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Archive pour la catégorie « Application mobile »

juillet 05

Développée par MyStudioFactory, l’application iPad Lancôme Make Up Virtual Palette permet de simuler le rendu d’un maquillage avec les produits Lancôme.

Lancôme revient sur l’App Store début juillet 2010 avec une nouvelle version de l’application Lancôme Make Up . Développée par MyStudioFactory sur iPad (mais disponible aussi sur iPhone), elle offre une expérience enrichie de maquillage avec le concept de palette virtuelle.

L’utilisatrice peut ainsi, en choisissant le module « Create your style », simuler le rendu d’un maquillage avec les produits Lancôme. L’écran tactile permet de créer un maquillage (yeux, lèvres, ongles) de façon précise, en reproduisant les gestes réels. Chaque femme peut ainsi réaliser ses propres looks et tester les différentes teintes, et les partager sur Facebook ou par e-mail.

En exclusivité, et pour la première fois dans une application iPad, Lancôme reprend les principales vidéos de la bloggeuse beauté Michelle Phan. Sur Youtube, ses conseils sont suivis par les internautes du monde entier et ses vidéos dépassent le million de clics. Autres rubriques de l’application Lancôme : “Make up lips”, “Diagnostics mascara”, « What’s news » (actualités de la marque), “Products must have” (fiches produits).

Source: e-marketing.fr

mai 20

Quand la marque allemande tente de faire croquer la pomme aux 220 nantis du football français… Privilège, privilège… Toujours les mêmes…

Mon premier est la SLS AMG, le nouveau bébé de Mercedes Benz, véritable réincarnation de la légendaire 300 SL de 1951, avec ses célèbres portes « ouverture papillon « . Et elle vient juste d’arriver en France. Mon deuxième est le nouveau bébé de Steve Job, l’Ipad qui, lui, va inonder notre beau pays le 28 mai. Mon tout est un privilège de rois. Ou plutôt des nouveaux rois d’aujourd’hui: les footballeurs.

Pour faire buzzer autour de son bolide, la marque, avec ses agences Proximity BBDO et FreeBirds ,  a donc décidé de cibler les 220 plus gros salaires de la Ligue 1. Des « happy few » toujours à la recherche de nouveautés, d’exclusivité et de bling-bling. Et qui -cerise sur le gâteau- n’ont pas de problèmes d’argent et gagnent plus de 80 000 euros par mois.*

Les joueurs viennent donc de recevoir personnellement un iPad dans une belle boîte enrubanné. Quand ils ouvrent la jolie tablette, les heureux iPaders découvrent un film promotionnel sur la voiture, et surtout un jeu, avec une application Mercedes SLS AMG, leur offrant une expérience de conduite virtuelle.

Mercedes et les 220 iPad from INfluencia on Vimeo .

Premier effet « Kiss cool »: bien sûr on peut parier que tous les joueurs vont faire mumuse avec leur nouveau joujou. Mais c’est ensuite que le deuxième effet va fonctionner. Et quel effet ! A la fin du jeu, une petite phrase s’affiche: «maintenant fini de jouer, vous pouvez commander une voiture» avec l’adresse du concessionnaire le plus proche et un lien sur le site.

Le pari est que les footballeurs très « show off »,  qui aiment bien « en jeter » auprès de leurs petits camarades, ne  résisteront pas et se battront pour être les premiers à acquérir le bijou! Une seule voiture suffit pour que le constructeur rentre dans ses frais. Deux, c’est du bonus. Quant au buzz, ou aux photos dans la presse people…

Source: Influencia

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mai 18

L’association DePaul UK vient de lancer une application Iphone ( IHobo ). Cette application propose de s’occuper d’un SDF à la manière d’un tamagoshi pendant 3 jours. Si vous ne vous en occuper, il pourrait tomber dans la drogue et même mourir! Une manière choc de sensibiliser une nouvelle génération de donneurs aux problèmes rencontrés par les SDF.

A voir et à noter : un réel effort sur la démarche pédagogique et l’utilité du don, présentés dans cette vidéo.

Source: marketing-alternatif.com

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mai 11

Le modèle est efficace, note Frost and Sullivan, qui en regrette néanmoins le système fractionné et la difficulté pour les petits développeurs à se faire une place. Une plate-forme web ouverte s’annonce comme une solution.

Le succès du magasin d’applications d’Apple a facilité la mise en place d’un modèle de distribution fonctionnel du contenu sur les mobiles, souligne une récente étude de Frost and Sullivan . Ouvrant la voie à d’autres initiatives telles que celle de Google. Mais pour le chercheur à l’initiative du rapport, la croissance du web mobile permet d’envisager un autre mode de distribution, par Internet directement.  » Le succès de l’App Store est incontestable, et il constitue un moteur pour l’innovation », précise à L’Atelier Saverio Romeo, le chercheur à l’origine de l’étude. Notamment en proposant un modèle basé sur le partage des revenus et en ajoutant un interlocuteur entre le consommateur et l’opérateur. Ce qui permet aux développeurs de toucher les utilisateurs sans passer de manière obligatoire par les opérateurs. Selon l’étude, ce système est amené à perdurer, mais il devra se confronter à plusieurs difficultés. La multiplication des « stores » qui utilisent différentes plates-formes de développement complique ainsi le développement de modules pour les petites et moyennes entreprises.

