Marketing-mobile.ca
Marketing-mobile.ca

Archive pour le mot-clef « mobile »

avril 22

Sur le mobile, une publicité passe moins inaperçue quand elle est affichée sur une application qui utilise la géolocalisation que lorsqu’elle apparaît à la fin d’un message texte ou sur une bannière.

Mobile

La géolocalisation mobile est dans l’œil de mire des marketeurs , qui y voient la possibilité de générer publicités et coupons de réduction ciblés, rappelait récemment Juniper Research. Et ils ont raison : si l’on en croit la Mobile Marketing Association et Luth Research , les utilisateurs de téléphones sont plus sensibles aux publicités affichées lors de l’utilisation d’une application qui utilise la localisation qu’à celles insérées dans des SMS ou aux bannières présentes sur les sites. Pour les chiffres, on peut noter que près de la moitié des individus interrogés et confirmant avoir remarqué la présence d’une annonce sur une application basée sur la géolocalisation, explique également y avoir répondu.

Une publicité utile

C’est plus que ceux qui répondent aux réclames affichées à la fin d’un message texte – un tiers – ou qui cliquent sur une bannière lorsqu’ils naviguent sur des sites mobiles. Ces derniers sont un peu moins de 30 %. Cela en grande partie parce que cette publicité est considérée comme utile et répond à un besoin immédiat : elle permet souvent de bénéficier de promotions. « En fournissant des services et des produits basés sur la situation géographique, les marques ont la possibilité de créer un rapport plus intime avec les utilisateurs « , note Jacqueline Rosales, responsable du développement et du service client chez Luth Research.

Des applications géolocalisées en augmentation

Si ces chiffres ne sont pas encore véritablement conséquents, ils devraient augmenter avec l’engouement pour les applications géolocalisées. Selon le cabinet, 10 % des propriétaires d’un mobile interrogés annoncent utiliser au moins une fois par semaine un service qui utilise la localisation. La plupart pour situer un point d’intérêt, une boutique ou un restaurant. Sans surprise, ce sont les 25-34 ans qui sont pour le moment les plus friands d’applications géolocalisées.

décembre 29

La plateforme de ventes aux enchères Ebay annonce avoir enregistré une forte activité sur son portail Internet en cette période de fin d’année et particulièrement de la part des mobinautes. En effet, la fréquentation de ces derniers aurait triplé en comparaison à Noël 2008.

00fa000002701246 Rien qu’aux Etats-unis, Ebay enregistrerait environ 750 000 visiteurs uniques par jour et notamment aux Texas. La société explique par ailleurs que la nature des transactions effectuées depuis les terminaux mobiles a également évoluée. En effet, jusqu’à présent les internautes ne se risquaient pas à acquérir, via leur téléphones, des objets de grande valeur. Pourtant, parmi les ventes effectuées fin 2009 nous retrouvons un bateau de 7 mètres acheté pour plus de 19 000 dollars ou encore un grand piano pour 10 000 dollars.

Il semblerait donc que les applications mobiles d’Ebay soient véritablement arrivées à maturité en offrant une ergonomie suffisamment rassurante pour encourager les internautes à les adopter de façon régulière. Aujourd’hui 6 millions d’utilisateurs auraient déjà installé l’application Ebay sur leur iPhone et 1,5 million d’articles ont été vendus sur la période de Noël.

Lorrie Norrington, président de la société, explique ainsi : « le mobile a changé la manière de faire ses courses sur cette période de Noël. Cette année, les vendeurs et acheteurs d’Ebay ont rapidement adopté les applications mobiles ».

Source: neteco.com

décembre 09

Une très belle campagne. Félicitation à l’agence Marvellous!

novembre 09

Un article très intéressant sur le futur du marketing mobile! Souhaitons que cet enthousiasme pour le marketing mobile touche aussi le Canada et le Québec!

We hear a lot from so-called “industry experts” or analysts who make huge claims as to how mobile marketing is going to “take off” this year, or that this year “isn’t quite the year for mobile marketing” and so on.  Most of the time these claims are based purely on opinion and lack any real substance.

A new survey sponsored by a partnership between Millennial Media and DM2PRO decided to go directly to the source — meaning major brands and advertisers themselves– to see just how mobile marketing is working out for them, and to get an understanding as to how they plan on spending their marketing dollars using the mobile channel in the future.

100 leading agencies were surveyed to compile and in-depth analysis of mobile advertising performance and forecasts of future spending.  Dubbed “The State of the Industry,” the survey compiled data to provide a critical view on where the industry stands today, where the industry is and is not, and why agencies and publishers are planning to buy mobile in the future.

