Marketing-mobile.ca
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Archive pour la catégorie « Contenus mobiles »

janvier 17

Les codes QR n’ont jamais autant été utilisés dans les stratégies de marketing des entreprises. Caisses de bières, panneaux d’autobus, affiches, vêtements et magazines sont quelques endroits où ceux-ci se retrouvent fréquemment afin d’accéder à du contenu numérique adapté aux appareils mobiles.

Cependant, on assiste à une utilisation nouvelle de ces codes… En France, une entreprise innove grandement en utilisant ces derniers afin de transmettre de l’information médicale. En effet, plusieurs études ont démontré que davantage de vies pourraient être sauvées si les premiers répondants connaissaient mieux les caractéristiques médicales des victimes.

Ainsi, l’entreprise européenne propose d’identifier les citoyens par un code QR unique qui le lierait à ses caractéristiques médicales. On pourrait ainsi retrouver un tel code sur le casque d’un motocycliste, sur un simple bracelet, un téléphone ou encore sur carte qu’un individu aurait avec lui. Grâce à ce code, les ambulanciers ou autres premiers répondants pourront obtenir des informations médicales précises sur une victime très rapidement et ainsi donner les soins nécessaires et appropriés.

Le nouveau service a été lancé cette semaine dans quelques régions de la France et l’entreprise prévoit pouvoir couvrir l’ensemble du territoire d’ici la fin de l’année 2012.

décembre 05

C’est dans le cadre des Prix Boomerang 2011 que l’agence Piranha, par l’entremise de sa filiale Mozzo, a lancé la version numérique d’Infopresse pour tablette. Présentement disponible sur iPad, la version mobile du magazine offre une interactivité et une flexibilité qui permettront à la société Infopresse d’être, une fois de plus, à l’avant-garde des tendances technologiques.

Avec son interface simple, accessible et un visuel à l’image de la marque, la nouvelle application saura assurément plaire aux nombreux lecteurs du magazine. Vidéos, banques de photographies, accès à des blogues, contenu exclusif et beaucoup plus viendront bonifier l’offre actuelle de la publication.

Ainsi, par une plateforme complètement gérée par Infopresse, il sera possible pour cette dernière de rendre la version mobile du magazine complètement interactive, et ce en quelques heures seulement. Pour les lecteurs, plus aucune raison de manquer une édition d’Infopresse. Toutes les publications seront maintenant accessibles en tout temps !

Disponible gratuitement sur le App Store sous le nom Magazine Infopresse , l’application verra aussi le jour en plateforme Androïd d’ici un mois. Plus besoin d’une bibliothèque pour conserver tous vos magazines, vous pourrez dorénavant tous les accumuler dans votre tablette !

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mai 11

Le modèle est efficace, note Frost and Sullivan, qui en regrette néanmoins le système fractionné et la difficulté pour les petits développeurs à se faire une place. Une plate-forme web ouverte s’annonce comme une solution.

Le succès du magasin d’applications d’Apple a facilité la mise en place d’un modèle de distribution fonctionnel du contenu sur les mobiles, souligne une récente étude de Frost and Sullivan . Ouvrant la voie à d’autres initiatives telles que celle de Google. Mais pour le chercheur à l’initiative du rapport, la croissance du web mobile permet d’envisager un autre mode de distribution, par Internet directement.  » Le succès de l’App Store est incontestable, et il constitue un moteur pour l’innovation », précise à L’Atelier Saverio Romeo, le chercheur à l’origine de l’étude. Notamment en proposant un modèle basé sur le partage des revenus et en ajoutant un interlocuteur entre le consommateur et l’opérateur. Ce qui permet aux développeurs de toucher les utilisateurs sans passer de manière obligatoire par les opérateurs. Selon l’étude, ce système est amené à perdurer, mais il devra se confronter à plusieurs difficultés. La multiplication des « stores » qui utilisent différentes plates-formes de développement complique ainsi le développement de modules pour les petites et moyennes entreprises.

