Marketing-mobile.ca
Marketing-mobile.ca

janvier 05

Il ne sera présenté que mardi 5 janvier en fin d’après-midi en Californie, mais lepoint.fr a déjà pu tester le Nexus One, dernier-né de la gamme Android. Avec ce “Google Phone”, la firme de Mountain View va, pour la première fois, vendre directement son mobile. Le service après-vente européen sera basé en Belgique ou en Allemagne.

À la carte. Les Français désireux de se procurer le Nexus One pourront passer leur commande en ligne. Prix indicatif du téléphone nu, hors abonnement : autour de 450 euros, frais de port compris. Pour le téléphone assorti d’un forfait, il faudra attendre plusieurs semaines. D’après nos informations, SFR sera le premier opérateur à proposer le produit sur le marché français. Avant la fin du 1er trimestre, SFR proposera le Nexus One à moins de 200 euros, dans le cadre d’un engagement de 24 mois et d’un forfait mensuel (avec surf illimité) fixé autour de 50 euros.

Pas révolutionnaire. Autant le dire tout de suite, si cet appareil apporte une rapidité et un confort certains par rapport aux précédents téléphones sous Android (le HTC Magic notamment), il n’est pas révolutionnaire. Mais il se rapproche sensiblement des performances de l’iPhone d’Apple, avec quelques bonnes surprises.

Grand écran. Une surprise, pour commencer : l’appareil photo du Nexus One est doté d’un flash. L’écran est légèrement plus grand que celui de l’iPhone (3,7 pouces, contre 3,5). La lumière se reflète (un peu) moins sur l’écran que sur les précédents modèles Android, le HTC Magic notamment. À la différence de l’iPhone, le fond d’écran du Nexus One peut être animé. Sympa pour ceux qui veulent “tuner” leur téléphone.

Navigation ultrarapide. Le processeur Snapdragon de 1 gigahertz (contre 600 mégahertz pour l’iPhone 3GS) conjugué au système d’exploitation Android 2.1 rend la navigation Internet extrêmement performante.

La fonction de recherche vocale est particulièrement réussie avec le Nexus One . Ouvrez une page Google et prononcez le mot Obama et vous verrez immédiatement le navigateur chercher les dernières informations sur le président américain. Mêlé à la géolocalisation, cela peut s’avérer particulièrement pratique - pour la recherche d’un restaurant ou d’une enseigne commerciale, par exemple.

Petite déception : seuls les Américains pourront profiter de l’intégration de tweets (messages Twitter) lors d’une recherche d’infos sur Google News.

Gestion intuitive des vidéos. Le Nexus One possède un appareil photo (5 mégapixels), et une fonction vidéo. La gestion des vidéos (et leur exportation immédiate vers YouTube) est particulièrement intuitive. En revanche, comme pour l’iPhone, pas de fonction zoom pour la prise de vue. Dommage.

Un regret : contrairement à l’iPhone 3GS, pas de possibilité de réaliser un montage - même minime - sur le Nexus.

Pas d’écran multitouch. C’est le principal regret de cet appareil : il ne réagit pas à l’action conjuguée de plusieurs doigts, mais au tapotement un peu insistant à l’écran. Limité.

Pas de révolution donc, mais un réel souci de montée en gamme pour cet appareil qui laisse une place de choix à l’écran (et ferme la parenthèse du clavier, même coulissant, dont on voit de moins en moins l’utilité). On surveillera, dans les mois à venir, l’arrivée de nouvelles applications (aujourd’hui, seulement 20.000 pour Android Market, contre 100.000 pour l’iPhone), un facteur décisif pour le choix d’un mobile.

REGARDEZ - En vidéo, un aperçu du Nexus One

Aucun commentaire
Bookmark and Share

janvier 05

Avant de passer en revue les enjeux du marketing mobile en 2010, regardons en arrière. Le marketing mobile n’existait pas à l’aube de la décennie précédente.

2000 – 2009 : Quand la tortue devient lièvre peu à peu, les différents outils techniques du marketing mobile se sont mis en place sur le marché français. Lentement, mais surement.

En 2000, le push SMS permet aux annonceurs de proposer des services mobiles. Il faudra quelques années pour que ce marché décolle vraiment vers 2005 avec le développement de l’usage du SMS comme vecteur du marketing direct. En France, j’estime aujourd’hui ce marché à environ 500 millions de messages par an.

