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Archive pour la catégorie « Application mobile »

mars 29

Apple sur les traces de Google ? Selon le site Mediapost.com, la firme de Cupertino aurait l’intention de dévoiler le 7 avril prochain sa première plateforme publicitaire, qu’il était impossible de ne pas immédiatement surnommer « iAd ». Issue du rachat de la régie mobile Quattro Wireless, en janvier dernier, elle serait l’occasion pour Apple de faire ses premiers pas sur le terrain de la publicité mobile. Steve Jobs lui-même aurait qualifié l’offre de « révolutionnaire ».

Quelle pourra bien être la proposition de valeur d’Apple sur le terrain de la publicité mobile ? Dans un premier temps, difficile de ne pas penser à la monétisation des applications proposées par l’intermédiaire de son App Store en tirant parti, sans doute, des possibilités de géolocalisation induites par la présence d’un GPS dans l’iPhone.

« Si vous mettez au point une application comprenant des fonctionnalités basées sur la localisation de l’utilisateur, assurez vous que ces fonctionnalités fournissent une information bénéfique. Si votre application utilise en premier lieu ces informations pour permettre aux annonceurs mobiles de délivrer des publicités ciblées en fonction de la position de l’utilisateur, votre application vous sera retournée par l’équipe en charge de la validation App Store afin que vous la modifiiez », indique depuis février une notice publiée sur le site d’Apple, laissant ainsi penser que le fabricant pourrait bien, à l’avenir, se réserver cette possibilité.

De nombreuses applications de l’App Store sont aujourd’hui financées par le biais de publicités mobiles. Bien souvent, ces dernières sont fournies par la régie américaine AdMob, dont Google s’est porté acquéreur en décembre dernier pour un montant d’environ 750 millions de dollars. Avec iAd, Apple serait en mesure de proposer aux développeurs de logiciels mobiles une solution alternative s’intégrant au cycle de soumission d’une application sur l’App Store. Avant, peut-être, de proposer ses services aux éditeurs de sites Web mobiles ?

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février 21

Voici un autre projet novateur dans le cadre de Proxima Mobile, le portail de services aux citoyens sur téléphone mobile lancé il y a quelques mois en France.

Voici encore un marché en pleine évolution avec de nombreuses initiatives qui vont permettre d’asseoir la publicité mobile géolocalisée, le NFC et la fidélisation, voici donc une nouvelle expérience avec l’adhésion de 5 commerçants-partenaires et 100 consommateurs-adhérents sur le quartier Montorgueil/Saint-Denis qui ont accepté de participer à Viv[r]e Mon Quartier jusqu’à mi-juillet 2010

Menée par la cellule R&D de PagesJaunes Groupe, « Viv[r]e Mon Quartier » s’appuie sur la technologie SmarTouch, une solution innovante, fournie par la société SmarTagSw (Smart Tag Sofware) qui permet de collecter et exploiter sur un portail Internet, à des fins de fidélisation et de promotion, des informations issues de la lecture de carte sans- contact NFC (une puce NFC est une étiquette munie d’une antenne permettant de répondre à des requêtes émises depuis un émetteur/récepteur).

Cet outil va offrir à la communauté : – un service de fidélisation : les consommateurs qui adhèrent au service, reçoivent une carte munie d’une puce NFC ; véritable carte intelligente, nominative, qu’ils peuvent utiliser auprès de tous les commerçants-partenaires de leur quartier. Le principe est simple : en présentant cette carte, les actes d’achats sont enregistrés et donnent droit à des «points» de fidélisation pour différents services offerts par les commerçants du quartier.

Concrètement, les commerçants-partenaires de l’expérimentation seront équipés d’un ordinateur portable comportant un lecteur de carte NFC et relié à un écran tactile.

C’est aussi un service de promotion : avec cette carte, les commerçants émettent des promotions en temps réel, voire même sur des durées très courtes (type « vente flash »). Ces offres promotionnelles seront adressées via SMS gratuits et/ou mails directement aux consommateurs, selon leurs profils, ils bénéficieront ainsi de tarifs réduits, services améliorés et informations sur l’actualité de la boutique.