L’App Store crée un environnement fractionné

Cela demande en effet des coûts supplémentaires pour pouvoir être présents sur ces différents environnements, et donc toucher un large public. « Ce modèle crée un environnement fractionné « , regrette ainsi Saverio Romeo. Une autre approche est possible, comme il l’explique à L’Atelier : « une plate-forme web ouverte, qui permet aux développeurs de créer des applications accessibles depuis une plus grande gamme d’appareils mobiles « . Avec plusieurs enjeux à la clé. Pour le spécialiste, un tel environnement ouvert attirera davantage de développeurs, et surtout davantage de marketeurs. « En proposant des applications web pour l’ensemble des mobinautes, quelque soit leur smartphone, il sera possible d’augmenter l’audience, et donc d’intéresser les publicitaires « , explique-t-il.

La publicité au cœur des applications web

Selon le chercheur, plusieurs acteurs mettent aujourd’hui en avant cette autre voie, comme Mozilla, Taptu ou Opera Software. Et d’ici quelques années, les chances sont grandes pour que ces deux systèmes cohabitent.   » La question n’est pas de savoir lequel des deux modèles sera pérenne, ou lequel sortira vainqueur de la lutte « , note le responsable de l’étude. « Dans le court terme, il va y avoir une coexistence de ces deux modèles, c’est-à-dire deux avenues parallèles, que pourront emprunter les développeurs « , anticipe-t-il. Reste que, souligne-t-il, la compétition entre ces deux modèles favorisera une baisse du prix des applications. Et obligera les acteurs du secteur à inclure des sources alternatives de revenu, comme la publicité.

* The Modes of the mobile content industry – the stores and the web

Source: Atelier.fr

décembre 09

Une très belle campagne. Félicitation à l’agence Marvellous!

décembre 08

Google vient de lancer Goggles , un service permettant de recevoir instantanément des infos sur un logo, un monument, un livre ou une bouteille de vin (entre autres) sur votre mobile.

Il suffit pour cela d’en prendre une photo et de la leur envoyer. Réponse instantanée disent-ils.

Le service est limité à Android pour le quart d’heure mais ça ne devrait pas durer.

Ils ont annoncé en même temps l’intégration presque en temps réel des infos trouvées sur MySpace, Facebook et Twitter et des progrès considérables dans la reconnaissance vocale. Utile en cas de catastrophe.

On pourra bientôt demander oralement les restaurants proche d’un endroit, par exemple, et voir une carte apparaître avec les infos correspondantes.

Le mastodonte de Mountain View a également entrepris d’attribuer des sortes de codes barre aux magasins et aux monuments les plus visités. Une photo du code en question permettra d’obtenir toutes les infos voulues et même les critiques des utilisateurs.

Voici venir le temps de la mobiquité intelligente: mobilité toujours connectée avec accès à toutes sortes d’informations… éventuellement utiles.

Ça vous plaît?

Source: pisani.blog.lemonde.fr

novembre 30

Le téléphone mobile sauvera-t-il la presse ? Tout du moins, constituera-t-il une bouée de sauvetage pour tous les éditeurs confrontés à ce qui ressemble à un long déclin ? C’est la question que l’on peut légitimement se poser. C’est ce que nous faisons dans ce numéro. La réponse à cette question est nuancée. Il y ceux qui pensent que décidément, la presse n’en finit pas de passer pour une victime et de demander de l’aide en permanence. Il y a d’abord eu le Minitel, considéré par beaucoup, à l’époque, comme un concurrent déloyal du marché de la PA. Puis la télévision, voleuse d’audience. Puis Internet, détourneur de recettes pub. Puis la disparition des points de vente, destructrice d’efforts pour relancer les ventes…