En 2002, les opérateurs mobiles lancent SMS+ qui permet à un média, un éditeur ou une marque de proposer simplement des services surtaxés par SMS (information, fond d’écran…). En 2 ans, ce modèle connaîtra une croissance très forte. En 2008 en France, les services SMS+ ont représenté 261 M€ de CA. Les applications marketing du SMS+ restent limitées : collecte de coordonnées sur un palier non surtaxé, jeu promotionnel ou accès à un site Internet mobile…

Vers 2004, l’Internet mobile devient une réalité (avant cette date le parc de terminaux essentiellement WML ne permettait pas d’attirer les annonceurs, ou alors un petit tour et puis s’en va). La croissance de l’Internet mobile sera lente (environ 20% de croissance par an). Les mobiles vont peu à peu se transformer… En parallèle, les premières régies spécialisées sur l’Internet mobile apparaissent. Ces régies vont se développer lentement. Elles appellent à la mise en place d’une mesure d’audience qui devrait enfin être disponible en 2010.

En novembre 2007, l’iPhone est lancé. Présenté comme la révolution de l’Internet mobile, c’est lorsque l’App Store ouvre en juillet 2008 que l’on comprend que la révolution ce sont les applications mobiles. Certes les applications mobiles existaient depuis longtemps (avec J2ME, ou sur des OS comme Symbian ou Windows Mobile) mais la rupture c’est l’App Store : pouvoir télécharger depuis son écran simplement des applications gratuites ou payantes.

En 2009, le mobile arrive enfin sur le devant de la scène. Admob spécialiste de la publicité sur le off portail mais surtout dans les applications iPhone est racheté par Google pour 750 millions de USD. L’activité des agences mobiles est soutenue. Lorsque je discute avec les membres de la Mobile Marketing Association France, j’entends toujours : « on n’a jamais eu autant de boulot ». Pour la première fois, les agences mobiles refusent des briefs ! Pas le temps, trop de projets, trop de sites à mettre en ligne, trop d’applications à publier…

Cela aura mis près de 10 ans, mais c’est parti !

Quelle tendance pour usages mobiles et leurs impacts pour les annonceurs en 2010 ? En 2010, la fracture mobile va continuer à se creuser entre les consommateurs avec smartphones (mobiles tactiles ou à clavier) et les autres :

• Le consommateur avec un smartphone surfe sur l’Internet mobile (80%), télécharge des applications (8 applications gratuites par mois en moyenne sur iPhone), consulte ses emails (78%) et envoie des SMS (98% des possesseurs d’iPhone envoie des SMS).

• Un consommateur avec un mobile classique envoie des SMS (60%) et surfe un peu sur l’Internet mobile (20%).

La part des smartphones va augmenter sur deux cibles : les plus âgés à forte CSP et les plus jeunes. Mais la part des terminaux classiques sera encore largement majoritaire en fin 2010.

Quelles sont les implications pour les annonceurs ? Pour les annonceurs, il conviendra de mener de front des actions pour toucher tous les consommateurs. A destination des consommateurs avec mobile classique (le plus grand nombre) des actions construites autour du SMS et de sites mobiles. Il s’agira pour les annonceurs de continuer à développer les campagnes ROIstes sur le mobile. Nous anticipons une croissance d’au moins 30% des actions de marketing mobile par SMS en 2010 !

Pour les consommateurs avec Smartphone, l’annonceur va continuer à lancer des applications. Phénomène nouveau, il s’interrogera sur les plates-formes à sélectionner (iPhone, Android, Rim, Windows Mobile…). Notre recommandation est de se limiter à l’iPhone (près d’1 phone sur 10 dans le monde a été vendu en France !) et éventuellement à Android. En 2010, l’enjeu pour l’annonceur c’est de comprendre comment on lance une application, comment on assure la récurrence de son usage et non de se noyer dans une coûteuse problématique de portage.

Le site mobile, au cœur du dispositif, va retrouver une seconde jeunesse. Les trois outils qui constituent le marketing mobile (SMS, Internet mobile et applications mobiles) sont donc indissociables. (Benoit Corbin est le président de la MMA France )

Aucun commentaire
Bookmark and Share

janvier 05

Quelle sera la prochaine victime du téléphone mobile ? Après avoir relégué aux oubliettes l’assistant numérique personnel (PDA), très en vogue au début des années 2000, le petit appareil s’attaque maintenant au téléphone fixe, à l’appareil photo numérique, à l’iPod, voire à la montre. Il est l’illustration même de la “destruction créatrice” définie par l’économiste autrichien Joseph Aloïs Schumpeter. Et c’est loin d’être fini…

Les investisseurs auraient intérêt à se pencher sur les puissantes capacités schumpétériennes du téléphone portable. Au tout début de ce nouveau siècle, les banquiers s’échangeaient des informations via les rayons infrarouges d’un Palm Pilot désormais désuet. La société Palm arborait avec fierté une capitalisation de 92 milliards de dollars. Sa métamorphose dans les téléphones mobiles lui a coûté 97 % de sa valeur.