Web et mobile : http://www.vivremonquartier.com/

Voyez l’application et plus d’informations ici !

Source: servicesmobiles.fr

février 21

tumblr_ky5fcncu0s1qzaxl0 Sans être un service d’e-commerce, Winetage est une aide au choix de vins.

En boutique ou dans votre cave avant un repas, Winetage permet de connaître la qualité des millésimes (France, Espagne, Italie, etc.), consulter des conseils d’achat.

Parmi les fonctionnalités: des chroniques oenophiles avec le blog VinsurVin, des conseils, des sélections de vins, une base des millésimes sur plusieurs pays actualisée 2 fois par an pour choisir un vin lors d’un achat ou au restaurant.

Reste désormais à attendre l’intégration de puces RFID sur les bouteilles et on sera dans le monde de l’internet des objets de Bruce Sterling pour de bon.

En promotion à 1,59 euro pour le lancement au lieu de 2,39, Winetage pour iPhone est disponible sur l’App Store

Cela fait déjà un bon moment que nous attendons une initiative marketing mobile de la part de la SAQ au Québec. Il existe tellement pleins de belles possibilités en contexte de mobilité pour le secteur du vin… Espérons que ce soit pour bientôt!

février 16

Depuis déjà quelques semaines, certains de mes collaborateurs et clients me parlaient d’un projet de réalité augmenté et d’application iPhone pour le quartier St-Roch de Québec. Hier, en fin de journée, un ami me transfère une invitation pour la conférence de presse du dévoilement de cette application qui a eu lieu ce matin (16 février) au Boudoir Lounge.

Tout d’abord, qu’est-ce que cette application ? Tel que mentionné il s’agit d’une application iPhone pour découvrir le quartier Saint-Roch. Celle-ci doit permettre aux touristes d’avoir accès à toutes les informations géolocalisées sur les principaux points d’intérêt du coeur de la ville : lieux historiques, oeuvres d’art, commerces et même stationnements. Un premier problème au niveau stratégique se pose ici : la cible.. je m’expliquerais à la fin de mon billet.

L’application comporte aussi un volet réalité augmenté qui sert de guide virtuel pour identifier les principaux attraits du quartier. Le concept est simple et une reproduction de plusieurs projets de villes tels que Toulouse, vous présentez votre iPhone devant vous et on ajoute une couche virtuelle sur le réel (soit des petits onglets indiquant les points d’intérêts).

Voici une vidéo qui présente l’application:

Selon un article dans le Soleil:  » l’application intégrera d’ici peu les autres secteurs commerciaux de la ville. Même le secteur historique du Vieux-Québec n’échappera pas à cette avancée technologique qui permettra aux visiteurs de laisser dans leurs bagages leurs bons vieux guides touristiques. «

Une application sans aucune stratégie

Tout d’abord, je tiens a affirmer que je trouve que c’est une très belle initiative d’avoir créé cette application. Cela va sans aucun doute faire un « buzz technologique » ainsi que faire parler du quartier St-Roch et de la Ville de Québec. Je félicite aussi les créateurs, car l’application semble très bien fonctionner.

Par contre, il est illogique d’investir dans une application de ce type si notre cible est composée principalement de touristes. Pourquoi? C’est très simple, les touristes qui possèdent des iPhone se font fortement recommander dans leur pays d’origine de ne pas utiliser leur iPhone à l’extérieur, car cela risque de leur coûter des sommes astronomiques. Alors, nous créons une application pour des touristes qui ne l’utiliseront pas ou qui vont l’utiliser et recevoir une facture salée. C’est aussi ce qu’affirme l’article du Soleil à ce sujet: « règle générale, les touristes n’ont pas accès à leur réseau de téléphonie en voyage et doivent payer d’importants frais de connexion pour voguer sur la toile. » Apple en fait même la recommandation sur son site Internet :  » Pour éviter de payer des frais liés à l’émission de données à l’étranger lorsque vous voyagez hors de portée du réseau de votre opérateur, désactivez l’option donnée à l’étranger (elle est désactivée par défaut). » (Apple)

