Hier (mercredi 6 octobre) je donnais une formation de 3 heures sur la marketing mobile aux directeurs marketing des Office de Tourisme des différentes régions du Québec.
Voici ma présentation:
Hier (mercredi 6 octobre) je donnais une formation de 3 heures sur la marketing mobile aux directeurs marketing des Office de Tourisme des différentes régions du Québec.
Voici ma présentation:
Le moteur de recherche estime que le coût par clic des liens sponsorisés sur mobile sera bientôt plus élevé que sur l’Internet fixe, grâce au développement des smartphones et à la géolocalisation.
Le coût par clic (CPC) des liens sponsorisés sur mobile dépassera bientôt celui des liens sponsorisé de l’Internet fixe. C’est ce qu’a affirmé Vic Gundotra, vice-président de Google Engineering lundi 15 mars lors d’une conférence vidéo portant sur l’activité mobile du groupe, sans préciser les montants moyens du CPC. Selon lui, le nombre de recherches sur Google via mobile ont déjà quintuplé en l’espace de deux ans à peine. Sur l’internet traditionnel, le CPC moyen pratiqué par Google a progressé de 2 % au dernier trimestre 2009 (lire l’article Les bénéfices de Google ont progressé de 50 % en 2009 , du 22/01/2010).
Vic Gundotra estime que le développement du search sur mobile sera boosté par l’essor des smartphones d’une part, et l’apport de la géolocalisation comme critère de ciblage des publicités sur mobile. Le moteur de recherche ne cesse d’enrichir ses services à cet effet, offrant par exemple la possibilité aux mobinautes de vérifier la disponibilité des produits dans les points de vente locaux (lire l’article Google référence l’inventaire des magasins sur mobile , du 12/03/2010). D’ailleurs,
avec 23,7 milliards de dollars de chiffre d’affaires en 2009, Google domine déjà le marché du search engine marketing. Et le moteur de recherche ne cache pas ses ambitions dans le domaine du mobile, tandis que les autorités de régulation en prennent la mesure. Ainsi l’acquisition de l’adserver Admob, qui lui permettrait d’obtenir une part de 21 % sur le marché de la publicité mobile, est pour l’instant freinée par la Federal Trade Commission (FTC) qui ne s’est toujours pas prononcée en la matière (lire l’article Google se lance dans la publicité mobile avec Youtube , du 11/03/2010).
Source: Journal du net
IBM et la cité des Doges vont lancer un système numérique permettant de visiter la ville hors des chemins battus, à l’aide d’un simple portable connecté au wi-fi.
Petite étiquette, grand service. C’est ainsi qu’on peut présenter la partie visible du nouveau système d’information numérique qu’IBM a mis au point pour visiter « autrement et hors des chemins battus » un site touristique comme Venise. Facile d’emploi, ce système, intitulé Tag my lagoon (« clique sur ma lagune »), nécessite simplement de posséder un téléphone portable faisant également appareil photo, relié à un réseau sans fil (wi-fi).
Ainsi, sitôt descendu de voiture ou sorti de la gare Santa Lucia, vous trouverez sur la piazzale Roma, accroché à la grille du jardin Papadopoli, un petit logo noir et blanc au dessin en forme de labyrinthe, qui pourrait paraître ésotérique. Pourtant, si vous le photographiez – et si vous avez accepté l’application –, vous recevez immédiatement sur votre écran, dans votre langue, quantité d’informations d’ordre culturel et touristique destinées à faciliter votre visite de la célèbre cité des Doges. Une nouvelle technologie qui permet de s’affranchir des habituels et parfois embarrassants plans et guides imprimés.
« Nous voulions résoudre deux problèmes : décongestionner le circuit piazzale Roma-pont du Rialto-piazza San Marco et montrer les parties les plus cachées de la cité », explique Michele Vianello, ancien maire-adjoint chargé du tourisme et actuellement directeur de Vega (Venice Scientific and Innovation Park). En effet, près de 22 millions de touristes visitent Venise chaque année, dont 70 % en solo. D’où l’idée de cette solution, d’autant plus que, déjà, 70 à 80 % des visiteurs préparent leur séjour en consultant et en réservant par Internet.
Cette technologie est basée sur le principe de l’identification spatiale ou géolocalisation. « En photographiant le tag, l’étiquette, on est automatiquement localisé et on reçoit sur son téléphone portable des informations sur le lieu et les alentours visitables. Y compris la liste des hôtels dans un rayon de moins de 300 mètres pour moins de 80 € la nuit par exemple. »
«Ce système doit être accessible pour un prix modique»
« La bonne information, au bon moment, à la bonne personne », insiste Nicola Palmarini, ingénieur IBM à Milan. Coordonnateur du projet « Smarter city » (« Ville plus intelligente »), il a mené, cet été, une expérience pilote auprès de 2 700 visiteurs déambulant dans la ville alors que, pour l’instant, une dizaine de tags seulement sont installés au niveau des campos, les petites places typiquement vénitiennes où s’élèvent palais, églises et monuments publics.
« Les résultats sont très satisfaisants, explique Véronique Doux-Marot, ingénieur IBM participant au projet. Nous allons augmenter le nombre d’étiquettes de façon à couvrir toute la ville en avril 2010. » Il est prévu que le système Tag my lagoon soit accessible au grand public l’été prochain. Venise sera alors la première ville italienne offrant ce service. D’autres villes européennes à fort caractère touristique comme Amsterdam, Vienne, Stockholm, Oslo, Prague, Zurich, Salerne près de Naples sont intéressées et devraient tester ce système bientôt.
Enfin, le dispositif est interactif, c’est-à-dire que tout visiteur peut donner son avis sur la qualité des restaurants et des hôtels ou la ponctualité des vaporetti. Reste toutefois le problème du coût. « Ce système doit être accessible pour un prix modique, plaide Michele Vianello, de l’ordre de 5 € par jour pour les touristes, l’accès étant gratuit pour les résidents et les étudiants. »
Le Blogue du Marketing Mobile est une initiative Piranha Agence Tactique, une agence spécialisé en marketing mobile et médias tactiques.