enragés, permet par exemple à l’association de récolter environ 1 dollar.
Il suffirait, pour ce faire, de télécharger l’application Donation Box et d’y glisser toutes les applications dont on ne se sert plus. Simple et pratique pour tout le monde!

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novembre 27

C’est le thème du nouveau Rapport de Forrester « Bridging the Mobile Monetization Gap » qui aborde ce point dans un document synthétique de 16 pages qui montre que  les entreprises qui ne parviennent pas à anticiper l’impact de la mobilité sur les consommateurs seront numériquement perturbé……

Facebook, Groupon, Pandora, Rovio, Twitter – toutes ces entreprises qui attirent l’attention des médias et des investisseurs ont un point commun : elles ont toutes une forte audience sur mobile, mais un modèle économique qui n’a pas fait encore ses preuves. Le web a élargi la plupart des modèles économiques, mais a seulement créé un petit nombre de nouveaux modèles prospères. Le mobile va suivre le même chemin. Le développement, plutôt que la rupture, sera la norme pour la plupart des acteurs. Seuls quelques purs players innovants apparaitront comme l’exception, et non la règle.

Au bout du compte cependant, le mobile a le potentiel d’être un plus grand bouleversement que le web. Pas tellement en raison des revenus incrémentaux directs qu’il génère mais parce que ce nouveau canal va favoriser une transformation plus radicale vers de nouveaux systèmes d’engagement.

Cette transformation va se produire plus rapidement avec le mobile qu’elle ne s’est opérée pour le web il y a 10 ans. Le mobile a en effet des caractéristiques uniques, qui vont l’aider à combler l’écart de monétisation qui existe aujourd’hui. Cette singularité lui permet de relier les univers physiques et digitaux, d’accélérer l’innovation, la commercialisation et la croissance du marché. L’une des conclusions du rapport qui détail le sujet est que les services les plus disruptives et les opportunités proviennent de la combinaison de plusieurs technologies pour créer de nouveaux et plus efficaces modèles d’affaires radicalement différentes avec l’expérience client.

Source; servicesmobiles.fr

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