À chaque fois, la presse a réclamé des arbitrages en sa faveur, voire des aides de l’État (postales, fiscales…). Et puis il y a ceux qui pensent que les nouvelles technologies constituent une opportunité formidable pour se développer. Et notamment, l’utilisation du mobile. Grâce à lui, une marque de presse pourra rivaliser avec Internet puisqu’il sera plus facile d’accéder directement au contenu éditorial que de surfer sur la Toile pour trouver un mot clé. Mais cette analyse ne tient la route que si la marque de presse en question est une vraie marque forte. Et c’est en cela que la généralisation du mobile peut entraîner une minirévolution chez les éditeurs. Chaque produit presse souhaitant entretenir une relation forte avec son consom mateur devra impérativement se donner les moyens, de façon à être incontournable. En d’autres termes, il faudra que la presse épouse enfin définitivement les principes de base du marketing. Et notamment ses investissements en communication. Il est frappant de constater, en analysant les chiffres issus de TNS, à quel point le média presse est un faible investisseur en communication. Les budgets sont ridicules si on les compare aux chiffres de la grande conso. Quelle marque de presse peut se vanter d’investir 10 % de son chiffre d’affaires en publicité, comme le font les lessiviers, ou même 1 %, comme le font les distributeurs ? Pas beaucoup, en fait.

Une marque forte dépend naturellement de la qualité du contenu éditorial, de la façon de se rendre indispensable et incontournable, mais aussi de la manière dont elle suscite l’envie, l’addiction. Et, pour ce faire, il lui faudra impérativement investir en marketing, investir en recherche, investir en communication. En soit, le mobile ne sauvera peut-être pas la presse à lui tout seul. Mais il peut servir de déclic, de marchepied pour une redéfinition de son modèle économique et de son rôle sociologique.

Édito par Christian Blachas pour CBNEWS

juillet 21

L’année 2009 sera t-elle dans l’année de la mobilité?  Rémy Poulachon, directeur R&D de P&T Consulting, tente de répondre à cette question. Dans un article publié sur le site itrmanagement.com, ce spécialiste s’appuie sur une dizaine de facteurs pour justifier le décollage de la mobilité à compté de cette année 2009.

Les 10 facteurs qui invitent à penser que 2009 risque d’être porteuse en termes d’investissements consacrés à la mobilité :

1. Maturité et la hausse du niveau de performances des technologies de communication. L’avènement des technologies EDGE, UMTS et 3G+ permet la multiplication de services à valeur ajoutée (visioconférence, expertise à distance…). Les connexions sont plus fiables ce qui offre la possibilité de consulter des sites internet mobile ou d’accéder à sa messagerie

2. Le déploiement d’applications nomades,

3. L’investissement par les entreprises  de ressources budgétaires consacrées à des applications nomades,

4. L’intégration de fonctionnalités comme le GPS, Wi-Fi, Bluetooth, Appareil photo numérique, clavier, création de blogs automatique, interfaces multi-touch… dans les terminaux mobiles.

5. L’essor des technologies de géolocalisation (GPS) et de la navigation routière (OffBoard/OnBoard).

6. Des éditeurs “classiques” intègrent maintenant des extensions de mobilité sur tous leurs produits (SAP, Microsoft, Oracle, SalesForce.com, …).

7. La sécurisation des applications nomades par des outils tels que les produits Sybase ou Sparus) et la possibilité d’administration à distance. Intégration du matériel nomade dans l’entreprise.

8. La création d’un “Responsable Mobilité” au sein des entreprises qui sert de lien entre le prestataire, la DSI et les responsables métiers.

9. Une meilleure approche des besoins nomades ainsi que de leurs coûts, les entreprises ne considérant plus la mobilité comme un “gadget” mais comme un véritable outil de productivité.

10. La consolidation des acteurs principaux (pure player) de la mobilité et la prise en compte de l’activité nomade dans les grandes SSII (Logica-CMG-Unilog, Capgemini) ont permis d’assurer une plus grande couverture et d’atteindre des comptes plus importants.

