Marketing-mobile.ca
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Archive pour décembre 2010

décembre 22

Depuis quelques semaines, j’aperçois un réel « buzz » autour des campagnes de code 2D au Québec. Il y a quelques mois de cela, il était plutôt rare, voir même excitant de voir un code 2D sur une affiche. Je m’empressais de le prendre en photo pour voir sur quel type de contenu j’allais accéder.

Aujourd’hui, il ne se passe pratiquement pas une journée sans que je croise une publicité avec un code. Par contre, je suis toujours surpris de voir à quel point le code 2D est souvent utilisé sans aucune réflexion stratégique et même trop souvent, sans même avoir pensé à adapter un contenu pour le mobile lors qu’il est décodé. Je dirais que le QR Codes et rendu à la QR mode…

Quelques petits rappels:

Ils ont un téléphone intelligent

  • 22,8 % des 18-34 ans
  • 12,3 % des plus de 35 ans
  • 21,9 % des ménages ayant un revenu familial annuel supérieur à 50 000 $
  • 9,8 % des ménages ayant un revenu familial inférieur à 49 999 $
  • 59 % des détenteurs de téléphones intelligents ont un revenu de plus de 60 000 $.
  • La plupart des utilisateurs de téléphones intelligents sont scolarisés et possèdent majoritairement un DEC ou un DEP.

La première réflexion en arrière d’une campagne de code 2D devrait être: est-ce que ma cible possède un téléphone intelligent? La réponse est très/trop souvent NON encore au Québec. Plusieurs campagnes qui s’adressent aux jeunes (moins de 18 ans) ont commencé à utiliser les codes 2D. Pourtant, cette cible ne possède en grande majorité pas de téléphone intelligent pour des raisons de coûts.

C’est le cas de la dernière campagne du ministère de l’Éducation qui s’adresse aux jeunes du secondaire. Quelle est la réflexion en arrière de l’utilisation du code 2D pour cette initiative? Trop souvent, c’est l’argument de « je veux avoir l’air techno » ou « les médias vont en parler » qui revient.

* Notez bien que j’adore la campagne en général et que j’en félicite l’agence Brad. Je me questionne seulement sur la portion mobilité utilisé dans la campagne.

Pourquoi utiliser des codes 2D si nous n’offrons rien d’adapter au mobile en arrière? J’arrête souper au restaurant le Cercle et je trouve un QR Codes sur mon menu. Je m’empresse de le prendre en photo : problème #1.. pas de réseau dans l’établissement.. je vais près de la vitre pour obtenir du réseau.. j’obtiens un PDF qui est tout petit dans mon téléphone comme contenu. Déception une fois de plus.

Dernièrement, j’ai aussi vu une campagne de QR Codes sur des panneaux d’autobus.. Quelqu’un pourrait m’expliquer comment prendre en photo un code 2D en mouvement? C’est impossible.. Je n’ai pas non plus réussi à décoder le code 2D du Ministère du Tourisme à l’aéroport Montréal Trudeau qui était beaucoup trop haut sur le panneau et trop petit.. plusieurs tentatives.. sans résultats. Il faut donc aussi réfléchir aux endroits ciblés pour mettre une campagne de code 2D. Par exemple de l’affichage intérieur avec Zoom Média, du print ou de l’abribus.

Finalement, lorsque nous parlons de code 2D avec différents clients on me répète toujours: C’est gratuit sur le Web, pas besoin d’une agence pour ça.. Ma réponse: vous avez tout à fait raison..

Par contre, les codes 2D sur le Web ne permettent généralement aucun retour statistique et renvoi sur une adresse unique. Mais en vrai, même une agence ne devrait pas vous faire payer pour votre code. Elle devrait vous faire payer pour la stratégie en arrière, le contenu adapté, la plateforme statistique.

S.V.P., pouvez-nous commencer à arrêter d’utiliser le mobile uniquement pour l’aspect buzz, mais plutôt pour offrir de réel contenu, s’adresser à de réelle cible et obtenir de réels résultats? Ce serait une bonne chose pour une industrie en plein développement au Canada!

décembre 21

Interview de Veronique Desroques Veronique, responsable des services Pôle télé Lagardère Active

Pouvez vous parler de Gulli ?

Gulli , c’est la télé qui remue toute la famille. Dans le trio de tête de la TNT depuis son lancement il y a 5 ans, Gulli, première chaîne gratuite pour la jeunesse et la famille, est devenue incontournable dans l’offre TNT dont elle est aussi la première chaîne indépendante, non adossée à une chaîne historique (Source Médiamétrie / Médiamat).