Le téléphone classique est la prochaine cible la plus évidente. Il a déjà disparu dans près d’un quart des foyers américains. Un vrai drame pour AT & T ou Verizon, qui doivent continuer d’entretenir à grands frais des infrastructures. Il n’est pas jusqu’à l’iPod qui n’ait pris un petit coup de vieux. Les ventes baissent. Apple ne s’en émeut guère : les clients écoutent leur musique sur un iPhone qu’ils ont payé plus cher.

Ne parlons pas du malheureux fabricant de montres. La plupart des adolescents consultent leur téléphone portable pour donner l’heure. Les concepteurs de gadgets sophistiqués qui mesurent le rythme cardiaque ne sont pas non plus à l’abri : il existe maintenant des applications sur téléphone mobile qui offrent le même service. C’est encore pire pour les systèmes GPS, les appareils photo et les détecteurs de radars. Pour donner une idée de l’ampleur des dégâts, lorsque Google a ouvert il y a peu une application de navigation gratuite, les titres Garmin et Tom-Tom se sont respectivement effondrés de 16 % et 23 % en Bourse. Comme Palm, Garmin espère s’en sortir en lançant son propre téléphone portable.

Dynamique de l’innovation

La destruction créatrice chère à Schumpeter fera aussi le bonheur de certains. Apple, Google et Facebook veulent bourrer les téléphones mobiles d’informations, de logiciels et de publicité. Une pléiade d’entreprises naîtra pour inventer de nouveaux produits. Il est moins facile de prévoir la direction que la tornade du téléphone prendra ensuite. Disons qu’il y a de bonnes chances que cela ait un rapport avec tout ce que l’on peut avoir dans les poches ou dans le sac à main. Cartes de crédit, argent liquide, clefs, papiers d’identité, livres, journaux, tickets et cartes d’embarquement pour le transport aérien constituent autant d’objets qui pourraient devenir électroniques. Alors, la dynamique de l’innovation récompensera les esprits créatifs et entreprenants, et laissera couler les autres.

Source: Le Monde.fr

1 commentaire
Bookmark and Share

janvier 04

L’iPhone n’a pas besoin d’une souris. Ceci étant dit, les développeurs de BTstack ont réussi à faire fonctionner l’iPhone avec une souris Magic Mouse et un clavier laser.

Aucun commentaire
Bookmark and Share

janvier 04

La popularisation de l’iPhone, des Blackberry et des téléphones sous Android est annonciatrice d’un essor des échanges marchands sur mobiles. À condition que les sites s’adaptent ces nouveaux usages…

Les propriétaires de smartphones sont de plus en plus enclins à effectuer des achats depuis leur téléphone, révèle Compete dans une étude trimestrielle sur ce marché. D’après l’agence marketing, le commerce mobile devrait connaître une croissance importante en 2010. Plus d’un tiers des propriétaires de smartphones ont effectué des achats depuis leur portable dans les 6 derniers mois. Pour l’instant ces achats se concentrent sur les produits culturels. Ils sont en effet presque un cinquième à avoir acheté de la musique, suivent ensuite les livres, DVD et jeux vidéo pour près de 15% des personnes interrogées.

Les sites tardent à s’adapter à un usage mobile

Pour les auteurs de l’étude, le principal frein à ce développement prévu viendra du manque de fonctions des sites de commerce mobile. De même que l’e-commerce souffrait à ses débuts d’un nombre important d’abandons en cours de transaction, les sites qui ne sont pas optimisés pour une expérience sur mobile peinent à transformer l’intérêt des mobinautes en achats. L’étude montre ainsi que près de 10 % des possesseurs ayant voulu acheter un produit depuis leur mobile se sont trouvé dans l’impossibilité de le faire. Pour près de la moitié d’entre eux, le site ne parvenait pas à charger et environ 40% ont quitté le site car il n’était pas conçu spécialement pour un usage sur mobile.

Différence d’utilisation selon les appareils

Par ailleurs, l’étude souligne que les sites de m-commerce tardent à prendre en compte les différences d’utilisation qui existent entre les différents portables. « Il y a des différences notables entre les appareils », rappelle si besoin était une des responsables de l’étude. « Les utilisateurs d’Android ont des caractéristiques différentes de celles des adeptes du Blackberry ou de l’iPhone ». La moitié des possesseurs de Blackberry sont ainsi prêts à dépenser plus de 500 $ pour une application, alors que ce chiffre tombe à 40% pour les utilisateurs d’Android et à moins de 10% pour les possesseurs d’un iPhone. Dans leurs activités aussi les différentes catégories diffèrent. Les utilisateurs d’iPhone et d’Android sont plus nombreux à comparer les prix entre différentes enseignes pendant qu’ils font des courses.

