Marketing-mobile.ca
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Archive pour mars 2010

mars 09

Les usages évoluent et l’accès au Web Mobile se fait plus facile. L’ EIAA ( European Interactive Advertising Association) note qu’au niveau européen, les utilisateurs passent de plus de temps à surfer sur le Web Mobile qu’à lire des journaux ou des magazines papier. Cette tendance semble aussi être de plus en plus mondiale plutôt qu’uniquement européenne.

L’ EIAA vient de produire son dernier rapport Mediascope Europe sur l’évolution des usages du Web chez les consommateurs et leur impact sur la vie quotidienne. Ses résultats ont été compilés à partir de questionnaires menés auprès de 15 000 utilisateurs dans 15 pays européens.

Avec 71 millions d’Européens accédant au Web Mobile chaque semaine, à raison d’environ une heure par jour, le rapport suggère que le temps passé à surfer sur son mobile dépasse celui consacré à lire des journaux et magazines papier : 6,4 h pour le premier contre 4,1 h pour le second.

C’est sans grande surprise du côté des jeunes générations que l’on est le plus accro au Web mobile : 24% des 16-24 ans y passent 7,2 h par semaine et 21% des 25-34 ans passent chaque semaine 6,6 h sur l’Internet mobile.

L’ EIAA, rappelant que l’ Internet mobile va toucher de plus en plus d’utilisateur, à mesure que les débits s’améliorent et que les prix baissent, incite les annonceurs à ne pas négliger ce canal dans leurs plans marketing et souligne l’intérêt de mettre en place des stratégies à plusieurs points d’entrée.

Plaidoyer pour des stratégies marketing multimodales

Le divertissement est un composante importante du Web, sur tout support. 32% des personnes interrogées l’utilisent pour regarder des contenus vidéo et 25% pour jouer ou écouter la radio en ligne, tandis que 29% suivent l’actualité des marques.

L’étude met en avant le fait que les possesseurs de mobiles accédant au Web sur leur appareil sont enclins à partager les contenus qu’ils peuvent recevoir ( vidéos, photos, sites Internet… ), ce qui peut aider à  l’effort de reconnaissance des marques et à la recommandation.

De même, la messagerie mobile et les réseaux sociaux ont une influence grandissante dans la sphère mobile, et cet appétit pour les mises à jour permanentes d’information peut être exploité par les publicitaires.

Pour les auteurs du rapport, le monde mobile a atteint un point de maturation qui permet aux annonceurs d’inventer de nouvelles stratégies publicitaires en tenant comptant compte de la convergence qui se crée entre tous les appareils connectés, permettant potentiellement de toucher à tout moment les consommateurs.

Source:  Generation-nt.com

mars 08

La société Medical Marketing Berlin (MMB) a lancé un terminal mobile, qui intègre un électrocardiogramme.

Baptisé « H’andy sana 210 », ce mobile, à destination des personnes atteintes de maladies cardiaques, offre la possibilité de réaliser des examens du cœur.

Les malades pourront également envoyer les données enregistrées par leur mobile, à un centre hospitalier, par e-mail, ou par SMS.

Côté technologie, ce mobile est doté d’un écran tactile, d’un appareil photo et d’un lecteur MP3.

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mars 04

Lors de la plupart de mes conférences, je présente le cas de Chabal, un clip viral dans lequel Sébastien Chabal vous téléphone sur votre portable en temps réel et vous appel par votre prénom. Ce fût une campagne qui connu un succès énorme en Europe et qui capte toujours l’attention.

Maintenant, je vous présente un projet qui montre le plein potentiel du téléphone que nous avons dans la poche pour rendre une situation pleinement interactive.

Last Call est le premier film d’horreur interactif au monde où le public est capable de communiquer avec le protagoniste. Il s’agit d’un film commandé par un membre du public, brouillant ainsi les limites entre le jeu et le cinéma. Un logiciel de reconnaissance vocale transforme les réponses des participants via le téléphone portable en instructions spécifiques, ces commandes sont ensuite traités et  le système lance la bonne scène. Le dialogue entre l’actrice principale du film et un membre du public conduit à un film différent  à chaque fois: parfois avec une fin heureuse, parfois avec une plus horribles.

Pour participer à l’aventure, les membres du public doivent donner leurs numéros de téléphone mobile sur un système IVR quand ils achètent leur billet. Au moment où le personnage féminin prend son téléphone pour appeler quelqu’un qui pourrait être en mesure de lui venir en aide, le système appel l’un des numéros qui a été recueillis et le spectateur entend la voix de l’actrice – qui lui dit qu’elle serait perdu sans lui. .. comme si le tout était en direct!


mars 04

Voici un article d’Infopresse très intéressant sur la stratégie mobile de RDS.