The survey indicated that 60 percent of non-mobile marketers are planning to employ some form of mobile advertising in 2010.  Subsequently, the increase in mobile spend was one of the more surprising aspects of the survey’s results.  Out of those surveyed; 31 percent of agency respondents stated they will invest between $100K and $249K next year, while more than 15 percent stated they plan on investing over $1 million.

More than half of Q4 mobile campaigns will represent between 1 percent and 10 percent of their client’s total spending, but for a few, the number could be an impressive 40-50 percent.  Overall though, nearly three quarters of the respondents stated that they had developed mobile campaigns for themselves or their clients, while around 28 percent hadn’t utilized mobile at all.  To me, a leading agency that doesn’t utilize the mobile channel for their clients shouldn’t be a leading agency at all.

When it comes to how mobile marketing is performing overall, 78 percent of respondents said the medium met their campaign goals, while an additional 9 percent said mobile performed “beyond our wildest expectations.”  Nearly one third of respondents stated that mobile has become an “indispensable” part of their media mix, while another 67 percent ranked mobile as “somewhat valuable” and only 2 percent said it wasn’t valuable at all.

It’s interesting to note that nearly 89 percent of respondents indicated that mobile was only a small part of a much larger multi-platform buy, and that internal resources remains the number one barrier to entry into the mobile channel.  More than 80 percent of agencies surveyed, who have participated in mobile campaigns, have hired or developed internal resources to support them.  Agencies expressed concern over the fact that it still involves multiple partners to “expertly execute on the promise of mobile media,” meaning things like technology partners, metrics, buying networks and app developer resources, among others.

Source: www.mobilemarketingwatch.com

Aucun commentaire

octobre 30

Voici un article très intéressant diffusé sur le site Internet www.veilletourisme.ca.

La technologie mobile (aussi appelée téléphonie cellulaire) est responsable de la prochaine grande vague d’applications liées aux voyages; son influence sera énorme pour l’industrie touristique. Tant pour les destinations, les fournisseurs touristiques, les intermédiaires que pour les entreprises technologiques, la technologie mobile aura des répercussions majeures sur la façon de vendre le voyage et de le commercialiser, et ce, pour chacun des segments touristiques. Lorsqu’on parle de m-marketing en tourisme, de quoi s’agit-il au juste? Êtes-vous prêts à embrasser cette nouvelle révolution?

Un marché mondial

Selon le dernier bilan de l’Union internationale des télécoms, à la fin de 2007, on recensait plus de 3,3 milliards d’individus possédant un téléphone cellulaire dans le monde, soit 49% de l’humanité. Il s’agit d’un incroyable levier vers le commerce de masse alors que l’on augmentera progressivement la capacité des téléphones mobiles à transmettre des données numériques. Bienvenue à l’ère du m-marketing ou du m-commerce.

Les percées technologiques qui concernent la téléphonie mobile ont rapidement une incidence importante sur les comportements de consommation en raison des forts taux d’adoption: plus de 80% dans la plupart des pays industrialisés. Avec un tel taux de pénétration, la téléphonie cellulaire est devenue un outil de communication et de marketing incontournable.

Les téléphones intelligents ( smartphones ) qui permettent de se connecter à Internet suscitent un engouement énorme auprès des consommateurs. Déjà, 500 millions de personnes dans le monde utilisent Internet comme service mobile et l’on s’attend à ce que ce nombre triple d’ici 2013. Bien sûr, les voyageurs y trouvent leur compte en accédant à un éventail d’informations touristiques. L’effet se fait sentir encore plus auprès des consommateurs «engagés» qui ont l’occasion de consulter en tout temps les informations produites par les autres touristes et qui hésitent de moins en moins à proposer leur avis.

L’industrie touristique se situe aux premières loges pour bénéficier de cette révolution de l’Internet mobile et des téléphones intelligents. Le lancement du iPhone d’Apple a certes ouvert la voie en démontrant qu’il est possible de consulter en ligne un contenu riche et diversifié à l’aide d’appareils portatifs. D’autres facteurs déterminants tels que l’arrivée de la technologie mobile 3G – qui permet la navigation haute vitesse – et des applications de type GPS donneront des ailes au développement de ce secteur.