C’est depuis 2010 la marque jeunesse la plus connue des Français. Un positionnement original et un double engagement : divertir et ouvrir sur le monde, réunir toute la famille, faire partager divertissements et émotions, tout en étant éducatif et responsable. Dessins animés, jeux, séries, ciné, pour les enfants et aussi pour les plus grands, Gulli entend diffuser dans chaque maison une énergie communicative qui met tout le monde de bonne humeur. Gulli est éditée en partenariat avec France Télévisions (66 % Lagardère Active – 34 % France Télévisions)

Pourquoi mettre Gulli sur iPad, quelle est votre réflexion à ce sujet ?

Gulli iPad, s’inscrit dans notre stratégie de faire de Gulli, dans le prolongement de la chaîne, une véritable destination de divertissement pour toute la famille. L’application vient d’ailleurs de recevoir l’Award d’Or 2010 de la meilleure application pour tablette aux premiers Mobile Awards Stratégies, un bel encouragement et la preuve de la pertinence de nos applications et de la synergie des talents au sein de nos équipes. Ce lancement permet également de démontrer, une nouvelle fois la qualité de nos marques et de nos contenus sur tous supports. Par ailleurs, l’outil se prête particulièrement bien à la consommation vidéo et pour toute une partie du public visé, les enfants, c’est un terminal particulièrement intuitif, ludique et simple d’utilisation. Autant de qualités que les adultes, l’autre partie de notre public, apprécient aussi.

Une Version universelle est en préparation pour l’iPhone et parallèlement sa déclinaison sur Androïd (téléphones et tablettes)

Quels est le modèle économique visé sur ce marché en émergence ? Replay gratuit financé par la publicité (interstitiels, pré-roll, vignette annonceur dans le carrousel sur la home). En cours d’implémentation. VOD payante avec iTunes

Comment voyez-vous l’avenir de la TV sur les tablettes ? Une télévision enrichie qui permet plus d’interactivité grâce au clavier qu’une télé connectée par exemple.

Et pour quand Yoopa sur iPad?

Sources: servicesmobiles.fr

décembre 21

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décembre 19

décembre 19

1. Les entreprises ont commencé à (re)définir leur stratégie mobile. Beaucoup d’entreprises semblent avoir pris conscience du potentiel du mobile et de la nécessité de toucher un plus large public qu’à travers les seules applications iPhone. Elles ont commencé à essayer d’intégrer le mobile dans leur stratégie à moyen terme et à définir leurs objectifs, principalement centrés aujourd’hui sur l’utilisation du mobile comme outil de fidélité et de satisfaction client. Certaines annoncent des revenus de plusieurs millions de $ sur le mobile et loin devant eBay a confirmé durant l’année son objectif de dépasser les 1,5 milliards de $ de transactions (dont une bonne partie sont initiées sur le web). Les sociétes les plus en pointes sont les médias et les banques, mais le chemin à parcourir est encore long avec plus de la moitié des entreprises qui déclarent ne pas avoir de stratégie mobile ou seulement commencer à y réfléchir!

2 – Le buzz autour des applications a bien continué mais l’Internet mobile commence seulement à revenir à la mode . Le débat entre les apps et les webapps a bien eu lieu, mais il est toujours aussi stérile. La question n’est pas technologique mais d’abord et avant tout marketing: quels sont les services que l’on veut rendre mobile et quelles audiences veut-on toucher? Si le service requiert une bonne intégration avec l’OS et le terminal (GPS, accéléromètres, appareil photo…) mieux vaut une application au risque de ne toucher qu’une audience relativement faible – mais très qualifiée (les possesseurs d’iPhone et autres terminaux sont des influenceurs et des cibles très intéressantes). Si on veut au contraire toucher une audience plus large à moindre coût, un site web optimisé peut parfaitement faire l’affaire pour autant que l’on en fasse la promotion. Le HTML5 mettra sûrement plusieurs années à atteindre une taille critique, mais le coût de développement, de maintenance et de promotion des applications dans un univers fragmenté ouvre de belles perspectives pour l’Internet mobile.