L’App Store crée un environnement fractionné

Cela demande en effet des coûts supplémentaires pour pouvoir être présents sur ces différents environnements, et donc toucher un large public. « Ce modèle crée un environnement fractionné « , regrette ainsi Saverio Romeo. Une autre approche est possible, comme il l’explique à L’Atelier : « une plate-forme web ouverte, qui permet aux développeurs de créer des applications accessibles depuis une plus grande gamme d’appareils mobiles « . Avec plusieurs enjeux à la clé. Pour le spécialiste, un tel environnement ouvert attirera davantage de développeurs, et surtout davantage de marketeurs. « En proposant des applications web pour l’ensemble des mobinautes, quelque soit leur smartphone, il sera possible d’augmenter l’audience, et donc d’intéresser les publicitaires « , explique-t-il.

La publicité au cœur des applications web

Selon le chercheur, plusieurs acteurs mettent aujourd’hui en avant cette autre voie, comme Mozilla, Taptu ou Opera Software. Et d’ici quelques années, les chances sont grandes pour que ces deux systèmes cohabitent.   » La question n’est pas de savoir lequel des deux modèles sera pérenne, ou lequel sortira vainqueur de la lutte « , note le responsable de l’étude. « Dans le court terme, il va y avoir une coexistence de ces deux modèles, c’est-à-dire deux avenues parallèles, que pourront emprunter les développeurs « , anticipe-t-il. Reste que, souligne-t-il, la compétition entre ces deux modèles favorisera une baisse du prix des applications. Et obligera les acteurs du secteur à inclure des sources alternatives de revenu, comme la publicité.

* The Modes of the mobile content industry – the stores and the web

Source: Atelier.fr

avril 22

Sur le mobile, une publicité passe moins inaperçue quand elle est affichée sur une application qui utilise la géolocalisation que lorsqu’elle apparaît à la fin d’un message texte ou sur une bannière.

Mobile

La géolocalisation mobile est dans l’œil de mire des marketeurs , qui y voient la possibilité de générer publicités et coupons de réduction ciblés, rappelait récemment Juniper Research. Et ils ont raison : si l’on en croit la Mobile Marketing Association et Luth Research , les utilisateurs de téléphones sont plus sensibles aux publicités affichées lors de l’utilisation d’une application qui utilise la localisation qu’à celles insérées dans des SMS ou aux bannières présentes sur les sites. Pour les chiffres, on peut noter que près de la moitié des individus interrogés et confirmant avoir remarqué la présence d’une annonce sur une application basée sur la géolocalisation, explique également y avoir répondu.

Une publicité utile

C’est plus que ceux qui répondent aux réclames affichées à la fin d’un message texte – un tiers – ou qui cliquent sur une bannière lorsqu’ils naviguent sur des sites mobiles. Ces derniers sont un peu moins de 30 %. Cela en grande partie parce que cette publicité est considérée comme utile et répond à un besoin immédiat : elle permet souvent de bénéficier de promotions. « En fournissant des services et des produits basés sur la situation géographique, les marques ont la possibilité de créer un rapport plus intime avec les utilisateurs « , note Jacqueline Rosales, responsable du développement et du service client chez Luth Research.

Des applications géolocalisées en augmentation

Si ces chiffres ne sont pas encore véritablement conséquents, ils devraient augmenter avec l’engouement pour les applications géolocalisées. Selon le cabinet, 10 % des propriétaires d’un mobile interrogés annoncent utiliser au moins une fois par semaine un service qui utilise la localisation. La plupart pour situer un point d’intérêt, une boutique ou un restaurant. Sans surprise, ce sont les 25-34 ans qui sont pour le moment les plus friands d’applications géolocalisées.

avril 19

Une étude réalisée par Forrester Consulting pour le compte de Sterling Commerce révèle que les applications mobiles d’entreprise améliorent l’efficacité et la réactivité des salariés.

Les applications mobiles vont-elles envahir et changer le monde de l’entreprise ? Pour le découvrir, Forrester Consulting a mené une étude pour Sterling Commerce, auprès de décideurs d’entreprise de cinq secteurs d’activité (média/communication, transport/logistique, services financiers/banque/assurance, industrie et distribution), dans six pays (États-Unis, Brésil, Canada, France, Allemagne et Grande-Bretagne).