Atomes crochus

Le mariage entre la téléphonie mobile et le marketing touristique semble hautement réalisable. Un sondage d’Ipsos, réalisé en 2008 auprès des Français, confirme que le tourisme est le secteur numéro 1 pour lequel les utilisateurs de téléphones mobiles souhaiteraient se voir offrir des marques de produits. En effet, 62% des répondants se disaient favorables à cette idée. Voici d’autres statistiques démontrant l’occasion pour l’industrie touristique de se préparer à ce nouveau canal de communication, entre autres, avec la clientèle française:

  • 41% des utilisateurs français de 15-50 ans connaissent au moins un service mobile lié au tourisme;
  • parmi eux, 51% se disent intéressés par un service lié au tourisme pour: réserver un séjour (24%); recevoir des alertes – offres spéciales provenant d’un restaurant local ou d’autres activités durant un voyage (34%); consulter des informations sur une destination, un lieu, un évènement (36%);
  • parmi les intéressés, 20% ont utilisé au moins une fois un service lié au tourisme, le plus souvent pour consulter des informations sur une destination, un lieu ou un événement; l’intérêt grandira très rapidement à mesure que l’offre s’enrichira.
  • Parmi les 87 millions d’Américains qui utilisaient les services d’Internet mobile dans le dernier trimestre 2007, 8 millions ont consulté des guides touristiques ou des cartes. En outre, plus de 30% des voyageurs américains voudraient recevoir sur leur téléphone des offres spéciales à propos de restaurants ou d’activités à proximité pendant leur voyage, selon un sondage PhoCusWright.

Du côté des voyageurs d’affaires, l’usage de téléphones intelligents fait partie du quotidien. Ils sont déjà très nombreux à adhérer aux fonctionnalités mobiles. Selon une étude mondiale réalisée en 2008 par Amadeus, plus de 69% s’en servent pour accéder à Internet (graphique 1). Dans 93% des cas, l’appareil mobile est fourni par l’entreprise.

On s’attend à ce que l’éventail des applications pour le marché corporatif s’étende tous azimuts:

  • réservation et modification des vols et des hôtels;
  • établissement des notes relatives aux frais pendant les déplacements;
  • ajout d’options pour améliorer la productivité: enregistrement des vols, «clés virtuelles» de chambres d’hôtel, cartes d’embarquement électroniques acheminées directement, etc.;
  • support aux gestionnaires des voyages d’entreprises pour promouvoir le respect de la politique de voyage au cours des déplacements (ex.: accès instantané aux listes de fournisseurs agréés).

Applications variées

Le nombre d’applications pour appareils mobiles se multiplie alors que le m-marketing est maintenant à la portée de tous. Par exemple, Lufthansa, Continental et Air Canada testent actuellement un système de code-barres pour téléphones mobiles en guise de cartes d’embarquement. Travelodge offre la réservation de ses chambres grâce à cette technologie (voir image).  Agences en ligne (ex.: Travelocity) et métamoteurs de recherche (ex.: Kayak) proposent aussi un service mobile de réservation. De son côté, le portail de destination de Las Vegas a conçu un service de concierge mobile permettant notamment la vente de billets de spectacles. Les produits culturels figurent d’ailleurs en tête de liste parmi les produits les plus souvent achetés à partir d’un téléphone cellulaire.

Voici quelques exemples d’applications concrètes qui se multiplieront au cours des prochaines années:

  • offre d’un tarif spécial ou d’une option de forfait au moment de la réservation;
  • promotion des services de l’aéroport, ceux offerts en route vers la porte d’embarquement;
  • envoi d’une carte routière de la destination accompagnée d’une sélection de restaurants, d’attractions, de divertissements, etc.;
  • offre de billets divers à destination;
  • information relative aux vols de correspondance (la porte et l’heure d’embarquement);
  • d’autres options de réservation suivies d’une carte d’embarquement «mobile» dans le cas d’un vol annulé ou retardé;
  • service d’information instantané pour un bagage perdu et proposition d’options de récupération;
  • sondage de satisfaction, cueillette de commentaires en temps réel.