3- Les magasins applications ont poussé comme des champignons mais aucune ne rivalise encore avec l’App store . Avec plus de 7 milliards de téléchargements cumulés et un catalogue de 300,000 applications, Apple reste loin devant. Android et Getjar ont passé la barre du milliard de téléchargements alors qu’OVI est maintenant sur une tendance de 3,5 millions/jour. Même pour Apple, l’enjeu n’est toujours pas les revenus mais la fidélité consommateur aux terminaux surlesquels se fait la marge. 2 chiffres pour le prouver: l’App Store a généré en cumulé depuis 2ans 1/2 entre $500 et $700M alors qu’Apple a réalisé 20 milliards de dollars sur le dernier trimestre…De très nombreux acteurs ont lancé des apps stores en essayant de copier le modèle d’Apple. Ils feraient mieux de se différencier en proposant des outils de personalisation, de recommendation, de reporting, de merchandizing…

4. La fragmentation a augmenté et est là pour durer. Meego n’a finalement pas été lancé (il faudra attendre encore un peu pour voir les fruits de l’alliance des deux numéros 1: Nokia et Intel) mais en l’espace d’un an: HP a racheté Palm pour WebOS, Nokia a lancé Symbian 3, Samsung a lancé Bada et Microsoft a mis le budget pour lancer Windows Phone 7. Résultat des courses? Android a bien explosé: en passant de 65,000 à 300,000 activations par jour entre février et décembre 2010. La fragmentation d’Android avec ses différentes marques de terminaux aux mutliples taille d’écran et ses différentes versions commencent à faire parler d’elle. Est-ce vraiment un souci? Non, car de toutes façons le mobile est et restera un univers fragmenté.

5. Lutte importante entre les constructeurs de terminaux . Contrairement à ce qu’on pourrait croire, Nokia vend plus de smartphones que l’an passé et ce n’est pas que grâce au N8. Le problème c’est que la marque est en perte de vitesse inquiétante (tout comme Symbian) et que les concurrents gagnent des parts de marché sur un segment en forte croissance. La bataille juridique autour de l’iPhone n’a pas eu lieu mais les opérateurs ont fait ce qu’il fallait pour pousser Android. Beaucoup de co-marketing avec Microsoft en fin d’année et le tour est joué. Mais les opérateurs n’ont pas envie de passer des griffes d’Apple à celles de Google ou de Microsoft.

6. La pub sur mobile explose mais reste un petit marché en valeur . Les marques commencent à réaliser qu’une boutique est une boutique et qu’il faut faire de la promotion pour attirer le chaland. Les budgets de promotion des applications deviennent plus significatifs même si on reste sur des queues de budget Internet. Je sais que je vais faire bondir pas mal de monde mais les régies se partagent aujourd’hui les miettes du marché publicitaire. Certaines d’entre elles ont l’air de bien s’en tirer et la croissance fulgurante de différentes boites montre qu’il y a de la place pour de nouveaux entrants. L’innovation est là avec les modèles de type applications gratuites, avec iAD, avec le début de l’affiliation mobile (enfin disons du modèle CPA sur les applis) et de la mesure d’audience, mais gardons la tête froide, même avec le marketing SMS, le marché reste encore limité.

7. L’innovation dans les paiements mobiles. Que s’est-il passé côté NFC? Pas grand chose malgré la répétition générale de Nice. Pourquoi? Toujours pas de terminaux NFC disponibles. La donne devrait heureusement (enfin!) changer (très) significativement l’année prochaine. Il était temps même si l’infrastructure n’est pas encore aux rendez-vous chez les marchands. Beaucoup plus d’innovation en revanche dans le domaine des micro-paiements (Boku, Zong, Facebook Credits) et notamment dans la monétisation du social gaming, qui débarque sur le mobile. Par contre, toujours pas d’annonce du côté d’Apple…

8. La localisation commence seulement à devenir un enabler et plus seulement un service . Après Google Maps navigation, OVI s’est empressé de rendre son service gratuit et les opérateurs sont obligés d’intégrer les services premium pour maintenir leur différentiation. Beaucoup de buzz autour de Foursquare et ses quelques 5 millions d’utilisateurs, intégration de ce type de services dans les offres des acteurs Internet (Facebook Places), hype autour de la « réalité augmentée » (appli Ikéa et autre browser AR basé sur le GPS type Layar)…Disons que ça n’est que le début et que le m-commerce/m-couponing et la convergence avec le monde physique devrait faire encore plus de bruit l’année prochaine.

9. Nouvelle phase dans la convergence entre réseaux sociaux et mobiles? Facebook mobile au niveau mondial est passé de 65 à 200 millions d’utilisateurs entre septembre 2009 et cette fin d’année. Le nombre d’utilisateurs de Twitter commençant le service sur mobile est passé de 5 à 16% entre avril et octobre 2010…Les chiffres parlent d’eux-mêmes! Par contre, il va falloir encore attendre pour la revue en temps réel et sur le point de vente des opinions consommateurs (et surtout de celles de votre réseaux social).