De plus, est-ce vraiment une bonne idée de faire une application iPhone? Le buzz est là, mais est-ce que la cible y est aussi? Il ne faut pas oublier que malgré les ventes importantes d’iPhone, ce type de téléphone est possédé par tout au plus 10% de la population. De plus, il y a plus de 150 000 applications iPhone, j’espère donc que l’application aura une forte stratégie de communication pour inciter les gens à la télécharger sinon les résultats risquent d’être très décevants.

Lors d’une conférence pour les membres de l’Office du tourisme de Québec que j’ai eu le privilège de donner en janvier, voici quelques recommandations que je donnais autour des applications mobiles :

* Avoir un questionnement à l’interne afin de savoir quelle est la réflexion en arrière de l’idée de l’application.
* S’assurer que la stratégie d’application mobile soit arrimée avec le reste de la stratégie marketing.
* Se poser les bonnes questions : Qui est votre usager mobile? Avec quelle intensité utilise-t-il son mobile, à quel moment et dans quel lieu?
* Consacrez une part de votre budget de l’application a sa commercialisation
* Il est essentiel de ne pas considérer l’application comme un projet ayant une fin, tant elle est évolutive et fait partie de l’actif de la marque.

En revanche, en complément de cette application iPhone et  de réalité augmenté, il aurait été bon de proposer des solutions accessibles à tous les autres consommateurs utilisant des téléphones intelligents et le cellulaire classiques :  Des solutions d’IVR utilisables sur 100% des mobiles, un site web mobile, des infos envoyées par Bluetooth … Bref une vraie stratégie mobile globale et non pas juste un coup de buzz pour les accros à l’iPhone.

Vous en pensez quoi?

février 16

L’App  Planet règne et les opérateurs sont forcés de s’unir!

App’ store mania, app’ gold rush, App’  Planet… Cette année à Barcelone, “le monde du mobile  n’est plus dominé par les opérateurs de téléphonie, mais bien par les  app’stores” , résumait aujourd’hui, à la tribune du Congrès  mondial des mobiles, Eric Duprat, de Paypal.

“L’app’store est bien le  dernier modèle économique” , ajoutait Christos  Georgiopoulos d’Intel, mais rares sont ceux qui gagnent de l’argent!

18 mois,  après le lancement de l’app’ store d’Apple (comme toujours, absent à Barcelone), les professionnels dénombrent aujourd’hui pas moins de 48 app stores différentes! Outre Apple, les leaders du marché sont bien sûr les applications d’Android (Google) et de RIM (Blackberry), de Windows (Microsoft), mais aussi de fabricants de téléphones comme l’Ovi de Nokia ou celle de Samsung, ou encore celles des opérateurs de téléphonie (AT& T, Vodafone, Orange…). Tout le monde ou presque y est ! Nokia comptabilise actuellement à elle seule un million de téléchargements par jour!

Face à une telle fragmentation d’un écosystème immature où règne la gratuité, face à la multiplication des standards des applications, très liées à tel ou tel fabricant, les principaux opérateurs, tentant de reprendre la main, ont annoncé, lundi à Barcelone, une nouvelle alliance sous la forme d’une plateforme commune , baptisée “Communauté des  grossistes en applications” pour tenter d’harmoniser un tant soit peu ce nouvel environnement par des standards communs plus ouverts.

Car c’est bien l’accès à l’internet mobile, le nouvel eldorado des données, qui est au centre de la nouvelle bataille. L’enjeu, grossièrement, c’est: “tout ce  que je faisais à la maison, je vais pouvoir bientôt le faire en déplacement!”.

Avec à la clé, une énorme menace qui, comme pour la musique ou la presse, pointe le nez: “les applications  mobiles ont tendance à répliquer ce qui se passe sur le web. Personne ne veut les payer!” , déplore Caroline Lewko, responsable du projet WIP (wireless industry partnership). Sauf quelque fois à Apple !