À la suite du lancement hier de la nouvelle plateforme mobile de RDS , Daniel Dumoulin , chef, médias interactifs, et Robert Turcotte , vice-président, programmation, médias interactifs et développement des affaires, soulignent comment l’utilisateur a été au coeur de son développement.

À qui s’adresse cette nouvelle offre?
Les amateurs de sport sont au centre de toute notre démarche pour RDS mobile. Nous avons d’ailleurs sollicité plusieurs milliers d’entre eux pour en tester la version beta. Les besoins exprimés par les utilisateurs orienteront l’évolution du site actuel et des diverses déclinaisons possibles au fil du temps. Nous comptons d’abord bien documenter et bien comprendre le « modus operandi » des amateurs avant de prendre des décisions sur la nature des prochaines phases. Qui utilise quel type d’appareil? Quels contenus sont consultés? Devrions-nous prioriser le développement du site mobile ou encore nous tourner davantage vers des applications iPhone, BlackBerry et Android, par exemple? RDS est initialement apparu sur le troisième écran avec des alertes mobiles sur les Canadiens de Montréal et le sport en général. Le site RDS mobile représente la suite logique d’une stratégie visant un objectif simple: atteindre le maximum d’amateurs, partout et toujours.

En quoi consiste exactement cette plateforme?
C’est un site « Wap » accessible sur tous les téléphones portables avec écran, simple et facile à consulter. On y trouve un large éventail de nouvelles sportives, analyses, blogues, résultats en direct, statistiques et clips vidéo. Nous désirions permettre à l’amateur d’accéder au contenu RDS, peu importe où il se trouve, et ainsi développer avec lui un lien durable. Présentement, l’information contenue sur le site touche essentiellement les sports en cours, particulièrement la LNH à la veille de la date butoir des échanges et en vue des séries éliminatoires.

Vous avez travaillé en collaboration avec le spécialiste américain July Systems…
En effet, il s’agit d’une entreprise pionnière du média mobile. Elle a déjà mis avec grand succès son expertise au service de marques comme CBS Sportsline, l’Association nationale de basketball (ANB), le Nascar ou encore NBC Sports. Nous voulions nous assurer d’un virage mobile réussi. Notre équipe multimédia demeure par contre le centre décisionnel et oriente l’ensemble de la démarche pour tout ce qui touche à l’itération, la scénarisation, l’ergonomie et le contenu du site.

Et la publicité?
À cette étape-ci, nous avons priorisé le lancement du site. Il n’y a donc pas encore d’annonceurs pour l’instant. Mais il y a bien sûr des possibilités commerciales pour nos partenaires et annonceurs.

mars 04

Le concept est simple, vous recevez par la poste votre puce NFC que vous apposez sur votre téléphone. Vous présentez ensuite votre téléphone sur le terminal Zoompass en point de vente et automatiquement le paiement ce fait sur votre carte de crédit. Il s’agit malheureusement d’un projet pilote, mais j’ai bien confiance que cette solution sera disponible pour tous très bientôt!

mars 03

mars 02

Les utilisateurs d’iPod Touch sont plus gourmands que les propriétaires d’un iPhone mais ces derniers sont plus enclins à installer des applications payantes.

On a tendance à croire que les utilisateurs d’ iPhone sont les champions toutes catégories du téléchargement d’applications. Selon une étude d’AdMob, la réalité est quelque peu différente, en tout cas au mois de janvier dernier.

Selon ce bilan, les iPhoners ont téléchargé en moyenne 8,8 applications le mois dernier sur l’App Store contre 12,1 pour les propriétaires d’un iPod Touch. La différence est notable, elle s’expliquerait selon AdMob par une cible plus jeune et donc plus friande d’applications.

Le payant reste marginal

Du côté de la ventilation gratuit/payant, AdMob souligne que 1,8 application sur les 8,8 téléchargées est payante sur iPhone, contre 1,6 pour l’iPod Touch. Pas de quoi financer les milliers de développeurs qui voient l’App Store comme un eldorado.

Le spécialiste de la publicité sur mobile s’est également attaché à comparer ces chiffres avec Android. Et malgré un nombre d’applications bien inférieur (25 000 contre 125 000 pour Apple), le nombre moyen de téléchargements est quasiment le même qu’Apple : 8,7 en janvier.

Par contre, le nombre de logiciels payants installés est plus faible : 1,1 en moyenne.

Rappelons néanmoins qu’AdMob est depuis novembre dernier une filiale de Google.

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