À considérer avant de débuter

Si vous décidez d’offrir un contenu adapté pour la téléphonie cellulaire, le défi consiste à anticiper ce qui est susceptible d’intéresser le voyageur. Voici quelques aspects importants à prendre en compte avant de concevoir du contenu «mobile»:

  • savoir où se situe le voyageur par rapport à l’ensemble de son processus de voyage, idéalement son itinéraire, afin d’être en mesure de lui proposer des options pertinentes compatibles au bon moment;
  • s’appuyer sur une base de données de la clientèle de façon à personnaliser efficacement l’information que l’on souhaite acheminer;
  • considérer l’utilisation des médias sociaux tels que TripAdvisor afin d’améliorer la visibilité et de profiter de ce type d’application qui, dans un contexte de communication instantanée, sera très populaire auprès de cette clientèle (lire aussi: Quelle est votre stratégie pour les médias sociaux? );
  • créer des applications ou concevoir des pages Web bien adaptées aux appareils mobiles. Si la navigation est ardue, ou le temps de téléchargement, trop long, les voyageurs ne l’utiliseront pas. Le design doit être optimisé spécifiquement pour cette clientèle (voir image);
  • débuter modestement, puisque ce sont les applications les plus simples qui sont les plus susceptibles d’être jugées utiles et d’avoir du succès.

Occasions à saisir

D’un point de vue marketing, les revenus générés par la publicité sur les cellulaires représentent à peine 0,4% mais, selon le groupe Samson Bélair/Deloitte & Touche, ils exploseront au cours des prochains mois. De plus, on s’attend à ce que les ventes de téléphones intelligents poursuivent leur croissance malgré la conjoncture économique, puisque ces appareils sont davantage perçus comme des ordinateurs abordables que comme des téléphones onéreux.

Selon Peeter Kivestu de Teradata, la technologie mobile est une occasion à saisir, notamment par sa capacité à combler certains vides tout au long de l’expérience de la clientèle. Celle-ci devient accessible à toute heure, particulièrement pendant les moments critiques, lorsqu’elle est en route vers (ou en revenant de) l’aéroport ou à d’autres moments opportuns à destination, par exemple durant les temps d’attente.

C’est par l’engagement d’un véritable dialogue interactif que le consommateur peut bénéficier en tout temps d’informations hautement pertinentes et personnalisées et du même coup développer un sentiment de loyauté. La présentation d’options bien ciblées et jugées attrayantes par le client peut constituer un vecteur intéressant de revenus additionnels pour les entreprises.

Source: www.veilletourisme.ca/

septembre 21

Il y a environ 1 mois, Radio-Canada m’a demandé mon avis au sujet du retard technologique et mobile du Réseau de transport de la Capitale (RTC).  J’avais affirmé que je croyais que les sociétés publiques étaient généralement très lentes à réaliser les opportunités que le mobile leur offre. Voici un exemple qui prouve que le Canada est encore en retard!

Depuis juillet 2009, le réseau de transports en commun Optymo a lancé un nouveau service de micro-paiement de titre de transport par mobile en partenariat avec Orange Business Services. Grâce à ce service unique en France, les Belfortains peuvent désormais acheter leur ticket de bus depuis leur mobile.

Dans le cadre de sa collaboration avec Optymo, Orange Business Services a assuré le conseil, lʼaccompagnement, lʼintégration technique, l’exploitation et  l’hébergement de la solution de paiement par SMS, qui est compatible multi-opérateurs mobiles.

Quel que soit leur opérateur mobile, il leur suffit dʼenvoyer BUS au 8 41 00 pour recevoir instantanément un SMS faisant office de titre de transport. Ce billet est valable une heure à compter de sa réception, sur lʼensemble des lignes et quel que soit le nombre de correspondances effectuées.

Source : www.servicesmobiles.fr

septembre 13

août 26

Commanditaire principal depuis la première édition de l’événement en 1993, Bell propose cette année aux visiteurs du Challenge Bell d’utiliser pleinement la technologie de leur téléphone mobile afin de maximiser leur expérience.

En effet, la présence d’une borne interactive Bluetooth, à l’entrée du Challenge Bell permettra aux visiteurs de télécharger gratuitement du contenu exclusif aux couleurs de l’événement, sur leur téléphone cellulaire. De plus, les visiteurs auront accès à un site mobile leur permettant de consulter la programmation mise à jour de l’événement, ainsi que d’autres informations, peu importe le moment et l’endroit où ils se trouvent.

» Nous sommes heureux de pouvoir offrir aux visiteurs du Challenge Bell un accès facile et rapide à l’information dont ils ont besoin grâce à une technologie moderne et efficace », a indiqué Sylvie Giguère, Marraine du Challenge Bell 2009 et vice-présidente Ventes/Affaires commerciales, Québec chez Bell Canada.