Or aujourd’hui, 65% de cet internet mobile passe par l’iPhone (qui ne représente que 11% des ventes de téléphones) ! et Android de Google jouit du même type de ratio, raconte Rick Halton de HP. Et, d’une manière générale, 80% des applications sont gratuites.

“L’iPhone est aujourd’hui synonyme de smart phones, or les gens ne savent pas qu’il y a un choix énorme ailleurs! “. “Apple dicte sa loi sur le système de paiements” , entend-on à  Barcelone.

D’où le branle bas de combat général et les appels à des systèmes ouverts pour lutter contre la fragmentation des canaux de distribution, des chaînes, des widgets et des “applications natives”! Des opérateurs, comme le norvégien Telenor, mettent à disposition des développeurs, leur APIs et cherchent à les harmoniser.   De même, au Canada, l’initiative OneApi prend  de l’ampleur. Intel a aussi annoncé au CES en janvier l’ouverture de  son AppUp Center. Une autre initiative collaborative sur les  applications s’est aussi lancée lundi à Barcelone: NN4D .

Le secteur des applications mobiles est d’ailleurs l’un des seuls en capacité actuellement de lever des fonds, estimaient plusieurs capital risqueurs américains. Les domaines jugés à fort potentiel sont ceux de la productivité, de la sécurité et du paiement par mobile.

C’est l’appli gratuite de mise en forme SmartRunner   qui a remporté lundi  Barcelone le concours Vodafone 360 App Planet  de la meilleure application.

D’autres apps à succès  souvent très lucratives ont été citées lundi à la tribune: “tap tap revenge” de Tapulous , celles de Backflip Studio ou de Zynga

Et comme pour la musique ou la presse, c’est le modèle freemium qui a la cote aujourd’hui. Et comme pour la musique ou la presse, le secteur est déjà confronté à une surabondance de contenus (150.000 apps !) qu’il faut trier et éditer.

Source owni.fr

D’autres information sur le déroulement de Barcelone à suivre … À noter la présence de l’initiative OneApi ici au Canada.

février 08

Google travaille sur le premier projet du genre: un logiciel-interprète qui permettrait à deux interlocuteurs d’avoir une conversation à l’aide d’un cellulaire, sans avoir à parler la même langue. Pour rendre ce projet de logiciel concret, Google aura recours des technologies qui existent déjà et dont elle fait usage pour d’autres services.

Plusieurs technologies seront «recyclées» pour permettre la traduction instantanée des conversations téléphoniques. Par exemple, la reconnaissance vocale permet déjà à un utilisateur d’accomplir une recherche vocale dans le moteur de recherche de Google.

Aussi, la technologie de traduction automatique que YouTube utilise déjà pour traduire les sous-titres des vidéos est déjà à la disposition des internautes qui veulent traduire des textes sur le Web en 52 langues.

Néanmoins, les technologies utilisées devront poursuivre leur développement pour devenir encore plus précises et performantes. Pour cette raison, le directeur de la division des outils linguistiques de Google, Franz Och, précise au Times que la traduction instantanée des conversations mobiles ne «sera satisfaisante dans quelques années», même si Google espère déjà un lancement d’ici deux ans.

Les difficultés rencontrées sont nombreuses, voilà pourquoi les technologies doivent être raffinées avant de pourvoir les utiliser au quotidien: «chacun a un accent, une voix et une intonation propre (…) la précision du logiciel devra être aussi efficace qu’un mobile est personnel», poursuit M. Och.

février 03

2009-2010 est annoncé comme l’avènement du marketing mobile grâce au raz de marée d’achat d’iPhone (à Noël, 8 téléphones sur 10 vendus par Orange était un iPhone). Mais c’est quoi le marketing mobile ? C’est utiliser le mobile comme média de communication auprès de sa cible autant en publicité qu’en marketing relationnel.

Avec 87% des français avec des mobiles dans leurs poches, qu’ils scrutent au moins 5 fois par jour, le media devient tentant pour les marketeurs.