Ainsi, l’étude révèle que pour la majorité d’entre eux, le déploiement d’applications mobiles est essentiel pour assurer le succès à long terme d’une société. Ils sont en outre entre 86 et 90% à penser que les deux principaux facteurs encourageant les entreprises à mettre en œuvre ces applications sont la recherche d’une plus grande efficacité des collaborateurs et l’augmentation de leur réactivité . Résoudre rapidement les problèmes de service client et améliorer la satisfaction client font également partie des raisons citées.

L’importance de tous ces enseignements prend une autre dimension lorsqu’on sait que près de 95% des entreprises interrogées mettent actuellement des terminaux mobiles à disposition de leurs dirigeants et cadres informatiques . 84 à 87% les déploient auprès de leurs équipes commerciales et administratives et 75% les proposent à leurs équipes opérationnelles.

Enfin, l’étude révèle le type d’application le plus déployé par secteur. Ainsi, dans le transport logistique, chez les industriels et les acteurs de la finance, les applications opérationnelles de gestion commerciale et de service sont privilégiées. Dans le secteur des médias et de la communication, 48% des entreprises mettent plutôt en œuvre des applications de détection, de gestion et d’exécution des commandes , tandis que les grands ditributeurs favorisent les applications mobiles de WMS et de gestion logistique .

Source: E-Commerce Mag

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avril 12

C’est au tour de l’assureur Axa de lancer son application pour iPhone. Baptisée AXA Service Mobile Auto , cette application de :

• de pré-déclarer son sinistre auto / moto
• de photographier son véhicule accidenté et son constat amiable
• de recueillir les coordonnées des témoins éventuels
• de localiser les réparateurs partenaires les plus proches
• d’être mis en relation avec des services d’assistance ou d’urgence

Une fois la pré-déclaration envoyée, le client est contacté afin d’organiser la réparation de son véhicule par un garage partenaire ou bénéficier, si son véhicule est roulant, du « service auto à domicile ». Ce service gratuit, comprend la prise en charge du véhicule accidenté, à l’endroit souhaité (domicile, lieu de travail…) et en échange le prêt d’une voiture pendant la durée des réparations. Une fois réparé, le véhicule est également restitué sur le lieu de son choix.

En cas de bris de glace, grâce au système de géolocalisation, l’application permet de trouver le réparateur le plus proche et de suivre l’itinéraire indiqué. Le client dispose également de tous les numéros utiles dans ce type de situation : urgences médicales, police, AXA Assistance, son Agent Général ou le centre de service d’AXA. Enfin, l’application contient une rubrique « Conseils » regroupant les informations utiles en cas de sinistre auto.

Malheureusement, AXA Canada n’a pas encore d’application. Avec les banques qui commencent à ce lancer sur l’iPhone, nous pouvons croire que les compagnies d’assurances emboîteront bientôt le pas.

avril 08

Voici un article très intéressant repris sur Servicesmobiles.fr et écrit par Thomas Husson. Celui-ci résume très bien ma vision autour du lancement de cette nouvelle plateforme.

Non, non, je n’ai pas oublié le P malgré le déchaînement d’articles sur l’iPad depuis une semaine*. Suite au rachat de Quattro Wireless, iAd est bien le nom donné par Apple à sa nouvelle plateforme publicitaire mobile, annoncée officiellement hier lors de la conférence de presse sur le lancement de l’iPhone OS 4.

Après le rachat (toujours pas validé par la FCC) d’AdMob par Google, il fallait qu’Apple réagisse pour continuer à seduire les développeurs du monde entier. En Angleterre par exemple, jusqu’à 60% de l’inventaire d’AdMob était de l’inventaire iPhone lors de l’annonce de l’acquisition. La majorité des applications étant gratuites, il faut bien s’assurer que les développeurs et les marques peuvent monétiser leur audiences. Jusqu’à aujourd’hui et contrairement à une idée répandue, le taux de clic au sein des applications iPhone est bien plus bas que sur le WAP ou le WEB mobile: une des raisons est notamment l’excès de l’offre sur la demande avec un inventaire pléthorique. La prime pour les pub iPhone ne peut que baisser dans un modèle de type « blind network » à la AdMob, basé sur de la bannière avec un effet place de marché pour les petits annonceurs. Cela devrait changer maintenant.

L’objectif pour Apple est avant tout de fidéliser les développeurs et pas de générer de nouveux revenus significatifs (la preuve 60% des revenus seront reversés aux développeurs et il faudra bien payer les commerciaux de Quattro…), au moins avant plusieurs années. J’ai lu ici ou là que Google partageait ses revenus pub avec les opérateurs ce qui permettrait de financer le déploiement des réseaux. Aberrant quand on sait ce que rapporte en valeur absolue la pub mobile et ce que coûte une BTS. De toutes façons l’écosystème des applications est là avant tout pour fidéliser le consommateur à la marque et générer de la marge sur le hardware (cf les marges plus que limitées sur iTunes par rapport à celles des iPods…).