Source : Atelier.fr

Aucun commentaire
Bookmark and Share

janvier 04

theinternetisbig-580x18831

Bookmark and Share

janvier 04

Le QR code est un code bar à deux dimensions inventé en 1994 par la société Japonaise Denso-Wave et capable de stocker 7089 caractères. Très utilisé au Japon, Audi Japon à décidé de fêter les 100 ans de la firme en réalisant le QR Code le plus grand du monde. Le lien pointe vers http://m.audi.jp/qr/ qui il est vrai n’apporte rien de sensationnel si ce n’est une vue de dessus de l’ensemble de ce puzzle géant.

Bookmark and Share

janvier 02

Le saviez-vous ? Les statistiques indiquent que 0,8 % des courriels sont optimisés pour les appareils mobiles, mais 20 à 30 % des courriels sont consultés depuis un téléphone portable.

Bookmark and Share

décembre 31

2006 l’année zéro, le recommencement après l’échec du wap. De nouvelles générations d’agences arrivent, avec la vision que l’ecco-système mobile est enfin prêt et qu’il est enfin possible de mener des opérations mobiles de qualité. Il en résulte de belles campagnes SMS MMS et des sites événementiels de promotion de marque ou de produits de qualité. Avec 2007 arrive la conviction généralisée qu’il est possible de changer de vitesse. C’est le début des sites de M-commerce. Dorénavant le mobile devient un canal de vente directe à coté des autres canaux de vente des annonceurs. C’est enfin le décollage annoncé.

2008 l’arrivée de l’iPhone bouscule tout, l’ergonomie et le design passent au centre des préoccupations. L’objet et les services qu’il peut rendre intéressent autant les directions marketing, communication que les directions informatiques. On passe d’opérations mobiles à de véritables stratégies mobiles. Enfin 2009, l’année de la consolidation, les agences font « du beau ». Des services interconnectés avec des systèmes d’informations complexes (vente, bancaire …), sans compromis ni sur les fonctionnalités, ni sur le design, ni sur la qualité de service.

Pendant ses 4 années les Agences ont évoluées. Elles se sont adaptées et souvent transformées. Beaucoup se sont adossées à de grands groupes pour être plus solides. Elles sont passées de l’age de start-up de quelques personnes à de véritables PME de plusieurs dizaines de personnes sans pour autant qu’un modèle ne s’impose. Certaines se sont spécialisées par technologies (iPhone), d’autres sur le marketing mobile annonceurs, d’autres enfin se sont focalisées sur le conseil, la régie ou encore la technique.

2010 Année décisive

Face à un marché de plus en plus important, les attentes des clients (très souvent des grands comptes) sont fortes, tiraillés entre réduction des coûts et exigence de qualité. Les projets sont maintenant à la fois dans les mains des directions opérationnelles mais aussi des directions des achats et très souvent visibles de la direction générale. L’attente la plus forte est pourtant celle du consommateur final qui accepte de moins en moins la médiocrité des services mobiles et sanctionnent les services mobiles qui ne sont pas « à la hauteur ». Le tout en en demandant toujours plus.

L’Agence de 2010 doit naviguer dans l’océan de ces nouvelles attentes et contraintes sans pour autant perdre son agilité, son expertise et son excellence opérationnelle. Elle sera devenue une agence transverse intégrant en son sein les compétences essentielles aux services mobiles d’aujourd’hui (conseil, création, design, ergonomie, réalisation) tout en s’appuyant sur des horizontales métiers dédiées pour l’intégration de modules ou composants spécifiques (reconnaissance d’image, réalité augmenté, solutions de paiement…)

Les agences Mobile ne se contenteront plus de surfer de manière opportuniste sur l’engouement du Mobile car ce serait oublier que cette industrie a déjà subie des revers forts dans les années 2000. Les Agences mobile de nouvelle génération surfent et continueront à surfer sur les innovations mais aussi et surtout mettront en place les moyens de les industrialiser. L’innovation pure ne séduit plus et fait place à l’innovation « bac à sable » qui doit à la demande des clients rejoindre rapidement les fermes des projets industrialisés, maitrisés tant en terme de QOS que de coûts. C’est à ce prix uniquement que le client final continuera d’être au rendez-vous. Car finalement que veut-il ? Si on lui demandait il dirait probablement : utile, intéressant, accessible, abordable et de qualité.