Le secteur du vin de s’y est pas trompé. En 2009, plusieurs expérimentations dans ce sens ont été menées à cause d’un constat simple : les français ont du mal à choisir leur bouteille de vin dans un rayon en libre-service. 25% en ressortent d’ailleurs sans rien acheter faute d’avoir réussi à faire un choix.

> Qu’apporte le marketing mobile ?

Le marketing mobile permet de faire de l’ ILV (Information sur Lieu de Vente) efficace et personnalisé grâce à une technologie sans contact : le tag .

Le tag c’est un code à 1 ou 2 dimensions qui encrypte une information. Il n’existe pas de standard unique mais plusieurs formats :

Le plus connu est EAN 13 , le bon vieux code à barre classique à une dimension .

ean13
Ce code est la propriété de GS1 (anciennement Gencod).

Ensuite il existe un standard japonais le QR Code , c’est un code à 2 dimensions

code 2D a insérer 4ème couv.tif

Enfin le dernier format le plus courant en France est le flashcode , code en 2 dimensions , dérivé d’un standard américain, datamatrix , et créé par l’ AFMM (Association Française du Multimédia Mobile) pilotée par Orange , SFR et Bouygues .

Ce dernier est un standard payant , les autres étant gratuits.

Pour décoder ces tags et donc accéder à l’information vous devez détenir un lecteur de tag .

Chaque tag a son lecteur à télécharger sur son mobile :
Pour le code à barre c’est www.codeonline.fr . Pour le QR code c’est http://www.i-nigma.mobi et enfin pour flashcode c’est www.flashcode.fr .

Comment utiliser ces tags en marketing ?

L’idée est simple :

  1. La personne télécharge un lecteur de code adapté
  2. Elle ouvre l’application installée sur son mobile
  3. Elle flashe de tag c’est-à-dire qu’elle le prend en photo
  4. L’application décode l’information cryptée (le plus souvent une adresse URL de site internet mobile)
  5. et propose d’accéder au site

Voici une vidéo de démonstration :

Quel intérêt pour les distributeurs de vin d’utiliser le marketing mobile?

Comme les étiquettes de bouteilles sont de taille limitée, ils peuvent, soit simplement avec le code à barre, soit en insérant un code 2D, proposer une information complémentaire sur le vin (accord vin-plat, température idéale de service, temps de garde, avis de consommateurs…) grâce au flashage du code. Ainsi le chaland peut accéder à de l’information contextualisée pour l’aider à faire son choix. Cette information est présentée sur des pages de sites internet mobile.

Bien sûr cette technique est balbutiante car il faut que les personnes aient l’internet mobile sur leur téléphone (on estime à 17 millions, les français ayant dans les 3 derniers mois, surfés sur le web mobile), qu’ils aient le lecteur de code adapté aussi et la fonction appareil photo .

Voici donc 2 exemples :

L’ opération Franprix . L’enseigne, en accord avec GS1, a proposé pendant sa foire au vin de début septembre aux clients de flasher des codes à barre pour obtenir plus infos.

L’initiative de la Vignery. La vignery est une enseigne de GMS spécialisé dans le vin. A l’occasion des fêtes de vin d’année 2009 elle a mis en place le flashage de code 2D pour accéder à de l’info supplémentaire en magasin mais aussi sur son catalogue pour les smartphones et en particulier les iPhones .

Accéder au site La Vignery .

Tester :

Si vous voulez essayer, en scannant le code à barre en haut de la page vous irez directement sur la fiche détaillée d’une bouteille de champagne à cette adresse .

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janvier 06

Il devrait sortir courant 2010, l’idée fondatrice du projet AR.Drone est de créer un quadricoptére extrêmement performant avec les meilleurs technologies actuelles, mêlant le jeu vidéo et le monde réel : c’est la réalité augmentée

4 ans de R&D ont été nécessaires pour réussir le projet : imaginer de piloter un drone qui vole comme une libellule avec le retour vidéo sur votre iPhone…..Vous volez tranquillement dans votre jardin et vous devez faire un parcours d’agilité….seule vos qualités de pilote vous permettront de vous en sortir !