10. Effet limité de la coupe du monde de foot sur la TV mobile . C’était facile à prévoir:-) mais le buzz n’a même pas eu lieu, à part peut-être avec MTN et quelques opérateurs africains.

Voilà les 10 tendances 2010 passées en revue un an après. Il y manque beaucoup de choses à commencer par l’iPad et l’arrivée en fanfare des tablettes (mais est-ce bien de la mobilité?), le début de la fin de l’Internet mobile illimité et tant d’autres faits et tendances d’un marché en plein ébullition.

Article paru sur Servicesmobiles.fr

décembre 19

décembre 14

Après avoir dévoilé la semaine dernière le Samsung Nexus S disposant d’une puce NFC, Google aurait racheté la société Zetawire. Spécialisée dans le paiement mobile, la jeune pousse canadienne devrait donc travailler sur cette technologie de transferts de données sécurisés et rejoindre l’équipe Google Mobile. Si aucune information n’a été dévoilée concernant le montant de ce rachat, ce dernier aurait été finalisé au mois d’août dernier.

Zetawire a notamment déposé un brevet décrivant un système rassemblant les fonctionnalités de paiement, la réception de messages publicitaires ainsi qu’un gestionnaire d’identité. L’on imagine ainsi que Google pourrait encourage les achats en retournant au mobinaute quelques coupons promotionnels et géo-localisés au moment précis où ce dernier entre dans un magasin affilié.

Très utilisée au Japon, la technologie NFC a pris du retard dans le reste du monde. Cependant, plusieurs fabricants ont également déposé des brevets relatifs à cette dernière, c’est notamment le cas d’Apple, de Research In Motion ou encore de Nokia.

Source: Clubic.com

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décembre 13

Aimeriez-vous pouvoir vous préparer à votre prochaine visite à Home Depot ?  Avez-vous besoin d’accéder rapidement à des renseignements sur la rénovation résidentielle ?  Dès maintenant, Home Depot offre aux bricoleurs et aux entrepreneurs une expérience de magasinage et de rénovation plus agréable et plus efficace grâce à une application gratuite pour iPhone.  Home Depot, qui est l’un des premiers détaillants canadiens à lancer cette application complète, permet aux clients de se préparer à leur prochaine séance de magasinage et de profiter d’outils très pratiques, notamment :

Le localisateur d’emplacement : vous pouvez trouver le magasin Home Depot le plus près de chez vous et consulter les cartes et les itinéraires pour s’y rendre

La recherche d’articles : vous pouvez voir des milliers d’articles offerts en ligne et en magasin

La disponibilité des produits : cette option vous permet de vérifier la disponibilité des produits en ligne et en magasin

Les aubaines : cette application vous permet de consulter le cahier publicitaire en ligne de votre région pour être au courant des aubaines et des promotions actuelles

Les agendas : ils vous permettent d’indiquer facilement les choses à faire en vue des cours à venir ou des futurs projets de rénovation

Vous pouvez télécharger l’application Home Depot pour iPhone au www.homedepot.ca/mobileapp et par l’entremise de l ’iTunes store (magasin iTunes).  Elle convient à l’iPhone, à l’iPod touch et à l’iPad, et nécessite la version iOS 3.1.3. ou une version plus récente.

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décembre 06

Non, ne rêvez pas, vous n’allez pas pouvoir dialoguer avec votre chien via un traducteur de langage chien par SMS … enfin pas encore :)

Là on parle d’un collier GPS qui peut servir en cas de fuite ou de vol de votre toutou préféré.

Et ça marche tout seul, vous avez perdu votre chien, vous envoyer un SMS à votre chien, du moins à son collier, et vous en recevez un avec les coordonnées GPS de votre animal.

Mais ce n’est pas tout(ou)

Dans le cas ou votre chien tente de se faire la malle de votre domicile, une alerte vous prévient qu’il est éloigné de plus de 80 mètres. Cela se fait par SMS et vous pouvez choisir 3 numéros d’envois.

Vous pouvez également définir une zone dans laquelle votre chien se ballade généralement et s’il en sort … le collier GPS vous alerte.

Source: accessoweb.com
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décembre 06

Cette initiative démontre comment, dans l’hôtellerie, la stratégie de distribution web peut se combiner aux supports traditionnels que sont les guides, via le marketing mobile.

Au sein du nouveau guide de la marque, distribué dès la fin du mois de novembre dans le réseau Best Western , chaque hôtel présente sur sa page un QR Code dédié qui une fois scanné, conduit sur la page web de l’hôtel. Il permet ainsi d’obtenir davantage de renseignements sur l’établissement, de vérifier les disponibilités, et de réserver son séjour n’importe où et n’importe quand.