2010 Année de la concurrence

Pas tant la concurrence fratricide à laquelle sont habituées les « Mobile Agency », mais la concurrence des autres acteurs attirés par les nouveaux budgets mobiles des grands comptes. Les grandes ou moyennes SSII, comme les grandes Agences Web, essayeront de prendre leur part du « gâteau ». Certaines y arriveront, d’autres pas, car ce qui est important pour les clients des Mobiles Agency c’est avant tout une Expertise, une Vision de l’avenir permettant de proposer des plans mobiles long terme intégrant les innovations actuelles et celles à venir, mais aussi est surtout une dimension conseil, design et ergonomique… Tout cela ne s’improvise pas d’autant que les problématiques vont passer du multi-device au multi-écran, multi-canal, le tout avec une approche rationnelle d’optimisation des coûts, de la réutilisabilité entre les canaux et au sein même de chaque canal. Quelle sera la place des Mobile Agency dans ces nouveaux dispositifs ? Celle qu’elles oseront prendre par leur audace, et leur capacité comme elles l’ont fait sur le mobile à créer des interfaces innovantes, des interfaces qui ne sont pas le copier/coller du web ou du mobile mais bien le révélateur d’une nouvelle expérience, celle du multi-écran.

Pour cela, seules les agences ayant été capables de se structurer, de fonctionner non plus en réactif mais en proactif par rapport aux très nombreuses demandes de leurs clients actuels et à venir, passeront ce cap. C’est à dire celles ayant mis en place de véritables politiques d’innovation et de rationalisation. Celles qui seront passées dans l’aire industrielle et qui seront en ordre de marche passeront cette nouvelle année et les suivantes sans encombre.

La maturité en 2010 ?

Finalement tout cela est terriblement classique et représente le cycle de maturité de tout secteur d’activité émergeant ! Mais pourquoi serait-ce différent ? Ce qui est finalement et fondamentalement différent, c’est que Agence Mobile conjugue l’avenir avec le présent. Ce qui est différent c’est que dans chaque cas client se fusionne les possibles d’aujourd’hui tout en laissant apercevoir ses déclinaisons de demain sur la télévision, sur le GSP de la voiture, sur la Table Surface® ou encore sa tablette Apple®. Ce qui est différent c’est que nous ne savons pas aujourd’hui sur quel écran nous travaillerons dans cinq ans. Ce qui est en définitif passionnant c’est cette absolue nécessité de challenger à la fois la technologie et les développements de services afin d’aller de l’avant pour faire du monde mobile de demain un espace de services utiles, intéressant, de qualité et accessible de tous les écrans, partout.

Alors rejoindre une Agence Mobile en 2010 ou Démarrer une véritable stratégie mobile avec l’une d’entre elles ? Quoi d’autre ?!

Source: servicesmobiles.fr

Bookmark and Share

décembre 31

Orange profite du réveillon de fin d’année pour lancer en partenariat avec l’assureur MMA une campagne sur mobile destinée à « sensibiliser plus de 2 millions de mobinautes sur les dangers de l’alcool au volant ».

La campagne repose sur un site internet mobile qui permet notamment de désigner entre amis un capitaine de soirée, par tirage au sort. Après avoir renseigné le numéro de téléphone de chaque prétendant, l’un d’eux reçoit un SMS : « Ce soir, vous êtes le capitaine de soirée. Et rappelez-vous (tous en cœur, ndlr) : Celui qui conduit, c’est celui qui ne boit pas. »

Le site internet propose également un « éthylotest », à l’approche bien différente de celui de Google, qui se contente en fait de calculer une estimation du taux d’alcoolémie en fonction de la corpulence du mobinaute, de sa consommation à jeun ou non et du nombre de verres qu’il a bu. Ainsi, si un mobinaute de 75 kg a bu une demi douzaine de breuvages alcoolisés savamment dosés à jeun, le test lui rappelle qu’il est bien au dessus de la limite légale de 0,49 gramme d’alcool par litre de sang et que le risque d’accident mortel est multiplié pour lui par 10. Une application iPhone offrant les mêmes fonctionnalités est également proposée sur l’App Store.

Les cases à cocher et les listes sont malheureusement de petite taille. L’ergonomie n’a donc pas été pensée pour ceux qui ont bu une bonne douzaine de verres et qui se demanderaient encore s’ils peuvent prendre ou non le volant. Quoi qu’il en soit, le site internet est accessible à cette adresse , quelque soit votre opérateur.

Source: mobinaute.com

Bookmark and Share