Partenaire financier et technologique, Bell est très fière de pouvoir ainsi contribuer au rayonnement de la capitale nationale et permettre par la même occasion l’ouverture sur le monde qu’entraîne la tenue d’un événement de cette envergure.

août 21

Les utilisateurs s’intéressent aux services de banque mobile. Mais pour qu’ils soient adoptés massivement, les institutions ne doivent pas se contenter de voir le mobile comme une simple extension du Net et repenser leurs offres.

marketing-mobile ABI Research annonçait en début d’année 500 millions d’utilisateurs de services de banque en ligne pour 2013. Dans une étude* menée auprès d’une quinzaine de fournisseurs américains, IDC Financial Insight confirme : si la crise a quelque peu ralenti la demande pour les services bancaires mobiles et les investissements des institutions financières dans le domaine, la banque mobile ne manquera pas de s’imposer. Mais pour que ces services se développent de manière harmonieuse, les banques doivent mettre au point des stratégies adaptées au format.

Plus qu’une extension de la banque en ligne
Car si les activités réalisées depuis son téléphone sont pour le moment similaires à celles de la banque en ligne – consultation du solde de son compte en banque et transfert de fonds – les institutions auraient tort de ne considérer la banque mobile que comme une simple extension de celle sur Internet. Les fournisseurs interrogés considèrent que le succès de la banque mobile passera par l’extension des fonctions et des services existants, mais aussi par le développement de systèmes de paiement mobile par les banques. Selon le cabinet, réfléchir dès à présent à des applications adaptées, c’est aussi ne pas prendre le risque de se voir dépassé par la concurrence le moment venu.

Tendances et recommandations
L’amélioration de la sécurité et la mise en place de partenariats joueront enfin un rôle important. L’étude rappelle en effet que les législateurs suivent avec attention le développement de la banque mobile dans un mouvement qu’il est plus prudent d’anticiper. Elle prédit également l’influence croissante des réseaux sociaux sur la banque mobile au fur et à mesure que la génération digitale rejoint le monde du travail. Un rapport d’IBM rappelait d’ailleurs récemment que les 18 et 35 ans sont deux fois plus nombreux à utiliser leur téléphone portable pour effectuer des transactions bancaires.

* Mobile Banking Will Have Its Day, Just Not Today

source: www.atelier.fr

Aucun commentaire

août 04

Le “buzz” autour de la télé médecine est lancé depuis longtemps mais l’évolution rapide des téléphones portables nous fait découvrir des possibilités assez intéressantes. Par exemple : diagnostiquer des maladies infectieuses (ex: Malaria) à l’aide d’un composant microscope qui se branche au portable.

cellscopeu-u-107382-3 Dans un article récemment publié dans le journal médical PloS One , on présente l’utilisation de la technologie CellScope développé par University of California Berkeley. Utilisée dans les pays en voie de développement, cette technologie pourrait s’avérer très efficace pour la médecine de première ligne ou en territoires isolés. Le fonctionnement est simple : Un module microscope se branche à un téléphone portable et le médecin est par la suite en mesure d’analyser un échantillon sanguin. Le microscope est assez puissant pour détecter des maladies infectieuses comme la Malaria ou la Tuberculose.

Les débouchés potentiels de cette technologie sont énormes. La téléphonie cellulaire est souvent vue, avec raison, comme le planche de salut économique et social des pays en voie de développement. On a qu’à penser au gigantesque projet de Nandan M. Nilekani, cofondateur d’Infosys qui vise à fournir une identité à 1.2 milliards de citoyens indiens à travers leur téléphone portable. Le tout dans le but d’officialiser certaines transactions qui se font souvent dans la clandestinité, aux dépends des paysans impuissants parce qu’ils sont dépourvus d’identité valide. Beaucoup de projets similaires sont en développements et utilisent tous la téléphonie cellulaire comme plateforme.

Plus près de nous, l’exemple cellScope pourrait être repris sous une multitude de variantes afin d’améliorer le quotidien des patients ou des médecins mobiles.

Imaginons un médecin qui possède un téléphone intelligent comme base de travail et plusieurs accessoires (extensions) qui peuvent servir à effectuer un diagnostic rapide. Par exemple : un glucomètre, un module permettant d’effectuer des électrocardiogrammes, un tensiomètre, etc. Poussons la réflexion plus loin et imaginons que les données sont automatiquement recueillies, compilées, encryptées et cataloguées dans notre dossier médical numérique. Ce ne sont pas des concepts nouveaux mais le téléphone portable prend de plus en plus de place dans l’infrastructure de santé du futur.
cellScope

Plateforme : Mobile (Symbian?, Windows Mobile?)

Coûts : Environ 75$ USD (!!!)

Microscope : 2X à 50X

Site Web officiel

Source: labs.gnetix.com

Aucun commentaire