Source: itrmanager.com

juin 30

Voici une entrevue du site mobiThinking (en anglais) que je trouvais très pertinent de diffuser sur ce blogue. Depuis maintenant quelques mois, il est possible de remarquer que la majorité des grands noms de l’industrie des communications commencent à considérer le mobile comme un véritable média d’avenir.

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Five-minute interview: Rory Sutherland, vice-chairman, Ogilvy Group

Branded utility – that’s the key advantage mobile brings for service-conscious companies, and Sutherland has a fistful of great examples of how mobile utility has made a dramatic difference.
Every marketing agency needs people like Rory Sutherland – people at the very top who get mobile. The best thing is that until recently Sutherland was an outspoken cynic, but having witnessed the power of mobile both as a consumer and as a marketer, he is a true convert. This gives a certain religious fervor to his presentations, as he reels off endless stories of how everyday brands have transformed their customer relationship with the simplest of mobile innovations.Rory Sutherland is speaking at Mobile Advertising UK on June 15.

Q1. What is your favorite mobile site, campaign or application? My favorite examples of mobile marketing are also often the most simple. For instance, a service that texts you when your train or airplane is delayed, mobile ticketing for cinemas or the service that allows you to pay for parking by text message. I love it when delivery services – such as the UK Internet grocer Ocado (mobile site: Ocado.mobi) – text you to remind you when your goods will arrive or when a taxi firm sends you the driver’s number. These services are wonderfully simple and yet completely transform the customer experience.

Q2. What can the rest of us learn from these examples? I have nothing against mobile entertainment. But any brand where service is important should be using mobile to add utility to customer service. After all, the first job of marketing is to make your product easy to find, easy to use and easy to buy – and easier still to buy next time.

Q3. Who is the new kid on the block – the mobile site/application to watch for the future? Fizzback is a wonderful idea. It helps service businesses solicit feedback from customers at the two vital extremes – the highly satisfied and the highly dissatisfied.

Q4. What sector would you say is furthest ahead in mobile Web/marketing? Travel and transportation are probably furthest ahead for obvious reasons, but every business from packaged goods to charities can benefit from mobile marketing.

Q5. What can the rest of us learn from the games sector? The key lesson is that you let customers use their preferred channel. We learnt this valuable lesson recently with one of our clients – a charity: young people have previously been considered very low donors to charities, but if you allow them to donate by mobile phone, they become quite generous.

Q6. What are the most exciting/inspirational places in the world for mobile Internet/mobile marketing? I suggest keeping an eye on what’s happening at the two extremes: Japan and sub-Saharan Africa.

Q7. What can the rest of us learn from there? In much of the world, mobile is a very attractive enhancement to other forms of communication. In large parts of the world, however, mobile is the only form of communication infrastructure – short of walking 10 miles and conversing face to face. We should never forget that there are also many millions in the developed world who do not have access to the internet except via their phone.

Q8. What’s the most exciting area of mobile Web/marketing? Actually there are many great areas to explore. In general, though, two things interest me most: the immediacy of mobile and, of course, the social aspect.

Q9. What site use this to maximum effect? You can’t help but admire the Obama iPhone App. This would prioritize your contacts according to whether they lived in a battleground state, so you knew which friends to persuade to vote for Obama.

Q10.What’s the biggest mistake in mobile Web/marketing? Fear of failure. This leads to spending more time and money arguing over what to do than expenditure on actually doing something. The occasional failure is part of the price of success in mobile.

Q11. What is the most useful resource site and/or must-read book for mobile marketers? I recommend Nudge [http://www.nudges.org], by Richard Thaler and Cass Sunstein. There isn’t much about mobile in the book, but it gives mobile marketers an invaluable insight into how to encourage behavioral change among consumers.

juin 27

2009 : l’année de la confirmation du Mobile Tourisme
Le secteur du Tourisme : pionner des applications mobiles

Le Mobile Tourisme constitue la possibilité en temps réel de recevoir et d’accéder à de l’information et des services touristiques grâce à un système de communication sans fil, basé sur les téléphones mobiles.