Il s’agit aussi de contrôler l’expérience utilisateur à travers le contrôle de la pub : jusqu’à maintenant, il fallait dans la très grande majorité des cas sortir de l’application pour atterrir sur une pub de plus ou moins bonne qualité. La récente annonce sur la restriction de la pub géo-localisée allait aussi dans ce sens, même si iAd va le proposer dès que possible, mais dans son environnement propriétaire. Les démos Nike ou Toy Story ont montré la qualité de l’expérience utilisateur et la possibilité d’engager une relation directe dans un environnement rich media. Comme le dit le communiqué de presse, il s’agit de combiner l’émotion de la pub TV avec l’interactivité des pubs Internet .

Les marques traditionnelles, celles qui ont des budgets significatifs, vont commencer à s’intéresser sérieusement à une plate-forme qui offre des possibilités inédites (interaction + rich media + location) et qui draîne une audience de plus de 85,000,000 de possesseurs d’iPhone et d’iPod touch, qui sont plus enclins à utiliser le mobile comme outil de transaction et comme télécommande de leur vie quotidienne .

Ce qui manque toujours (en tous cas aucune précision n’a été donné à ce sujet), ce sont les outils de reporting et d’analyse . Le nombre d’applications téléchargées reste l’alpha et l’omega de l’App Store. Ce qui compte, c’est le profil des utilisateurs (et il est en train de changer!), la qualification de l’audience, la certification de l’usage (combien utilisent réellement) et la mesure de la performance des campagnes pour mesurer le ROI mobile…

Les opérateurs apparaissent encore plus isolés dans cette bataille – comment peuvent-ils réagir? réponse dans un prochain post lundi.

* au passage 300,000 ventes le premier jour c’est très encourageant au regard des 270,000 ventes de la 1ère version de l’iPhone mais on oublie un peu vite de dire que les ventes d’iPhone n’ont réellement décollé qu’avec les subventions opérateurs et l’internationalisation de la distribution.

Source: Thomas Husson pour servicesmobiles.fr

mars 30

Twitepad fera partie des applications disponibles pour le iPad dont le lancement est prévu pour samedi prochain.

Voilà qui ne surprendra guère personne, les applications destinées à Twitter faisant partie des plus populaires téléchargées chez Apple.

Le Twitepad étant conçu pour être utilisé sur un écran de grande dimension, l’application s’en trouve magnifiée. Comment alors utiliser à bon escient tout l’espace disponible?

Les concepteurs de Twitepad ont ainsi décidé d’incorporer un navigateur à l’intérieur de l’application Twitter, ce qui permet d’accéder rapidement au contenu proposé par les autres utilisateurs. (voir la présentation vidéo ci-bas).

La taille de l’écran permet également un nombre élevé de colonnes, permettant à l’usager d’afficher plusieurs comptes à la fois. Twitepad accepte d’ailleurs un nombre illimité de comptes.

La fonction «Database backend» permet de sauvegarder localement et d’accéder rapidement à tous les tweets et données des contacts.

Source: Branchez-vous

mars 30

6a00d8341c7e0553ef0133ec543faf970b-250wi1 LinkedIn,
 le
 plus
 vaste
 réseau
 professionnel
 au
 monde
 avec
 plus
 de
 60
 millions
 de
 membres repartis
 dans
 200 
pays étoffe son offre mobile : 
Cette 
application
 vient
 compléter 
l’offre
 mobile
 LinkedIn
 pour
 iPhone
 et
 Palm
 Pre.


 L’application
 LinkedIn
 est
 parfaitement
 compatible
 avec
 les
 programmes
 d’e‐mail,
 d’agenda
 et
 de
 contacts
 installés
 d’origine
sur
 BlackBerry.

http://www.linkedin.com/blackberry

Ses 
fonctionnalités 
incluent
:

- Profils,
 pour
 préparer
 une 
réunion
 en 
accédant 
rapidement 
aux
 profils
 des
 participants
 sur
 LinkedIn

- Messages,
pour
 gérer
 ses 
mails 
sur 
LinkedIn,
même
 en
 déplacement

- Mises 
à 
jour,
 pour
suivre
 les
 conversations 
de
 vos 
contacts 
professionnels

- Relations,
 pour
 développer
 son 
réseau
 de 
contacts 
sans 
avoir
 accès
 à
 son
 ordinateur

- Invitations,
pour
 construire
 son 
réseau 
professionnel
 même 
en
 mobilité

- Reprendre 
contact,
 pour 
recevoir
 en
 proactif
 des
 suggestions
 de 
contacts
 professionnels
 qu’il
 pourrait 
être
 intéressant
 d’ajouter 
à
 votre 
réseau.

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