Les acteurs du projet INT13 et Parrot, ce dernier travaille depuis 4 ans sur les concepts sans fil pour le jeu vidéo, le premier projet était une voiture de course Bluetooth. Mais la  voiture n’apportait pas la part de rêve…il fallait que ça vole ! déclare Henri Seydout Fondateur de Parrot

Pilotage Intuitif

Le Parrot génère son propre réseau WiFi auquel il suffit de connecter l’iPhone ou iPod Touch. L’accéléromètre de l’iPhone détecte les mouvements de l’utilisateurs et permet de piloter simplement en inclinant l’iPhone. Des Capteurs comme une caméra grand angle et haute vitesse, gyroscope 3 axes, capteurs à ultrasons sont embarqués. Le Parrot AR est conçu pour des vols en intérieur et en extérieur, une carène entoure les hélices et protège le quadricoptère s’il devait toucher un obstacle.

Plate forme de développement ouverte

Un SDK est dés aujourd’hui à disposition des développeurs qui souhaiteraient créer des jeux autour de l’AR Drone en utilisant les techniques de réalité augmentée grâce à la caméra frontale.

Vous inscrire : https://projects.ardrone.org/

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décembre 31

Orange profite du réveillon de fin d’année pour lancer en partenariat avec l’assureur MMA une campagne sur mobile destinée à « sensibiliser plus de 2 millions de mobinautes sur les dangers de l’alcool au volant ».

La campagne repose sur un site internet mobile qui permet notamment de désigner entre amis un capitaine de soirée, par tirage au sort. Après avoir renseigné le numéro de téléphone de chaque prétendant, l’un d’eux reçoit un SMS : « Ce soir, vous êtes le capitaine de soirée. Et rappelez-vous (tous en cœur, ndlr) : Celui qui conduit, c’est celui qui ne boit pas. »

Le site internet propose également un « éthylotest », à l’approche bien différente de celui de Google, qui se contente en fait de calculer une estimation du taux d’alcoolémie en fonction de la corpulence du mobinaute, de sa consommation à jeun ou non et du nombre de verres qu’il a bu. Ainsi, si un mobinaute de 75 kg a bu une demi douzaine de breuvages alcoolisés savamment dosés à jeun, le test lui rappelle qu’il est bien au dessus de la limite légale de 0,49 gramme d’alcool par litre de sang et que le risque d’accident mortel est multiplié pour lui par 10. Une application iPhone offrant les mêmes fonctionnalités est également proposée sur l’App Store.

Les cases à cocher et les listes sont malheureusement de petite taille. L’ergonomie n’a donc pas été pensée pour ceux qui ont bu une bonne douzaine de verres et qui se demanderaient encore s’ils peuvent prendre ou non le volant. Quoi qu’il en soit, le site internet est accessible à cette adresse , quelque soit votre opérateur.

Source: mobinaute.com

décembre 28

Afin de promouvoir la nouvelle collection de maquillage Lancôme pour la saison Automne/Hiver 2009, la marque de cosmétiques utilise le marketing mobile et plus particulièrement la solution Iphone et ses qualités ludiques.

En utilisant les possibilités tactiles de l’appareil, l’application permet au propriétaire de l’Iphone de tester sur un mannequin différents styles et looks via une palette virtuelle.

Une belle application de “Mobile snacking” utilisable à tous moments qui permet à l’utilisatrice de vivre une expérience très personnelle et de s’impliquer grâce à la marque Lancôme dans un système de création lié au luxe.

Les résultats obtenus sont ensuite sauvegardés dans la mémoire de l’iphone et peuvent être envoyés par courriel à ses contacts, une belle façon ludique d’imposer la marque dans le menu du mobile.

Simple et dans l’air du temps cette application -dans son approche très ciblée- ressemble à l’une de nos futures campagnes en développement. A suivre …

Mathieu Sirot, Directeur de Création

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