En ce début 2009, les voyageurs accèdent à des d’informations pratiques depuis leur téléphone portable mais aussi à des services à valeur ajoutée sur les événements et la culture locale et ce dans des contextes multi-langues. De plus, les technologies sans fil, Internet et de géo-localisation offrent aujourd’hui aux acteurs du tourisme l’environnement idéal pour le développement d’offres de services telles que les la mise à disposition d’information en temps réel, les réservations, les locations et les paiements en ligne.

Les solutions mobiles appliquées à l’Office de Tourisme :

L’arrivée d’Internet au cœur des activités des Offices de Tourisme a constitué il y a quelques années un bouleversement en terme de communication et de commercialisation de l‘offre d‘hébergement et de loisirs ainsi que la diffusion de l‘information locale. La prochaine mutation des Offices de Tourisme va intégrer les technologies mobiles que sont le code barre 2D et le Bluetooth.

Ainsi, au sein d’un Office de Tourisme, il est aujourd’hui possible de télécharger via une borne Bluetooth le plan d’une ville, les horaires de visite des monuments, le guide des animations et programmes des festivités. Hors des horaires d’ouverture de l’Office, il est possible depuis l’extérieur de continuer à communiquer avec la borne pour connaître les disponibilités des hôtels ou les programmes nocturnes de la ville. L’intégration du code barres 2D sur les documents de l’office va aussi permettre de rendre interactif tous les supports de communication tels que les affiches ou programmes culturels.

La technologie : Les codes barres 2D

Le téléphone mobile s’est enrichi dernièrement d’une application interactive supplémentaire : le « Code Barre 2D».

Les codes barres 2D sont des matrices de pixels qui contiennent des informations numériques exploitables par un téléphone mobile. Ce code bidimensionnel permet de créer sans saisie d’url une liaison avec un site Internet conçu pour les téléphones mobiles. Equipé d’un logiciel de lecture gratuit, l’appareil photo du portable peut reconnaître le code barre 2D et connecter le mobile à un site web adapté. En un « simple clic » : visite du site web de l’entreprise, commande des catalogues, présentations des produits ou demandes de réservation mais aussi la participation à des jeux concours, etc.

L’avantage de ces codes barres est qu’ils peuvent s’imprimer, se projeter, se coller, s’afficher et qu’ils ne possèdent pas de contrainte de taille (minimum 2 cm x 2 cm jusqu’à plusieurs mètres). Non seulement économique et écologique (plus de papier, plus de coût d’impression) ce système permet en temps réel de mettre à disposition des touristes une information précise, actualisée et interactive.

* Une vidéo qui démontre très bien les possibilités du TAG.

Ces solutions technologiques sont des solutions universelles : affranchies des contraintes, elles permettent une utilisation internationale car elles sont construites sur les standards du marché (Datamatrix, QR code).

Source : agence-marketing-mobile.fr

juin 23

Un exemple très intéressant de l’interactivité qui est possible avec le mobile!

Voici le premier navigateur qui affiche en temps réel des informations numériques grâce à  l’appareil photo  du téléphone mobile. Un utilisateur peut ainsi  voir des maisons à la vente, les hôtels et les magasins populaires, des demandes d’emplois, des guichets automatiques bancaires et beaucoup plus c’est une question de priorité et d’annonceurs. Pour le lancement la société SPRXmobile  qui est  aux Pays-Bas c’est entouré de partenaire comme un réseau social, une banque, site internet. Chaque partenaire offre un ensemble de coordonnées avec des informations pertinentes qui forme une couche numérique.

Disponible pour Android (G1 et HTC Magic) l’application à besoin de l’appareil photo, du GPS et de la boussole. D’autres mobiles et les systèmes d’exploitation sont en cours de développement avec une priorité sur l’iPhone 3G S. (le test en vidéo est à Amsterdam).

Source : servicesmobiles.fr